À VOIR : sur LCI avec Pujadas, un débat apaisé sur la « décolonisation » de la Crimée par nettoyage ethnique à grande échelle contre les civils russes

La rédaction
Démocratie Participative
01 février 2023

 

Asseyez-vous, car vous allez voir un des extraits médiatiques les plus spectaculaires de l’histoire française.

Pujadas a organisé sur LCI un « débat » sur la façon de procéder au nettoyage ethnique à grande échelle de la Crimée pour y détruire les 1,5 millions de Russes présents. Apparemment, l’origine ethnique suffit pour être éligible à ce programme démocratique.

Au terme du droit international dont se revendiquent les démocraties, on appelle ça un génocide.

Je vous laisse imaginer un débat identique, mais cette fois à propos des 16 millions d’allogènes afro-musulmans que le pouvoir juif international a importé et continue d’importer en France, depuis ces 50 dernières années.

Imaginez juste une minute.

Outre les hurlements tonitruants de la presse juive et des partis juifs, la réaction d’Emmanuel Macron, de ses ministres et du CRIF, les personnes présentes perdraient leurs carrières et finiraient dans un tribunal, traînés en justice par la LICRA, SOS Racisme, le MRAP, la LDH, l’UEJF.

Toute cette propagande à propos des chambres à gaz imaginaires pendant 80 ans pour finalement voir la première chaîne française théoriser publiquement la meilleure façon de mener un génocide.

Cependant, il faut toute la naïveté d’un goy pour être surpris par ce débat à propos du génocide des Russes de Crimée pour la « décoloniser » par les mêmes médias qui veillent à la colonisation de l’Europe par les masses du tiers-monde.

Vous avez avez sous les yeux le fanatisme cynique des juifs.

C’est la raison pour laquelle on ne doit jamais jouer avec ces juifs, pas plus qu’avec un requin.

C’est d’autant plus sémitique de duperie et de soif de sang que la Crimée n’a jamais été ukrainienne. Les frontières de l’Ukraine actuelle sont simplement les frontières administratives de la République Socialiste Soviétique d’Ukraine lorsqu’elle n’était qu’une subdivision de l’Union Soviétique.

La Crimée a été attachée administrativement à cette république en 1954 de la même façon qu’en France des communes sont parfois fusionnées avec d’autres. C’est un simple acte de gestion bureaucratique interne au même état.

Les Russes de Crimée se sont retrouvés au sein de la RSS d’Ukraine comme un Français se retrouve rattaché à une nouvelle commune après une fusion. Sa citoyenneté est la même que celle des habitants de la commune à laquelle il est rattaché.

Cela n’a aucune signification autre que technique.

À présent, le gang juif de Kiev proclame que les Russes n’ont rien à faire en Crimée parce que le cadastre de 1990 prétend que leur état factice est propriétaire de cette péninsule. D’après eux, cela leur donne carte blanche pour procéder au nettoyage ethnique à grande échelle contre la population russe.

C’est ce qu’expliquent les médias français, en ce moment même : le génocide des Russes est nécessaire pour les démocraties.

Nous devrions sérieusement commencer à mesurer ce qui est en train de se préparer car les Russes ne vont pas se laisser exterminer par les juifs une seconde fois après la révolution bolchevique de 1918.

Comme je l’ai dit souvent ici, ce que les juifs préparent pour la Russie est identique à ce qu’ils ont infligé à l’Allemagne nationale-socialiste. Nous retrouvons d’ailleurs les mêmes protagonistes qu’en 1939, de la Pologne en passant par les Anglais et, bien entendu, les juifs.

En 1944, le juif Henry Morgenthau, ministre des finances américain, publia le plan qu’il avait préparé avec Roosevelt pour la destruction du peuple allemand.

Le « programme pour la capitulation de l’Allemagne ».

Le juif Henry Morgenthau

L’Allemagne devait être démantelée en plusieurs états factices, l’économie réduite à une activité agricole identique à celle du 18e siècle, des dizaines de millions d’Allemands devaient être méthodiquement affamés et privés de soins élémentaires.

Herbert Hoover, après avoir analysé le plan, parvint à la conclusion qu’au moins 25 millions d’Allemands seraient exterminés en vertu de l’application du programme du juif Morgenthau.

Ce plan fut effectivement mis en oeuvre dès 1944 dans toutes les zones occupées par les forces alliées en Allemagne. Jusqu’en 1947, il fit environ 5,7 millions de morts en raison de la famine patiemment organisée par la juiverie américaine. La situation aurait continué indéfiniment si les Russes, conscients de la situation, n’avaient pas commencé à l’exploiter pour gêner les troupes d’occupation américaines en Allemagne, en y excitant le sentiment pro-communiste.

Cela n’empêchait pas les communistes, en Europe centrale occupée par l’URSS, de mener le nettoyage ethnique contre les Allemands. Il s’étala de 1944 à 1950, avec la mort de 2 millions de civils allemands et l’expulsion de 13 millions supplémentaires.

Enfin, près de 800,000 prisonniers de guerre allemands furent affamés par Eisenhower dans les camps de prisonniers alliés.

Soit un total de 9 millions d’Allemands détruits.

Tout cela est patiemment détaillé par l’historien James Bacque dans son livre Crimes and mercies.

La même juiverie new-yorkaise qui a supervisé la destruction de l’Allemagne pour s’être rebellée en 1933 contre son exploitation sauvage par les juifs veut à présent réserver un sort similaire à la Russie.

Les Russes sont en train de découvrir ce que préparent les juifs à la faveur des discussions au plus haut niveau sur le démantèlement de leur pays et, désormais, de l’extermination physique de tout ou partie de leur peuple.

Le seul obstacle qui se pose entre ce projet génocidaire et sa réalisation est l’arsenal atomique russe, ce que tous ces plumitifs de LCI, dont le macroniste radicalisé Quatremer, semblent avoir oublié.

Si l’État français continue d’armer les criminels de Kiev, la France sera assimilée à un état génocidaire par la Russie avec tout ce que cela implique en cas de confrontation généralisée. Si les Russes n’ont que le choix entre le génocide et la guerre nucléaire, ils opteront pour la seconde où ils ont au moins une chance de tuer autant de gens en face.

J’ai la conviction que toute une série d’états va regretter amèrement de s’être aventurée dans cette guerre génocidaire juive, à commencer par la méchante Pologne.

Quoi qu’il en soit, il est désormais acquis que la remigration est une méthode autrement plus humaine de régler un problème démographique.

Nous avons toujours été les modérés et, franchement, le camp du bien.

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