Captain Harlock
Démocratie Participative
25 août 2020
La charge mentale de l’islam
Les évolutions sociétales se poursuivent à bon rythme en France.
Les faits se sont produits ce jeudi après-midi sur la plage de Sainte-Marie-la-mer, à côté de Perpignan, dans les Pyrénées-Orientales. Marie profitait du soleil avec son conjoint, elle voit deux agents de la gendarmerie arriver sur la plage : « nous apercevons deux gendarmes, un homme et une femme, qui arpentent la plage et s’arrêtent à quelques mètres de nous pour s’adresser à une dame d’une soixantaine d’années. De là où nous nous trouvons, impossible d’entendre ce qu’ils lui disent. Mais nous voyons cette femme s’agiter après leur départ, visiblement troublée, et fouillant frénétiquement dans son sac à la recherche de son haut de maillot de bain ».
Entre nous soit dit, voir une Boomeuse afficher ses vieilles mamelles constitue non seulement une atteinte à la pudeur mais surtout une micro-agression insoutenable.
Interpellée par la situation Marie continue de suivre du regard ces deux gendarmes, elle nous explique qu’ils ne s’arrêtent pas là. Ils continuent d’arpenter la plage pour demander aux unes et aux autres de remettre leur haut de maillot de bain : « J’étais tellement choquée de ce qui se passait sous mes yeux, c’est mon âme de féministe qui a parlé, je suis allée les voir et je leur ai demandé si pour eux, bronzer les seins nus était une atteinte à la pudeur ? Ils m’ont demandé de circuler et ont quitté la plage, juste après mon intervention ».
La mairie de Sainte-Marie-la-mer affirme qu’effectivement deux gendarmes, alertés par une famille dont les enfants étaient choqués de voir les seins nus d’une dame sur la plage, sont allés sur la plage pour lui demander de se rhabiller.
Il n’est pas difficile de savoir de quelle origine était cette famille, origine qui explique l’empressement de la Gendarmerie à faire régner la loi islamique sur ladite plage.
Dans la loi, rien n’interdit de profiter du soleil ou de la baignade les seins nus, sur une plage. En effet, le topless sur une plage n’est plus aujourd’hui susceptible de constituer le délit d’exhibition sexuelle de l’article 222-32 du Code pénal compte tenu de l’évolution des mœurs et de son usage répandu, mais peut néanmoins constituer une contravention.
En effet, certaines plages sont règlementées par voie d’arrêté municipal qui proscrit l’usage du monokini. C’est le cas notamment à Paris-Plages, dont le règlement interdit le port des strings et du monokini, considérés comme tenues indécentes, sous peine d’une amende de 38 euros.
Ce qui n’est pas le cas sur la plage de Sainte-Marie-la-mer, aucun arrêté municipal n’interdit de faire du topless sur la plage. Ces femmes étaient donc tout à fait dans leur droit.
Donc si aucun panneau, stipulant un arrêté interdisant de faire du topless, n’est présent sur la plage, vous avez donc le droit de bronzer sein nu.
Effectivement les mœurs évoluent. C’est précisément pour cette raison que le topless appartient au passé. Les études sur la question le démontre sans ambiguïté.
L’ifop observe l’évolution de la pratique du #topless depuis plus de 30 ans. L’incident de Sainte-Marie-la-Mer, nouveau symptôme d’un « retour de la pudeur » ? #seinsnus https://t.co/SKbi7nBDEs
— Ifop Opinion (@IfopOpinion) August 25, 2020
Il est évident que l’effondrement soudain de cette pratique est indexé sur le nombre de maghrébins et de noirs par mètre carré de plage en France. Comme leur nombre explose, les Blanches n’ont que deux alternatives : le viol collectif ou la tenue de bain classique. Du moins pour le moment car bientôt le burkini sera le strict minimum pour éviter d’être agressée par des bandes barbaresques.
Mais et c’est nouveau, chez les moins de 25 ans, c’est la crainte de regards concupiscents et pour 51 % d’entre elles la peur de faire l’objet d’agressions. On peut parler d’un effet MeToo à la plage. » Le mouvement semble avoir apporté un désir de se protéger plutôt qu’une libération.
C’est plutôt l’effet Bataclan.
Le voile islamique est un outil de protection de la femme en milieu arabo-oriental. Sans lui, les femmes se feraient systématiquement violer. C’est la raison pour laquelle vous voyez tant de femmes musulmanes tenir à cette protection. Et pourquoi tant d’hommes musulmans y tiennent tout autant. Ce n’est pas par religiosité mais pour échapper aux innombrables crevards de leur race qui sont incapables de contrôler leurs pulsions sexuelles.
Comme je le disais aujourd’hui même dans un autre article traitant du chevalier blanc éclaté par cinq arabes à Lyon, l’immigration du tiers-monde comporte un certain nombre de contraintes que les femmes blanches ouvertes et tolérantes doivent assumer. Parmi elles, le fait de se faire violer en pleine rue par des réfugiés afghans, de se faire harceler par des stalkers négroïdes ou d’être insultées tous les jours par des algériens. Et d’abandonner le topless. Puis le bikini. Dans 30 ans, il ne sera plus possible pour une femme de porter une jupe ou un short dans la plupart des endroits publics en France. Sauf à rechercher activement le viol collectif ou l’attaque à l’acide. Là aussi, on dira que « les mœurs ont évolué ».
Sur le fond, à propos du topless, je n’ai plus rien à en dire puisque cette pratique a pour ainsi dire disparu. En parler reviendrait à deviser sur le port du chapeau haut-de-forme. Ce débat aurait peut-être été intéressant dans les années 90 mais aujourd’hui l’arbitrage a eu lieu, grâce à la diversité et à l’enrichissement culturel islamique.
Le fait est que les musulmans sont très efficaces pour discipliner les femmes. Vous devez leur reconnaître ça. Quoique rudimentaire, leurs méthodes obtiennent des effets spectaculaires. Si l’on y ajoute la célérité avec laquelle les pouvoirs publics répondent à leurs exigences, vous avez la recette pour un sévère réajustement de la place des femmes dans la société française.
J’imagine en tout cas que pour compenser, les féministes vont accélérer leur repli stratégique sur des thématiques moins problématiques et focaliser davantage encore leur agressivité sur l’homme blanc.