Capitaine Harlock
Démocratie Participative
10 mars 2018
Mes amis, nous commençons à réveiller, petit à petit, les vrais Français. Notre offensive avance.
La demi-maghrébine et glorieuse putain à nègre Sheryfa Luna s’est lamentée au pied du Mur des Lamentations médiatique pour dire tout son désespoir face au front du refus racial.
On peut l’entendre dire à 0:47′, « certaines personnes prennent le temps d’utiliser des termes à l’époque de l’esclavage. « Tes enfants sont des mûlatres ! »… On est en 2018… »
Je ne ne vois pas bien le rapport avec l’année actuelle. Un rejeton de cafre et d’une Blanche ou, comme ici, d’une demi-Blanche, est effectivement un mulâtre. Je veux dire, c’est factuel.
Indubitablement, en agitant suffisamment la bouteille, nous sortons l’Aryen de sa dangereuse torpeur.
C’est ce travail inlassable qui doit être mené et il est particulièrement satisfaisant de voir les démocrates participatifs monter au front pour dire enfin à ces déchets raciaux invasifs ce qu’ils sont : des parasites de la pire sorte.
Classifions
D’ailleurs, les Espagnols ont mis au point un système de classification raciale au sein de leur empire qui mérite que l’on s’y attarde. Il a le mérite de décrire le degré d’empoisonnement racial au sein d’une société et de le circonscrire. Chacun comprenant bien que le poison du sang nègre est le plus destructeur d’entre tous, celui qui fait basculer un peuple en son entier dans le néant éternel de l’histoire.
Vous aviez d’abord les « Espagnols« , c’est-à-dire, par évidence, les colons espagnols libres de toute infection biologique.
Ensuite, les « Péninsulaires » qui englobaient tous les Européens, Espagnols y compris.
Vous aviez ensuite les « Criollos » pour désigner les Espagnols nés en Amérique sans aucune altération du sang. Ceux qui dans les Antilles françaises sont appelés les Békés ou Blancs créoles.
Vous avez bien sûr les « Indios » ou « Indiens », c’est-à-dire les indigènes purs. Le même terme était utilisé dans les Antilles.
Vous avez les mestizos – « métis » – issus d’un parent Espagnol / Européen et d’un parent indien, à distinguer des mulâtres. Donc un individu pour moitié espagnol.
Vous avez les castizos – « quarteron » – issus d’un parent espagnol et d’un mestizos, c’est-à-dire d’un métis d’Espagnol et d’Indien. Donc un individu au trois quarts espagnol.
Vous avez les cholos issus d’un parent métis – moitié espagnol/européen et moitié indien – et d’un parent indien. Donc, un individu au trois quarts indien.
Après les choses deviennent de plus en plus chaotique au fur et à mesure du mélange racial. Pour la simple curiosité intellectuelle de nos lecteurs, on poursuit.
Vous avez les zambos, issus du mélange de nègres et d’indiens.
Vous avez les mulâtres, issus du mélange coupable d’Européens et de nègres.
Vous avez les pardos, issus du mélange intégral de nègres, d’Européens et d’indiens.
Ce système est encore plus complexe compte tenu de l’anarchie du mélange racial en Amérique du Sud.
Pour être très précis, le rejeton qu’a eu cette métisse de Blanche et de maghrébine d’Algérie avec son gros nègre du Sénégal est ce que l’on appelle un nègre marron même si mulâtre convient.
Les mots sont importants car ils ne sont que la description d’une réalité organique qui, toujours, prend vie au fil des années puis des siècles.
Conjurer la malédiction
Plus le transfert de nègres et d’orientaux s’intensifiera en France, plus cette stratification se développera jusqu’au point où l’enfer mulâtre brésilien sera la norme pour un pays jadis libre de la malédiction de l’empoisonnement du sang.
Si ce processus va jusqu’à son terme, c’est-à-dire s’il n’est pas stoppé et radicalement inversé, les Français de race blanche qui vivront dans les années 2060-2070 maudiront la lâcheté inédite de leurs ancêtres qui, ex nihilo, auront laissé advenir l’état mulâtre islamique qui aura pris corps en France.
La question de savoir si le racisme va prospérer est absurde en elle-même : le racisme est le simple résultat de la promiscuité entre races. Paradoxalement donc, l’esprit sémitique qui préside à l’encouragement de cette promiscuité et à l’accroissement de la présence allogène pave le chemin de la montée en flèche du racisme.
Plus tôt nous ferons accoucher le racisme comme force politique et sociale, plus vite nous basculerons dans la nouvelle réalité. Et pour cela, il n’y a qu’une seule méthode : la parole.