Afrique du Sud : un héroïque gentleman hindou traite solennellement de « cafre » le négrocrate qui préside le pays

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 septembre 2018

Le noble gentleman hindou Kessie Nair a formellement déclaré au nègre terroriste occupant la présidence de l’Afrique du Sud qu’il était un sale cafre.

Dans sa vidéo publiée sur Facebook, il déclare :

J’appelle ici pour que ce cafre de président, M. Cyril Ramaphosa, oui je dis bien ce cafre de Président Cyril Ramaphosa, soit poursuivi pour avoir escroqué cette nation, pour avoir oppressé cette nation, pour haute trahison, pour avoir échoué et pour être la source de tous les crimes, de la violence, du pauvre système de santé, de la pauvreté qui l’emporte dans une soi-disant véritable démocratie ».

La vidéo :

Glorieux, authentiquement glorieux.

Oui, il s’agit bien d’un cafre.

D’un gros cafre.

Voaafrique :

Un ex-conseiller municipal sud-africain a été arrêté pour « outrage » et « violence publique » après la diffusion sur les réseaux sociaux d’un message où il profère une insulte raciste à l’encontre du président Cyril Ramaphosa.

Dans cette vidéo, Kessie Nair traite le chef de l’Etat de « kaffir », le terme le plus insultant utilisé pour désigner les Noirs sous le régime raciste de l’apartheid.

« Il est la cause des violences, de la criminalité, de la défaillance du système de santé, de la pauvreté qui prévalent dans une soi-disant démocratie », ajoute-t-il.

« Je suis prêt à aller en prison pour le reste de ma vie ou me prendre une balle. Je veux simplement dire que la vérité va faire mal », poursuit l’ancien élu dans cette vidéo de plus de quatre minutes où il est filmé en plan très serré.

Kessie Nair « a été arrêté mercredi à Durban (nord-est) pour violence publique et outrage », a indiqué à l’AFP le porte-parole de la police judiciaire, Hangwani Mulaudzi.

Il doit comparaître jeudi devant un tribunal de cette ville côtière, a-t-il ajouté.

En mars, un ex-agente immobilière a été condamnée à trois ans de prison ferme pour avoir traité un agent de police noir de « kaffir », une peine d’une sévérité inédite dans le pays.

Ce sont deux véritables héros de la liberté même s’il faut dire que la répression antiraciste est plus radicale en France que dans cette négrocratie marxiste qu’est l’Afrique du Sud.

Appeler les nègres par leur nom en les qualifiant de nègres ou de cafres est aujourd’hui un véritable défi à l’oppression et la meilleure façon d’évaluer la liberté qui existe dans un pays.

Un pays qui proscrit le mot « nègre » n’est pas un pays libre.