Aix-en-Provence : une Française forte et indépendante de 18 ans se balade seule à 3h30 du matin, elle finit violée par un gang de maghrébins

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 décembre 2021

A Aix-en-Provence, une jeune Française forte et indépendante a expérimenté les conséquences de l’abolition du patriarcat blanc.

Elle n’est pas contente.

Actu17 :

Un homme de 25 ans ainsi qu’un adolescent de 15 ans ont été mis en examen et placés en détention provisoire ce samedi pour le viol en pleine rue d’une jeune femme de 18 ans, à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône). Déjà connus des services de police, les deux suspects sont en situation irrégulière sur le territoire français.

La victime rentrait chez elle dans la nuit de mardi à mercredi dernier, lorsqu’elle a croisé la route de deux individus qui ont abusé d’elle sexuellement. Cette jeune femme âgée de 18 ans se trouvait sur l’avenue Maurice-Blondel, près de la gare d’Aix-en-Provencevers 03h30 dans la nuit de mardi à mercredi, au moment des faits. Ceinturée par derrière, elle a été amenée de force dans un recoin. La jeune majeure a ensuite été violée.

Quatre passants ont entendu les cris de la victime et sont intervenus, mettant en fuite les deux auteurs. La jeune femme a été transportée à l’hôpital. Elle a déposé plainte. Une enquête a été ouverte et les policiers n’ont pas mis longtemps à identifier deux suspects. « L’exploitation des vidéosurveillances a été déterminante », confie une source proche de l’enquête.

Les enquêteurs ont interpellé un Algérien de 25 ans ainsi qu’un Tunisien de 15 ans, tous les deux en situation irrégulière. « Ils se trouvaient ensemble dans un logement qu’ils squattaient et sont déjà connus des services de police », précise cette même source. Placés en garde à vue, ils ont nié les faits. « Les vêtements qu’ils portaient au moment de ce viol ont été retrouvés dans l’habitation », souligne-t-on.

Les deux auteurs présumés ont été déférés et mis en examen ce samedi, avant d’être incarcérés. Une information judiciaire a été ouverte dans ce dossier.

Les traînées anti patriarcat doivent apprendre à assumer leurs actes.

Déambuler seule dans la rue à 3h30 du matin dans une ville bougnoulisée est une forme de drague agressive auquel le public musulman se sent obligé de répondre.

Personne ne ferait de procès à des hyènes sous prétexte qu’elles ont dévoré une antilope qui se trouvait à un mètre d’elles.

Une femme qui évite méthodiquement la diversité, qui se place sous la tutelle d’un homme blanc et qui ne sort pas seule après 20h00 est une femme en sécurité.

A défaut de remigrer immédiatement les allogènes, l’impunité des violeurs de couleur doit devenir la norme judiciaire jusqu’à ce que ces traînées apprennent à se tenir à leur place, sous l’autorité des hommes qui en sont les propriétaires.

Pas de patriarcat blanc, pas de protection blanche. Le deal est simple.

Libération immédiate des deux gentlemen maghrébins et billet retour en classe affaire aux frais de la pétasse émancipée, c’est le minimum.

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