Capitaine Harlock
Démocratie Participative
21 mars 2018
C’est une réalité incontestable : la gauche nihiliste petite-bourgeoise n’a plus rien à dire au peuple.
Alors, elle défèque un peu partout. D’ailleurs, ces nègres ne leur servent qu’à ça : à chier par procuration.
Depuis un mois et demi, un collectif d’extrême gauche s’est installé avec une centaine de migrants dans des locaux universitaires situés à Saint-Denis. Depuis, des tags anti-France, anti-blancs et homophobes fleurissent sur les murs de la Faculté. L’Université a annoncé qu’elle portait plainte.
«Français = PD», «Femmes, voilez-vous!», «AntiFrance vaincra», «Mort aux blancs», «Beau comme une voiture de police qui brûle», «Kill Cops (au pluriel)», etc. Les murs du bâtiment A de l’Université Paris-8 sont devenus, depuis le 30 janvier, le lieu d’expression d’une violence extrême contre les «blancs», la France, les policiers, Israël et les homosexuels. Situés à Saint-Denis, les locaux de l’Université Paris-8, historiquement marquée à gauche, ont été investis par un collectif d’extrême gauche et des migrants, qui les occupent depuis un mois et demi. Contactée par Le Figaro, l’Université «condamne avec la plus grande fermeté les tags trouvés sur les murs le 8 mars» et annonce qu’elle va porter plainte.
« Français = PD », bof bof.
L’homophobie, rappel de l’oppression patriarcale blanche défendue par les gauchistes de Paris 8, c’est tout de même moyen.
Ces militants d’extrême-gauche, dont font partie des universitaires et des membres du personnel, ont organisé, le 30 janvier, l’installation d’environ 80 migrants dans le bâtiment A. Depuis, un bras de fer les oppose à la présidence de l’Université, pourtant compréhensive dans les mails qu’elle envoie au collectif. L’établissement qui se définit comme une «université monde» et qui rappelle sa «fidélité à l’idéal d’accueil et d’hospitalité», a par exemple «mis à disposition des migrant.e.s et de leurs soutiens des planches et des tréteaux pour qu’ils puissent participer à une brocante solidaire». L’université propose également, depuis plusieurs semaines, au collectif de s’installer dans un grand amphithéâtre, avec un réfectoire, des communs et des douches (500 m2 au total), pour libérer le bâtiment A et permettre la reprise des enseignements.
Ce paradis juif donne ça.
?À PARTAGER?Nous dénonçons l’occupation sauvage d’un bâtiment de l’université #Paris8 #SaintDenis par quelques activistes d’extrême-gauche. Plus d’une centaine de clandestins y sont désormais logés dans des salles de cours en toute illégalité. #Occupation pic.twitter.com/otmMMOOY4E
— La Cocarde Etudiante (@CocardeEtud) 20 mars 2018
Paris 8 est depuis l’origine une décharge pour toute la vermine marxiste petite-bourgeoise de coloration passablement ashkénaze de Paris. Enfin, les autres aussi mais disons que c’est sa fonction initiale, elle a été créée pour ça en 1969.
Vous avez ces nègres qui veulent simplement s’agglutiner quelque part pour chier et bouffer. Et vous avez ces dégénérés qui ne savent pas comment passer leur journée.
Il n’y a aucun idéal là-dedans.
Ni chez ces sous-hommes subsahariens, ni chez ces sociopathes anarchistes.
C’est ce qui se passe quand vous laissez la démocratie juive prospérer : l’ordre social est détruit avec les solidarités organiques et la haine de soi inculquée par la presse judéo-communiste excite les comportements asociaux, déviants et assimilés.
S’il y a encore 20 ans, cette crasse tentait de revendiquer des trucs encore intelligibles, aujourd’hui elle assume le fait de vouloir se suicider en mangeant du caca nègre.
D’ailleurs, c’est dans ce trou à purin de Paris 8 que la grosse youpine Benoliel était partie se rouler complaisamment, attirée par les effluves de décomposition raciale.
Soyons sérieux : nous avons là, en face de nous, des gens qui ont besoin d’un traitement psychiatrique lourd et d’une prise en charge intégrale par une administration particulière. Un programme de rééducation par le travail est le strict minimum.