Capitaine Harlock
Démocratie Participative
13 octobre 2017
La gueule de la femme française moderne actuelle. Une nana déglinguée qui rage dans un livre sur les tâches ménagères.
Cette « féministe » s’appelle « Titiou Lecoq ». Elle incarne parfaitement ce qui arrive quand les hommes ne tiennent plus leur femmes parce qu’ils sont à côté de leurs pompes.
Dans une interview, elle égraine ses délires :
Quand on dit « il ne faut pas utiliser de sèche-linge, prendre des couches lavables, des bocaux en verre pour le vrac… », on ne peut pas demander aux femmes de s’occuper de tout ça. C’est juste impossible. C’est un impératif écologique que les hommes s’en mêlent.
Le reste du même tonneau.
D’après vous, une féministe se sentirait-elle de discuter « autorité » avec ça à la maison :
Moi non plus.
Elle continue :
Les auteurs, comme Balzac par exemple, disent : il faut occuper les femmes en permanence. Sinon elles risquent de forniquer partout ou encore pire, de se masturber, car la femme est considérée comme un être vicieux. On a oublié ça, mais on a conservé ce principe de charge.
Balzac ne se doutait certainement pas que surgirait pire encore : le nègre. Une fois le nègre intégré dans le tableau, l’écrivain se voit confirmer dans son appréhension.
Tout ceci appelle un rappel général au sujet de la femme et surtout, au sujet des hommes.
Les femmes sont comme les chiens
Les femmes sont comme les chiens. Attention, cela n’a rien de négatif ! Les chiens sont des créatures extraordinaires qui sont les plus fidèles qui existent. Une femme dont un homme sait s’occuper sera sa plus fidèle et sa plus sûre compagne et pourra tout sacrifier pour lui.
Vous connaissez le diction : il n’y a pas de mauvais chiens mais seulement de mauvais maîtres. Cette sale pute de Titiou Lecoq pense faire le bon diagnostic. En vérité, elle ne fait que réagir de manière instinctive au fait qu’elle est en ménage avec une baltringue qui ne sait tout simplement pas s’occuper d’elle.
Bref, elle a un mauvais maître.
Cette Titiou Lecoq est en train de se transformer en monstre – c’est-à-dire en féministe – parce que son conjoint se comporte comme un maître qui n’apprécie pas les efforts de son chien.
Les hommes ne comprennent généralement pas cette analogie entre une femme et un chien et agissent plutôt avec les femmes comme avec des plantes vertes. Pour qu’une femme soit soumise – donc heureuse – elle a besoin d’attention et d’affection. Si un homme ne peut pas leur en donner, il ne doit pas en avoir. Exactement comme un chien !
Avec une femme, il faut littéralement un « budget temps ». Verser de l’eau une fois dans la journée ne suffit pas. Si vous ne donnez pas du temps à une femme, elle vous le fera payer chèrement, comme votre chien qui ruinera vos coussins ou bouffera votre chat.
Une femme comblée viendra toujours célébrer le retour de son maître à la maison, toujours.
Une femme vous analyse tout le temps
L’homme est l’axe autour duquel une femme tourne. Si l’homme ne lui fournit pas cet axe, elle part à la dérive et en veut, à juste raison, à l’homme pour ne pas l’arrimer à la réalité.
Pour qu’une femme devienne une véritable bombe à retardement, l’homme doit accumuler les erreurs psychologiques élémentaires avec une régularité parfaite. Aussi étrange que cela paraisse pour un homme, une femme est aussi sensible qu’un verre de cristal. Un seul mot désobligeant prononcé par mégarde a sur elle un effet décuplé. La moindre expression de mécontentement ou d’hésitation ne lui échappe jamais.
L’opinion de l’homme qu’elle aime est, pour une femme, la chose la plus importante qui soit. C’est pour elle l’objet de réflexions complexes sur le pourquoi du comment.
Ce qui paraît n’être pour un homme qu’une simple observation passablement négative revient, pour une femme, à un crachat en pleine face.
Pour s’épargner de sérieux détriments, un homme doit apprendre à surveiller sa langue quand il est près d’une femme. Toujours, tout le temps. Cela s’apprend. Si un homme s’amuse à dire quelque chose de négatif à une femme, des conséquences très sérieuses sont à prévoir.
L’homme non éveillé sur ces questions découvre la réalité ainsi :
- Tout va bien
- Elle ne veut plus faire l’amour
- Divorce
Les femmes veulent être utilisées
De la même façon que les hommes veulent servir un but à caractère collectif, les femmes ont un besoin pressant de servir leurs hommes. Les femmes sont comme vides et ont besoin que les hommes leur donnent une raison d’exister.
N’en cherchez pas la raison, c’est ainsi et ce sera toujours ainsi.
Une femme n’a pas besoin « d’égalité » mais de sentir qu’elle remplit ce rôle. C’est ce qui la rend heureuse et qui fait qu’elle demande si peu en retour de ses efforts et sacrifices.
Le nombre d’heures qu’elle travaille, ses efforts, tout cela n’est absolument rien pour elle tant qu’elle se sent appréciée pour ce qu’elle fait.
Si ce n’est pas le cas, elle se dit en substance, « Je me casse le cul pour toi et tu t’en fous, cela veut dire que tu ne m’aimes plus !!! ».
Quand elle ne se sent plus appréciée, cela signifie pour elle qu’elle ne remplit pas son rôle.
Oubliez donc ce que racontent toutes les femmes du genre de Titiou Lecoq au sujet des tâches ménagères. Une femme n’archive pas qui a fait quoi, ni quand.
Si vous réagissez à ses réflexions au sujet du linge, de la vaisselle, du nettoyage de X ou Y truc, en répondant à ses attentes et pouvoir dire, « OK, nous sommes à égalité maintenant donc tu n’as plus le droit de te plaindre », cela ne va faire que la rendre encore plus folle de rage. Elle passera du linge à l’aspirateur, puis de l’aspirateur à la voiture, etc.
Une femme ne sait pas ce qu’elle veut, sinon elle serait un homme !
Ce qu’elle veut n’a rien à voir avec ce qu’elle dit. Ce qu’elle veut sans le comprendre, c’est que l’homme la regarde et l’apprécie à sa juste valeur.
C’est le manque d’attention de l’homme le problème en ce cas, pas la quantité objective du travail réalisé.
Quand elle fait la vaisselle, il suffit de dire à une femme combien vous appréciez ce qu’elle fait et se fichera de la faire. Peu importe ce qu’elle dit.
Une femme ne fait qu’exprimer ce qu’elle ressent, ce qui n’a rien à voir avec la réalité objective. Répondre à ce qu’elle dit sur la base de ce qu’elle dit est la façon la plus sûre de ruiner une relation.
En conclusion, il appartient à l’homme de s’assurer qu’il a une femme qui soit effectivement sa femme.
Et la Titiou Lecoq a besoin d’un maître de toute urgence. Ce que vous pouvez lui dire d’ailleurs ici :
Autopromo: merci mille fois à Dorothée Werner pour les 3 pages dans le @ELLEfrance (le King Kong théorie de la maternité = fierté) pic.twitter.com/kwvMcjND2x
— Titiou Lecoq (@titiou) 6 octobre 2017