La rédaction
Démocratie Participative
13 mars 2023
C’est un cri de détresse que lance cette femme noire sud-africaine dans la vidéo ci-dessous.
Extraits :
« Rendons-le pouvoir aux Blancs. Nous les Noirs, nous devons simplement accepter que nous avons échoué lamentablement. Pendant 28 ans, on nous a donné la possibilité de prouver ce que nous valons et nous avons échoué lamentablement. Ce truc de voter pour une personne noire après une autre, ça ne nous aidera à rien. Rendons le pouvoir aux Blancs. Quand les Blancs gouvernaient ce pays, peu importe ce qu’ils faisaient, nos parents travaillaient, nos enfants allaient à l’université, les villes étaient propres, il y avait du travail partout, vous postuliez, vous aviez un emploi. Même si vous n’aviez pas de qualifications, vous pouviez travailler dans les hôtels, vous pouviez travailler partout. Vous pouviez même travailler dans les fermes. Les Blancs travaillaient. Les Noirs sont un échec lamentable, lamentable. Les Noirs ne peuvent pas gouverner. Rendez le pouvoir aux Blancs. Ravalons notre fierté et rendons le pouvoir aux Blancs pour que le pays puisse revenir à la normale. Nous devons l’accepter. Nous respectons les gens qui se sont battus pour la libération, nous les respectons et nous continuerons de les respecter, mais au final nous devons rendre le pouvoir aux Blancs. Nous sommes fatigués de ça.
C’est le bordel en Afrique du Sud ! Partout où vous allez, c’est le bordel ! Nous sommes fatigués, nous devons accepter d’avoir échoué. Les Noirs ne peuvent pas diriger, les Noirs ne peuvent pas gouverner. Les Blancs devraient s’emparer de ce pays pour que ce pays puisse retrouver sa dignité. Tout ce qui se passe dans notre pays ne se passerait plus jamais. Ce problème des étrangers, ce problème du crime n’existeraient plus ! Les Blancs ne jouent pas, ils dirigent, ils gouvernent. La police, la police blanche, ils ne jouent pas avec les criminels. Ils ne jouent pas avec les clandestins dans le pays. »
After 28 years of failure in South Africa, this black woman now realises that, without white people running the government, her country has no future. Reminds me of the crowds of black farm workers cheering the return of white farmers in Zimbabwe. pic.twitter.com/LdciwMbhTF
— Way of the World (@wayotworld) March 12, 2023
L’Afrique du Sud était un état raciste blanc qui a créé le seul état développé du continent africain.
C’était également le seul à disposer d’une armée digne de ce nom.
Sa campagne aux frontières contre les marxistes ougandais soutenus par les brigands cubains reste dans les annales.
100% raciste, 100% élitiste, 100% héroïque, l’homme blanc au summum de son art de vivre.
Après l’embargo occidental contre ce pays, les Noirs en ont pris le contrôle et l’ont détruit par la corruption.
Toutes les statistiques économiques officielles sont truquées par les communistes noirs de l’ANC et leurs soutiens de l’ONU pour donner l’illusion d’un pays noir fonctionnel.
En réalité le chaos est partout.
En France, un pays européen peuplé exclusivement de Blancs avant l’instauration de la démocratie il y a 150 ans, les millions de Noirs qui y ont été installés sont très hostiles aux Blancs qui les nourrissent généreusement et rêvent d’en faire une nouvelle Afrique du Sud. Tous les jours, les Noirs qui y vivent se plaignent des Français qui leur offrent un niveau de vie qui n’existe dans aucun pays noir de la planète.
Il y a même des émissions spécialement conçues pour les Noirs afin d’appeler à chasser les Blancs de leurs terres. Rokhaya Diallo en fait profession.
Vous vous prononcez pour le déboulonnage des statues de personnalités liées à la traite d’esclaves et à la colonisation. Ce débat existe aussi sur le continent. À Saint-Louis par exemple, au Sénégal, est érigée une statue du général Faidherbe. Faut-il changer cela ?
Je suis absolument horrifiée qu’il y ait une statue du général Faidherbe au Sénégal. En premier lieu, pour des raisons familiales. Mon arrière-arrière-arrière-grand-oncle était Lat Dior, héros de la résistance sénégalaise contre l’invasion coloniale. Il s’est opposé au général Faidherbe, qui en parle dans ses mémoires comme d’un grand stratège militaire. À l’adolescence, j’ai été choquée d’apprendre qu’en France, dans mon pays, il y avait des rues, une station de métro à Paris, des statues qui portaient son nom. Je ne comprends pas qu’au Sénégal l’on puisse célébrer une personne qui a été à l’origine de tant de massacres.
Les pays africains doivent repenser la présence de ces envahisseurs qui ont défiguré l’Afrique. Aux États-Unis, une journée a été consacrée à Christophe Colomb pendant des décennies. Elle est désormais dédiée aux populations autochtones qui ont été décimées à la suite de son arrivée. Il est temps d’arrêter de glorifier des personnalités racistes et violentes.
Ils sont encore très en retard par rapport au Wakanda sud-africain.
Hélas, pour cette Noire sud-africaine, les Blancs ne vont pas revenir. Les Noirs ont fait fuir la poule aux oeufs d’or et elle ne reviendra plus.
C’est dommage pour les Noirs d’Afrique du Sud, s’ils avaient accepté le régime d’apartheid, ils auraient aujourd’hui le plus haut niveau de vie d’Afrique, ils ne seraient pas dévorés vifs par les migrants du reste de l’Afrique. Il leur aurait suffi de ne pas vouloir commander et de laisser les Blancs se charger du travail.
Trop tard !
En attendant, pour approfondir la question, voici un aperçu de l’histoire de l’Afrique du Sud avant la catastrophe noire.
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