Captain Harlock
Démocratie Participative
11 décembre 2019
La race juive va officiellement être reconnue aux USA.
Le président Trump prévoit de signer mercredi un décret exécutif ciblant ce qu’il considère comme de l’antisémitisme sur les campus universitaires en menaçant de retenir l’argent fédéral des établissements d’enseignement qui ne parviennent pas à combattre la discrimination, ont déclaré mardi trois responsables administratifs.
L’ordonnance interprétera effectivement le judaïsme comme une race ou une nationalité, et pas seulement comme une religion, afin d’inciter une loi fédérale pénalisant les collèges et universités considérés comme se dérobant à leur responsabilité de favoriser un climat ouvert aux étudiants appartenant à des minorités. Ces dernières années, le mouvement de Boycott, Désinvestissement et Sanctions – ou B.D.S. – contre Israël a ébranlé certains campus, laissant certains étudiants juifs se sentir mal accueillis ou attaqués.
En signant le décret, M. Trump utilisera son pouvoir exécutif pour prendre des mesures alors que le Congrès ne l’a pas fait, reproduisant essentiellement une loi bipartisane qui est restée au Capitole pendant plusieurs années. Des démocrates éminents se sont joints aux républicains pour promouvoir un tel changement de politique afin de combattre l’antisémitisme ainsi que le mouvement de boycott d’Israël.
L’ordre devant être signé par M. Trump habiliterait le ministère de l’Éducation à prendre de telles mesures. En vertu du titre VI de la Loi sur les droits civils de 1964, le ministère peut refuser de financer tout collège ou programme d’enseignement qui établit une discrimination fondée sur la race, la couleur ou l’origine nationale. La religion n’a pas été incluse dans les catégories protégées, de sorte que l’ordre de M. Trump aura pour effet de faire sien l’argument selon lequel les Juifs sont un peuple ou une race ayant une origine nationale collective au Moyen-Orient, comme les Américains d’origine italienne ou polonaise.
La définition de l’antisémitisme qui sera adoptée par le département d’État et formulée à l’origine par l’International Holocaust Remembrance Alliance comprend « une certaine perception des Juifs, qui peut s’exprimer par la haine envers les Juifs ». Cependant, elle ajoute que » les critiques à l’égard d’Israël, semblables à celles formulées à l’encontre de tout autre pays, ne peuvent être considérées comme antisémites « .
Le juif vous glisse entre les mains comme une couleuvre à la minute où vous essayez de le tenir fermement.
Les juifs, à leur propre sujet, jouent sans aucune forme de scrupule sur les mots dès lors qu’il s’agit de semer la confusion dans l’esprit des goyim pour échapper à toute identification formelle.
Le juif, pour opérer, doit être invisible aux yeux de la société où il commet ses crimes.
La crainte qu’a le juif d’être nommé frontalement lui fait perdre tous ses moyens. Éternel parasite se sachant étranger dans le corps d’une nation, le camouflage est pour lui une obligation existentielle.
Grâce à ses efforts pour se dissimuler, il s’insinue partout au sein d’un peuple sans jamais se départir de sa conscience tribale. Corps étranger, il anéantit la cohésion et l’homogénéité de la nation qu’il hante pour donner toujours plus de marge de manœuvre à sa race.
S’il affecte de dire qu’il ne diffère de vous que par la religion, le même, si sa religion est pointée du doigt, s’empresse de dire qu’un juif peut parfaitement être athée et qu’à ce titre, il n’est comptable de rien des agissements des juifs religieux les plus radicaux, en Israël ou ailleurs.
Mais si d’aventure un rabbin est passablement ennuyé par des goyim, le même se mettra à prêcher passionnément la défense du prêtre de Yahvé.
Qu’il s’agisse de son libéralisme d’apparat ou de son judaïsme écumant de fanatisme, le juif reste le même escroc sorti du désert de Palestine. Il feint de ne pas appartenir à un groupe particulier pour ne pas être identifié, marqué et neutralisé.
Mais si le juif se dissimule pour éviter les réactions des autochtones à ses méfaits, il s’empresse de s’affirmer glorieusement une fois les reines du pouvoir en mains.
Car le juif veut, d’abord et avant tout, dominer et être vénéré par le bétail goy.
On peut remercier Trump d’avoir contribué à sortir un peu plus d’Américains de leur torpeur sur le sujet.
Quant à la gauche colorée US, elle va en concevoir une haine encore plus fanatique du peuple d’Abraham.