Capitaine Harlock
Démocratie Participative
12 mai 2017
Après la défaite – relative – du Front National, nombreux sont ceux qui jugent nécessaire le temps de la méditation. « Que faire ? », se disent-ils, passablement épuisés.
Pour ma part, je juge nécessaire de méditer sur l’objet même de la lutte : l’Europe. Et ce qui la fonde : la race blanche européenne.
La rhétorique souverainiste occulte, sous un fatras d’arguties technico-légales, l’essence même du combat mené. Cette obsession de la forme administrative, qui n’est guère plus qu’un reliquat encombrant, agit sur nous comme une espèce de sangsue, privant de sang vital les rebelles, pour le seul profit d’une bourgeoisie précieuse et sénile, incapable de mener une quelconque lutte.
Nous devons retourner à la source primitive.
Adolf Hitler ne s’est pas trouvé dans une autre position lorsque, faisant face à la coalition mondiale des ennemis du continent, il exposa l’idée force qu’il devait défendre.
Par delà les partis, les passions électorales momentanées, l’Europe demeure. Et Adolf Hitler, avec la gravité qui convient, l’explique de la façon la plus limpide qui soit.