Absolument jouissif : une journaliste gouine militante LGBT se fait flinguer par des nationalistes irlandais en pleine rue

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 avril 2019

Le monde est un endroit un peu plus respirable depuis hier soir.

LCI :

« Complètement dingue ». Ce sont les derniers mots Lyra McKee, publié jeudi soir, sur Twitter. Cette journaliste de 29 ans assistait à des émeutes à Londonderry, en Irlande du Nord. C’est là qu’elle a été tuée, a annoncé la police ce vendredi matin, qualifiant ce drame « d’incident terroriste ».

« Je peux malheureusement confirmer qu’après des échanges de tirs cette nuit à Creggan (un quartier du nord de Londonderry, ndlr), une femme de 29 ans a été tuée », a annoncé sur Twitter le commissaire en chef adjoint de la police nord-irlandaise, Mark Hamilton. Selon l’agence littéraire Janklow & Nesbit, Lyra McKee est née à Belfast et a beaucoup écrit sur le conflit nord-irlandais et ses conséquences. Sur son compte Twitter, elle a posté jeudi en début de soirée une photo qui semble présenter les violences de Londonderry au cours de la nuit. « Je me tenais à côté de cette jeune femme quand elle est tombée à côté d’une Land Rover », a tweeté la journaliste du Belfast Telegraph Leona O’Neill. « J’ai appelé une ambulance pour elle mais la police l’a mise à l’arrière du véhicule et l’a emmenée à l’hôpital où elle est décédée« .

Il suffit de regarder le profil de cette gonzesse pour savoir que c’est une balle céleste qui a fait le job, Jeudi Saint oblige.

Cette tronche de goudou dégueulasse.

20 Minutes :

Sa reconnaissance, en Irlande du Nord et, donc, au-delà, tient aussi à son engagement pour les droits des personnes LGBTI. Lyra McKee, ouvertement lesbienne, s’était fait connaître en 2014 grâce à la publication de sa lettre à l’ado qu’elle était (Letter to my 14 year old self). Dans ce texte, absolument poignant, elle raconte notamment son coming out et sa vie désormais heureuse. Un court-métrage, inspiré de cette lettre, était sorti en 2017.

La même année, dans The Irish Times, elle se confiait sur son engagement pour les droits LGBTI : « À 14 ans, je pensais que vous ne pouviez être lesbienne et en être fiers ; que c’était un secret qu’il fallait garder à tout prix. Je croyais qu’il valait mieux être morte qu’ouvertement lesbienne. Je le croyais à cause de tous les écrits bibliques. J’avais l’habitude de rester chez moi la nuit et de négocier avec Dieu pour qu’il ne m’envoie pas en enfer. Je pense qu’aucun enfant ne devrait avoir à subir cela. »

Sa lutte pour les droits des personnes LGBT est un sacerdoce en Irlande du Nord, où la politique est encore largement polarisée par des enjeux religieux. C’est, par exemple, la seule région du Royaume-Uni où le mariage entre personnes du même sexe n’est pas autorisé. Plus récemment encore elle avait donné une conférence TEDx sur cette question.

On dirait que Dieu n’a pas accepté de négocier.

Un châtiment divin tout ce qu’il y a de plus impitoyablement divin.

Si cette traînée, au lieu de jouer aux hommes, était restée à la maison un jeudi soir pour s’occuper de ses trois ou quatre enfants, elle n’aurait pas pris une balle lors d’un affrontement de rue entre Nationalistes et Unionistes.

Ce principe de bon sens, pourtant élémentaire, échappe à ces traînées castratrices qui en payent instantanément les conséquences selon les lois parfaites et immuables de l’ordre naturel.

Arlene Foster, le cheffe du parti unioniste nord-irlandais DUP, a rapidement condamné les faits, évoquant un « acte insensé » et des « nouvelles déchirantes ». Le parti nationaliste irlandais Sinn Féin a également condamné « sans réserve » ces faits, qualifiant le décès de la jeune femme d' »attaque contre toute la communauté, contre le processus de paix, et contre l’accord du Vendredi Saint », signé en 1998 pour mettre fin aux Troubles, en vertu duquel le pouvoir dans la province est partagé entre le Sinn Fein et le DUP.

Le Sinn Fein n’a rien de « nationaliste ».

C’est un parti de lesbiennes pro-migrants.

Ces gouines peuvent chialer, cela ne ramènera pas cette traînée de l’Enfer.

Pour ajouter un peu de sel sur les plaies de ces traînées, leur championne a été flinguée par des mecs, nationalistes et armés.

Une leçon qui devrait encourager ces goudous à rester dans leurs bureaux chauffés plutôt que de planter leurs chattes au beau milieu des combats de rue politiques lors desquels les choses sérieuses se règlent entre hommes.

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