Afrique du Sud : les noirs se livrent à des pillages géants pour dénoncer l’arrestation de l’ex-président reconnu coupable de pillage

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 juillet 2021

 

L’Afrique du Sud est à feu et à sang.

Les noirs sont partout avec des flingues et abattent tout ce qu’ils croisent. Tout spécialement à Durban, la capitale officielle de l’antiracisme.

Quand les noirs « manifestent », ils se mettent à piller des magasins. C’est un phénomène que vous aurez peut-être remarqué. D’ailleurs, rien ne ressemble plus à des noirs d’Amérique qui « protestent » que des noirs d’Afrique qui « protestent ».

On ne peut même pas distinguer ces scènes du mouvement Black Lives Matter.

Le point de départ de cet éclat de sauvagerie négroïde, c’est l’emprisonnement de l’ancien président pour corruption.

Je ne comprends pas exactement ce concept puisque tous les noirs sont par définition corruptibles.

France Info :

L’Afrique du Sud vit des heures sombres. Alors que la Cour constitutionnelle doit réexaminer ce 12 juillet la peine de 15 mois de prison ferme qu’elle a infligée à l’ancien président Jacob Zuma pour outrage à la justice, les violences et pillages se multiplient dans le pays.

Cela fait quatre jours que l’Afrique du Sud connaît des pillages et des heurts dans plusieurs régions, notamment dans la province du Kwazulu-Natal (Est), où a été emprisonné l’ex-président le 8 juillet, mais aussi dans la capitale économique Johannesburg. L’incarcération de l’ancien président sud-africain Jacob Zuma en serait l’origine, mais les manifestations auraient rapidement dégénéré en raison notamment des difficultés économiques que vit une partie de la population.

Des routes ont été bloquées et des centres commerciaux ravagés, notamment celui de Brookside à Piertemartizburg (Est), qui a été incendié et pillé, ou celui d’Eshowe, ville située à une trentaine de kilomètres de Nkandla, où Jacob Zuma possède une résidence rénovée aux frais du contribuable quand il était à la tête de l’Etat. La police y a dispersé la foule ce 12 juillet en tirant des balles en caoutchouc, comme la veille dans les quartiers pauvres de Johannesburg, où des dizaines de suspects ont été arrêtés par la police.

Près de Durban, port d’Afrique australe, des camions ont été incendiés le long d’une route nationale et de nombreuses voitures brûlées dans les régions affectées par les violences. Des magasins vendant de l’alcool, fermés depuis deux semaines en raison des restrictions dues au Covid, ont été ciblés. A Johannesburg, des rassemblements, interdits, ont dégénéré comme dans le township d’Alexandra, frontalier du quartier le plus cossu de la ville, où près de 800 émeutiers ont affronté les policiers dans la nuit, blessant l’un d’eux par balle.

Cyril Ramaphosa s’est inquiété de ces manifestations « sporadiques, mais de plus en plus violentes ». Selon le président sud-africain, elles risquent de plomber l’économie déjà fragilisée, en raison notamment de la pandémie de Covid-19.

Jacob Zuma s’est constitué prisonnier le 8 juillet, après avoir été condamné le 29 juin à 15 mois de prison ferme pour avoir refusé de témoigner devant une commission qui enquête sur la corruption d’Etat sous sa présidence (2009-2018). Il dort depuis à la prison d’Estcourt, près de la chaîne de montagnes des Drakensberg, en pays zoulou, sa région d’origine, où il reste populaire.

La plus haute cour sud-africaine, la Cour constitutionnelle, doit réexaminer sa peine pour outrage à la justice après plusieurs refus de témoigner devant la commission d’enquête. Zuma peut prétendre à une libération conditionnelle après avoir purgé un quart de sa peine, soit près de quatre mois.

Ces noirs « protestent » en pillant pour faire libérer un roi nègre qui les a pillés pendant dix ans.

Il y a une certaine cohérence.

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