Captain Harlock
Démocratie Participative
03 août 2019
« J’ai couché avec un bougnoule, dépensez vos impôts pour m’aider à récupérer mes crouilles qui violeront vos gamines » – L’appel au secours d’Agnès, gros bac de graisse ayant voué sa vie à éponger le foutre du Maghreb
J’ai naturellement peu de patience.
J’en ai maintenant tellement moins.
La crainte d’Agnès Lesale s’est vérifiée : ses deux aînés, Shakib et Bilel, ont bien été emmenés en Algérie par leur père. La police a pu le contacter ce jeudi après six mois sans nouvelles : il affirme qu’il ne ramènera pas les garçons en France.
Elle s’y attendait, mais la nouvelle est quand même un coup de massue : les deux garçons d’Agnès Lesale, une mère de famille de Cléon au sud de Rouen, se trouvent bien en Algérie avec leur père, comme l’a révélé Le Journal d’Elbeuf. « Il a dit qu’il les laisserait là-bas », précise-t-elle. Dès mercredi, elle avait confié à France Bleu ses craintes que le père ait fait des duplicatas des passeports des enfants, qui ont la double nationalité. Il semblerait qu’il soit passé par l’Espagne avant de se rendre en Algérie. Il indique y être depuis deux semaines, « mais je pense que ça fait plus longtemps », lance Agnès.
« Je m’y attendais mais j’espérais quand même qu’il soit en France, explique la mère de famille. Ça aurait été plus simple de récupérer mes enfants« . Les forces de l’ordre sont parvenues à le contacter après avoir intercepté sa voiture à Villeparisis, en Seine-et-Marne, conduite par un de ses amis. Ce dernier a donné le nouveau numéro de téléphone du père.
« Une policière a pu parler à Shakib, l’aîné, mais il n’osait pas répondre car derrière son père lui demandait de ne rien dire », assure Agnès Lesale, qui s’est rendue jeudi au commissariat d’Elbeuf. Le commissariat de Rouen ne donne pas de précision sur le contenu de la discussion, mais confirme qu’il y a bien eu un contact. « Mon mari a affirmé qu’il reviendra peut-être en France, mais sans les enfants », ajoute Agnès. Pourtant, si le divorce n’est pas encore prononcé, c’est bien elle qui a la garde exclusive de leurs quatre enfants.
Car en France, chers lecteurs, les flics n’ont rien d’autre à foutre que de courir derrière un crouille d’Algérie pour ramener à toute force deux bougnoules de plus dans la banlieue de Rouen.
Ne comptez pas sur moi pour pleurer quand ils se prendront une rafale de cocktails Molotov dans la gueule à la prochaine émeute raciale : ce seront leurs propres recrues.
Dans ce genre de dossier, difficile de savoir vers qui se tourner. « Je suis un peu perdue, reconnait Agnès, j’essaie de voir toutes les démarches à faire ». Sa plainte déposée début avril n’a que peu d’utilité tant que le père des enfants est à l’étranger. Elle compte écrire au ministère de la justice dans l’espoir de faire avancer le dossier.
« Je veux mes bougnoules, au secours !!! »
Agnés, ouvre très grand la bouche pour que je te crache un énorme mollard dans la gueule.
« Il faut saisir l’autorité centrale qui est chargée au ministère de ces cas », précise Richard Sédillot, avocat à Rouen spécialisé dans ce type de dossiers. Le fait que les enfants soient en Algérie n’aide pas : le pays n’a pas signé la convention de La Haye d’octobre 1980 pour faciliter les retours d’enfants enlevés à l’étranger. « Sans convention, hors de l’Union Européenne, c’est compliqué », reconnait l’avocat.
Mais bien sûr !
Le Quai d’Orsay, pensez donc ! La Cour Européenne des Droits du Basané ! L’ONU !
Et la CPI, à la Haye.
Mais oui. Pré-positionner des forces spéciales, le Charles De Gaulle.
Je propose un embargo.
C’est dommage, ces deux rejetons ne tirent point le nègre. L’affaire aurait été entendue. Des dizaines millions d’euros auraient été trouvés dans la semaine, 10 fonctionnaires à temps plein. Une exposition.
Macron en grève de la faim.
QUE FAIRE sans deux cancrelats d’Afrique du Nord, je vous pose la question ?
« Je pourrais aller en Algérie pour voir les enfants, mais si leur père ne m’ouvre pas la porte ou qu’il me menace, je ne saurais pas quoi faire », déplore Agnès. Elle ne compte pas pour autant baisser les bras : « je sais que ça va être un très long combat ».
Un très long combat de deux ou trois ans, le temps pour les deux bougnes d’atteindre la majorité et de revenir en France, en qualité de Français, jouer les maquereaux ou les dealers pour le compte du padre.
C’est tellement dénué de suspens.
Tout ce cinéma n’empêche pas la presse rouge de criser suite à la foirade de son opération, « faites pleurer Margot sur le sort d’AbdelKader et Ben Couscous ».
Bonsoir, cet espace est évidemment ouvert à vos commentaires. Pour peu qu’ils respectent le cadre de la loi. Sachez donc que nous signalons à Twitter et supprimons tout commentaire à caractère raciste.
— France Bleu Normandie (Seine-Maritime, Eure) (@fbleuhnormandie) August 2, 2019
Je hais les putes à crouilles.
Mais je nourris à l’égard des salopes de journalistes des desseins autrement plus sinistres.
Seigneur, donnez-moi un journaliste de gauche. Juste un seul. Pour une petite heure. Je vous jure de vous le rendre dans une seule boîte.