Captain Harlock
Démocratie Participative
28 septembre 2019
Les Français sont à peu près unanimes pour dire que Jacques Chirac a été un bon président.
Les Français expliquent être parvenus à cette conclusion par le fait que Chirac avait l’air sympa.
Selon notre sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour France info et Le Figaro, l’ancien chef de l’État est plébiscité pour son opposition à la guerre en Irak.
Un bon président. 79 % des Français interrogés par Odoxa pour France Info et Le Figaro se souviennent de Jacques Chirac comme d’un «bon» chef de l’État. Ce sentiment est même transpartisan. Car si 93% des sympathisants LR le partagent, 80% des proches de LREM et 75 % de ceux du RN sont sur cette même ligne. Légèrement en retrait, les Insoumis sont tout de même 65% à partager cet avis.
Si les Français apprécient l’ancien chef d’État, c’est avant tout pour sa personnalité. Il est jugé «sympathique» (90%), proche des gens (87%), incarnant la France (87%), charismatique (83%) et dynamique (75%). De sa présidence, les Français ont été le plus marqués (63%) par son opposition à la guerre en Irak, que les États-Unis ont voulu mener après l’attentat du 11 septembre 2001. Après cette opposition à la guerre, on retrouve derrière, la fin du service militaire obligatoire (37%), sa qualification au second tour de la présidentielle face à Jean-Marie Le Pen en 2002 (30%) et la reconnaissance de la responsabilité de l’État français dans la déportation des Juifs pendant la 2e guerre mondiale (25%).
Comme je suis absolument certain qu’il n’y a pas 25% de juifs en France et que 99% des Français ne savent même pas que Chirac a évoqué cette histoire de juifs ni quand, j’en déduis que les juifs qui ont fait ce sondage ont mis ces 4 trucs dans cet ordre-là avec pour option « oui » ou « non ».
Comme il y a 25% de Boomers antifas et de vieux qui prient le Dieu en pyjama rayé tous les jours parce qu’Adolf Hitler aurait été très méchant avec les juifs, on arrive à ce chiffre.
Ceci étant dit, je suis également certain que les juifs n’ont pas trafiqué ces 90% de gens qui retiennent de Chirac que c’était un bon président parce qu’il avait l’air sympa. Dont les deux tiers des Mélenchonistes et les trois quarts des Lepénistes.
Passons pour les Mélenchonistes.
Mais les Lepénistes ?
Ils n’ont pas remarqué qu’entre 1995 et 2007, outre les émeutes raciales gigantesques de 2005, les mosquées s’étaient démultipliées ?
Plutôt que de m’évertuer à multiplier les exemples pour démontrer par A + B que la démocratie est le pire système que les juifs puissent plaquer sur un pays, je devrais me contenter de répéter ce chiffre une fois par jour : « 90% des Français trouvent que Chirac était un bon président ».
Il faut vraiment qu’on mette en place le permis de vote. Ce n’est plus possible.
Un corps électoral composé de 5% de la population est amplement suffisant. Comme en Chine. Seules les personnes avec un QI de plus de 120 devraient être autorisées de voter. Et encore, sur des questions pratiques.
Pourquoi les 3 quarts de ces Lepénistes ont voté pour Le Pen en 2002 si finalement ils étaient satisfaits avec cet escroc ?
Les témoignages ne manquent pas.
En 2006, ce type était à 16%.
Il n’a légèrement remonté que parce que les gens étaient contents de savoir qu’il se tirait.
Les goyim sont stupides, là-dessus, je ne peux que donner raison aux juifs.
Le fondement de la démocratie, ce n’est pas la « liberté » où je ne sais quelle autre abstraction, c’est la très tangible stupidité des masses.
Tous les politiciens d’une démocratie juive le savent. C’est grâce à elle qu’ils font carrière.
Je veux bien concéder, à la marge, un autre phénomène qui bénéficie à Ben Chirak : la nostalgie.
Non pas la nostalgie vis-à-vis de ce vieux truand mais d’une époque où tout était moins compromis qu’aujourd’hui. C’est en partie ce que les gens veulent dire à propos du fait qu’il était un « bon président » parce qu’il était « sympa ».
Tout était moins compliqué, moins violent, moins foutu. Du coup il associe sa bonhommie de roi fainéant à une époque où justement on pouvait être gouverné par un médiocre complet sans que cela ne change quoi que ce soit à quoi que ce soit.
Et puis, il y a aussi le phénomène de la comparaison.
Quand Mitterrand a quitté l’Élysée, tout le monde trouvait qu’il avait été un président particulièrement corrompu et retors. Surtout à gauche.
Aujourd’hui, on se pince quand on visionne ce vieux serpent.
Aussi perfide était-il devenu, Mitterrand s’accrochait encore un peu à sa jeunesse fasciste.
Après avoir tout concédé politiquement aux juifs, il refusait de céder la déclaration de culpabilité finale exigée par la juiverie.
Puis vint Chirac avec son air d’ahuri perpétuel qui s’empressa de nous achever.
Puis Sarközy.
Puis Hollande.
Puis Macron.
C’est dans l’ordre des choses, dans une république juive, que de se prosterner devant la religion du maître.
C’est le véritable serment de tout président français.
Et soyez assurés d’une chose : si par malheur Marine Le Pen devait finir par monter sur le trône à la faveur d’un malentendu, elle en ferait dix fois plus que tous ses prédécesseurs réunis.
Les gens voient bien cette longue descente vers le juif et le marasme qu’il porte comme la nuée porte l’orage.
Avec la tête de Macron sous le nez, les gens deviennent plus coulants avec les escrocs précédents.
Le presse juive joue de ce phénomène et l’amplifie. Elle explique qu’en fait, c’est parce que Chirac a amené les Hollande et Macron qu’ils l’aiment bien quand, en réalité, c’est l’inverse : ils l’aiment bien parce qu’à son époque, on échappait aux Hollande et Macron.
C’est-à-dire à ce système pourri créé par les juifs, les démocrates et les marxistes.
Je prends un pari : en 2050, quand la France sera présidée par Mohamed Ibn Moktar al Khattab, 90% des Blancs trouveront que Macron était « un bon président », « dynamique » avec du « charisme ».
Ce qui ne fait que témoigner du fait que la plèbe, rendue confuse par la presse juive, n’en demeure pas moins révulsée par l’évolution de ce système.
Mais ça ne change rien à la stupidité des masses qui ne verra jamais clair tant que ces sales juifs tiendront la presse entre leurs mains.
Donnez-moi cette presse et je fais réhabiliter Adolf Hitler en trois mois. Probablement deux.