Accusé de faire de « l’humour oppressif », Alexandre Astier assume son fascisme

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
06 janvier 2018

Au départ, Alexandre Astier était un genre d’anarchiste mou qui conspuait toute forme d’autorité collective. Probablement en raison de la nature du milieu professionnel dans lequel il évolue : un milieu rempli de gauchistes, de pédales, de métèques haineux et bien sûr, de juifs. Sans parler du repaire maçonnique, donc anticlérical, qu’est la région de Lyon.

Bref, il était plutôt enclin à suivre le courant dominant. Mais comme la chape de plomb de la dégénérescence se fait chaque semaine plus pesante, c’est désormais sa série Kaamelott qui est dans la ligne de mire des lesbiennes hystériques.

Alexandre a probablement de la patience mais, pour ce qui concerne ses productions, beaucoup moins.

Et de fait, Astier est déjà trop à droite.

Il fait de l’humour « oppressif ».

Lel.

 

Astier est tricard. Toute la tribu des dégénérés l’identifie désormais comme un ennemi.

C’est si vrai que la féministe de LCI (la chaîne de la « droite ») Anaïs Condomines est déjà à ses trousses.

 

Louis de Funès n’était pas homophobe, lui.

Astier est catalogué comme de « droite ».

Plus ces cas psychiatriques deviennent agressifs à mesure que l’état cosmopolite les appuie, plus ils entreprennent de faire la chasse à l’homme blanc. Même le plus improbable : de Griezmann à Astier.

Alexandre a donc opté pour le fascisme revendiqué. C’est-à-dire de vivre en tant que mâle blanc non-repenti.

Il devrait devenir nazi d’ici quelques temps, il suffit d’attendre.