À Perpignan, c’est bon ramadan !

La rédaction
Démocratie Participative
25 mars 2023

 

Bon djihad républicain à tous les Musulmans de Perpignan !

Le fléau du harkisme mental, je crois que je m’y habituerai jamais.

Monsieur Louis Aliot-Sultan est un Français Crémieux, très remonté contre l’antisémitisme du Front National depuis toujours et tout aussi passionné par le Maghreb dont il a la lancinante nostalgie.

C’est pourquoi il reconstruit l’Algérie française à Perpignan, les Gitans en plus.

Cela n’a rien de nouveau, bien entendu.

Les politiciens vendraient père et mère pour un plat de lentilles.

Si j’en parle, c’est que l’électoralisme, si obsédant pour certains, a pour fonction de se faire élire. Élire à la tête d’une zone donnée, avec sa démographie, qu’il faut ensuite gérer dans le cadre étatique actuel, celui d’une république guidée par des idées juives que sont le multiracialisme, le féminisme, le relativisme, lestée de quartiers entiers d’allogènes, une république par définition ouverte aux quatre vents, sans aucun moyen légal pour l’indigène aryen de s’opposer à l’invasion des parasites qui viennent sucer sa force vitale grâce à l’état-providence.

C’est presque comme si l’infrastructure qu’est la société finissait par contraindre la superstructure qu’est le système politique à en adopter les codes et les attentes pour rester représentatif du soubassement social et racial sur lequel il est juché.

Faute de quoi, les changements brutaux surviennent.

Se faire élire dans une ville bougnoulisée condamne l’heureux élu à faire la volonté de ses électeurs musulmans qu’il ne manque pas de courtiser. S’il s’y refusait, il serait dégagé aux élections suivantes.

Droite, gauche, c’est indifférent. Les élections, c’est la majorité, la majorité, c’est la démographie.

Aucun parti porté sur l’électoralisme ne peut échapper aux lois de la gravité démographique.

Saint-Denis est par exemple en train d’être reconquise par le Congo zemmouriste.

À quoi sert de devenir maire d’une ville maghrébine, exactement ?

Au mieux, il y aura moins de déchets dans les rues, un peu plus de flics municipaux, mais toujours autant d’Algériens dans les rues.

L’extrême-droite démocratique a tout intérêt à maintenir ce cap, parce qu’elle veut des sièges dans la superstructure de ce régime républicain finissant.

Un changement consiste à redéfinir la superstructure pour qu’elle corresponde à l’infrastructure. Ce que l’on appelle d’ordinaire une révolution.

C’est en dominant des zones toujours plus larges, avec leurs mosquées et leurs associations de quartier, que les Mahométans imposent leurs volontés aux élus locaux, avant de les remplacer purement et simplement.

Il ne vient jamais à l’idée des Blancs, férocement enfoncés dans leur individualisme nihiliste, de s’organiser territorialement en organisations culturelles pour exercer une pression maximale sur les élus locaux et les faire ramper.

Autrefois le Catholicisme légitimiste a pu jouer dans les campagnes ce rôle social unificateur, avec ses prêtres et ses écoles, sa haine de la démocratie et des juifs, mais sur la base d’une idée et d’un ordre social qui disparaissaient sous l’effet de l’exode rural et de l’émergence du monde ouvrier annexé à la cause du marxisme. Ce n’est pas ce clergé homosexuel, négrifié, devenu marginal, acquis à la victoire raciale de la sous-humanité d’Afrique contre l’Europe, qui fera aujourd’hui ce qu’il a échoué à faire quand il était infiniment plus puissant.

Les Blancs sont avachis dans leurs pavillons, viscéralement hostiles à toute action collective utile.

Au milieu des invasions barbares, ils sont préoccupés par des matchs de foot, salons de l’auto et foires au picrate. Ils passent leur vie sur des jeux vidéos ou à perdre du temps sur les réseaux sociaux.

Avec des timbres gogols républicains en prime parce que c’est bien triste tous ces bougnoules régularisés par la République qui égorgent des infidèles.

Les Blancs ont intérêt à trouver une idée raciale unificatrice et opérationnelle avant de finir remplacés au nom de la religion française des droits de l’homme et du patriotisme couscous-pinard cher à la beaufrerie cocardière.

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