Captain Harlock
Démocratie Participative
29 août 2018
Cette vieille sorcière incarne parfaitement l’état d’esprit actuel des élites anglaises.
Donald Trump, le président américain, a vivement critiqué, cette réforme, que l’État Sud Africain veut entreprendre. Il a notamment déclaré, que ce projet est illégal, et qu’il vise à brimer les fermiers blancs. Il faut dire, que Cyril Ramaphosa n’a eu guère de choix, car il subissait de multiples pressions de la part de certains cadres de l’ANC, et d’autres acteurs de la scène politique sud-africaine, à l’image de Julius Malema.
Selon les premières autorités, de la nation arc-en-ciel, cette réforme, vise à réparer une “injustice historique” grave, qui a été commise durant la période coloniale, et l’apartheid, et qui a eu, des répercussions énormes sur la majorité de la population noire.
En visite d’État du côté de l’Afrique du Sud, la première ministre Britannique, Theresa May, n’est pas allé dans le même sens, que Donald Trump. Elle a notamment déclaré, que la Grande-Bretagne, validait le projet de réforme agraire.
“La Grande-Bretagne soutient depuis quelque temps la réforme foncière. Une réforme foncière qui est légale, qui est transparente, qui émerge d’un processus démocratique”
Sur cette question donc, les autorités britanniques sont clairement en désaccord, avec leur allié historique américain.
Il n’y a en effet, outre l’invasion islamique, qu’un seul sujet sur lequel la Grande-Bretagne est en désaccord avec Donald Trump : l’épuration ethnique des Boers d’Afrique du Sud.
Un génocide qui doit cependant être « légal, transparent » et « démocratique ».
Cet état enjuivé poursuit la même politique criminelle qu’il suit depuis des siècles contre les peuples blancs comme contre ceux du reste du monde : l’incendie de la guerre civile et la rapine impérialiste.
La première et seconde guerres mondiales n’auront pas suffi, il lui a fallu depuis incendier la Libye, l’Irak, la Syrie pour mettre au pouvoir la vermine djihadiste dont les juifs ont tant besoin pour faire leur travail d’anéantissement.
Sans ces brigands de Londres inféodés aux juifs de la City, Calais n’aurait pas été transformée en véritable colonie afghane.
En Afrique du Sud, il s’agit pour l’Angleterre de poursuivre la guerre qu’elle avait mené contre les Boers au début du siècle dernier lorsqu’elle avait interné dans des camps de concentration femmes, enfants et vieillards pour les exterminer.
Ce qui a changé, c’est qu’elle sous-traite désormais cette politique aux nègres.
La politique de civilisation de ce pays consiste à soutenir les cannibales de Malema contre une minorité de Blancs assiégés.
Demain, elle fera de même en Europe, que ce soit en Allemagne ou en France.
Et dire que ces terroristes responsables de la mort de 75,000 civils français lors de leurs raids de masse sur les villes françaises n’ont jamais été sommés de rendre des comptes.
La politique juive de l’Angleterre ne cessera qu’avec sa disparition.
Avec l’avènement du Brexit, le Royaume-Uni va pousser encore davantage dans la direction du chaos sur le continent afin de tirer les marrons du feu. Un bloc continental unifié sera toujours pour elle un rempart à ses crimes. Lorsqu’il sera formalisé, ces associés de la juiverie se déchaîneront partout dans l’ombre pour tourmenter les Européens.
Mais il y a un autre point, tout aussi important.
Outre sa politique criminelle, le Royaume-Uni doit disparaître pour avoir inventé l’anguille en gelée.
Un peuple coupable d’une telle chose devait fatalement finir par faire les oeuvres du Diable et s’associer à ses mandataires que sont les juifs.