La Rédaction
Démocratie Participative
01 août 2024
Ça pourrait être drôle, mais Musk et Maduro sont des mythomanes.
Elon Musk accepte le défi du dictateur vénézuélien Nicolás Maduro de se battre.
Juste quand vous pensiez que 2024 ne pouvait pas être plus fou.
Maduro : « Elon Musk. Quiconque s’en prend à moi se dessèche. Quiconque s’en prend au Venezuela se dessèche, Elon Musk.
Vous voulez vous battre ? C’est parti, Elon Musk. Je suis prêt… Je n’ai pas peur de vous. Allons-y, où vous voulez… Dites simplement où. »
Musk : « J’accepte… Il va se dégonfler. »
JUST IN: Elon Musk accepts Venezuelan Dictator Nicolás Maduro’s challenge to a fight.
Just when you thought 2024 couldn’t get any crazier.
Maduro: « Elon Musk. Whoever messes with me, dries up. Whoever messes with Venezuela dries up, Elon Musk.
You want to fight? Let’s have… pic.twitter.com/rqvCphOsuJ
— Collin Rugg (@CollinRugg) July 31, 2024
Hormis ce spectacle absurde, le reste demeure dans le domaine des réalités ordinaires.
Peu de gens achètent le coup d’état du juif Maduro, mais il peut compter sur l’aide tacite de quelques états dont le Mexique, désormais sous la férule de la juive Scheinbaum.
La présidente élue virtuelle du Mexique, Claudia Sheinbaum, s’est élevée contre l’interventionnisme de plusieurs pays dans les élections au Venezuela où l’actuel président Nicolás Maduro a gagné.
La virtual presidenta electa de México, Claudia Sheinbaum, se pronunció en contra del intervencionismo de varios países en las elecciones de Venezuela donde ganó el actual mandatario Nicolás Maduro. pic.twitter.com/8N9Luis3G5
— Joaquín López-Dóriga (@lopezdoriga) July 30, 2024
Au moins sept pays du continent ne reconnaissent pas le bourrage d’urnes auquel se livre le juif Maduro et sa bande de narco-trafiquants rouges.
Ces pays doivent voisiner avec cet état mafieux et faire face aux millions de réfugiés qui fuient l’enfer tropical chaviste. Un peu comme l’Algérie pour nous, mais en bien pire.
Ils en ont soupé et ne veulent plus subir les nuisances de ce tyrannie bolcheviste.
Maduro est désormais en guerre quasiment ouverte avec la moitié des pays d’Amérique latine.
Bukele ne mâche pas ses mots à propos du satrape communiste.
Ce que nous avons vu hier au Venezuela n’a d’autre nom que la fraude. Une « élection » dont le résultat officiel n’a rien à voir avec la réalité. Cela n’échappe à personne.
Nous avons rompu les relations diplomatiques avec Maduro il y a quatre ans. Nous ne les rouvrirons pas tant que son peuple n’aura pas choisi ses dirigeants lors de véritables élections.
Lo que vimos ayer en Venezuela no tiene otro nombre más que fraude. Una “elección” donde el resultado oficial no tiene relación con la realidad. Algo evidente para cualquiera.
Rompimos relaciones diplomáticas con Maduro desde hace 4 años. No las reabriremos hasta que su pueblo…
— Nayib Bukele (@nayibbukele) July 29, 2024
Hélas pour eux, ces états ne peuvent pas faire grand chose, si ce n’est demander un « recomptage » des votes. Ce qui ne sert à rien puisque ce sont les gangsters de Maduro qui comptent ces votes.
Au moins 7 millions d’habitants ont fui le pays depuis que l’ogre juif a pris le pouvoir, ce qui a plongé le pays dans une cycle de dépeuplement.
Les bandits marxistes ont réussi a enrayé l’économie nationale et cela en quelques années.
Le PIB par habitant du pays a été ramené à ce qu’il était il y a 80 ans.
Le Venezuela n’a pas d’importance stratégique, les Américains n’essaieront pas particulièrement d’intervenir plus que d’habitude.
On entend beaucoup parler des réserves de pétrole du pays qui pousseraient les USA à « déstabiliser » ce trou à rats, mais c’est absurde. Le Venezuela représente moins de 1% des ventes mondiales de pétrole. Il y a bien quelques hommes d’affaires américains qui aimeraient faire quelques profits avec, mais c’est bien trop marginal pour mettre en mouvement le gouvernement américain.
Ce pays a simplement contracté le marxisme et sans révolution, cette maladie est incurable. Cette tyrannie peut durer encore des décennies en empilant les cadavres dans les rues et en affamant sa population.
Et comme il n’y a pas d’enjeu stratégique, personne n’a envie d’intervenir militairement pour abattre le gang de Maduro.
La gauche sud-américaine n’est pas nécessairement très friande du chavisme, mais elle fait implicitement bloc derrière ce régime pourri.
Lula da Silva s’assure en coulisses qu’il survive à la colère du peuple.
Mélenchon est très silencieux sur tout ce qui se passe.
Le modèle vénézuélien, avec ses créatures marron faméliques et son populisme trotskiste tropical, représente pour lui l’idéal à atteindre.
Mais au vu de la situation, soutenir ouvertement le régime est intenable. Tôt ou tard il sortira du bois pour longuement discourir sur des détails, soutenir sans soutenir.
Crever de faim et de maladie, entouré de mulâtres sur du Manu Chao : la définition du dernier cercle de l’Enfer.
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