Sigmar Polaris
Démocratie Participative
26 novembre 2022
Douarnenez est une ville perdue toute au fond de la péninsule bretonne. C’est également la première ville de France à avoir élu un maire communiste dans les années 1920.
Aujourd’hui, c’est une ville peuplée de vieux dirigée par une dictature vaginale rouge.
Une foule nombreuse s’est réunie à l’appel du Planning familial de Douarnenez, vendredi 25 novembre au soir, au Rosmeur, autour d’un monument aux mortes. Un rassemblement organisé dans le cadre de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
Elles s’appelaient Angélique, Nadège, Marjo, Catherine. Elles avaient 27, 43, 54, 61 ans. Leur point commun ? Celui d’être l’une des 102 femmes à avoir été tuées par leur conjoint au cours de l’année 2022, en France. Vendredi soir, au Rosmeur, à Douarnenez, le nom de chacune de ces victimes, ainsi que leur âge, ont été affichés sur de petits bouts de papier suspendus à un fil.
Derrière ce macabre décompte, un monument aux mortes éphémère, surmonté d’un clitoris, a été érigé par l’antenne locale du Planning familial afin de rendre hommage à ces victimes, dans le cadre de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.
À quand un monument aux bébés avortés ?
La particularité pittoresque de Douarnenez, ce sont les très nombreux migrants noirs qui pêchent sur le port.
Ça a bien changé.