Return of Kings
12 janvier 2020
Malgré toutes les critiques féministes à l’égard des hommes qui traiteraient censément les femmes comme des chiens, ce sont en fait les femmes infectées par le féminisme contemporain qui traitent les hommes comme des chiens de compagnie.
Observez les comparaisons suivantes pour voir comment les hommes sont transformés en chiens de compagnie pour les femmes et pour l’État :
1. Les chiens sont facultatifs
Les chiens en tant qu’animaux de compagnie sont facultatifs. Les gens n’ont un chien que lorsqu’ils en veulent un, ce n’est pas une nécessité. Pour une femme, l’homme devient de plus en plus un objet plutôt qu’une personne avec laquelle elle voudrait pour fonder une famille.
Elle épousera un homme quand elle le voudra (si elle le veut) et elle le larguera quand elle en aura envie.
2. Une fois attachés, les chiens offrent une loyauté inconditionnelle
Une fois que les chiens ont un humain pour maître, ils se moquent qu’il soit un salaud, un perdant, un criminel ou un sans-abri. Les chiens sont fidèles, peu importe qui est leur maître et ce qu’il fait. En fait, ils sont si fidèles qu’ils restent même avec un maître qui les maltraite. Et c’est exactement ce que les féministes veulent que les hommes soient.
Si vous observez la rhétorique des féministes, vous remarquerez deux thèmes généraux : premièrement, le désir d’être libre de toute critique. Et deuxièmement, que les hommes les croient et les « soutiennent » quoi qu’il arrive.
Les féministes veulent que leurs futurs petits amis et maris à faible testostérone les acceptent pleinement pour ce qu’elles sont, peu importe à quel point elles sont dégoûtantes, salopes, vulgaires et toxiques. Elles veulent que leurs hommes fassent preuve d’une loyauté inconditionnelle afin qu’elles puissent ouvertement les tromper et s’en vanter.
Et les hommes, s’ils ne veulent pas être appelés misogynes, ne doivent jamais remettre en question le comportement passé ou présent de leur partenaire et rester fidèles même s’ils sont traités comme des déchets.
3. Les chiens font ce qu’on leur dit
Une fois que le propriétaire s’est assuré de la loyauté de son chien, il peut l’entraîner à se comporter sur commande. Certains propriétaires apprécient le pouvoir qu’ils ont sur leurs chiens et ils les commandent pour le plaisir.
Les femmes occidentales d’aujourd’hui ont découvert qu’il existe des tas d’hommes désespérés qui feraient n’importe quoi pour elles afin de gagner une once d’approbation féminine.
Ces femmes ont réussi à utiliser des hommes pour les emmener à dîner, leur acheter des pizzas gratuitement, déblayer la neige devant chez elles, etc. Les femmes qui commandent ces hommes comme des chiens n’ont même pas eu besoin de les dresser car ils ont déjà été conditionnés dès la naissance par la société à faire ce que les femmes leur disent de faire.
4. Les chiens sont traités pour leur bon comportement
La grève du sexe, c’est prendre acte de l’asymétrie patriarcale propre au couple hétérosexuel, où la femme est encore tenue socialement (il y a peu, légalement) d’être sexuellement disponible lorsque son compagnon le souhaite. https://t.co/hOSV27K2ar
— Mélusine (@Melusine_2) May 13, 2019
Les chiens doivent être récompensés pour renforcer leur bon comportement ; il en va de même lorsqu’on veut domestiquer les hommes en tant que citoyens de second ordre.
Les femmes comprennent à quel point la population masculine générale est désespérée affectivement et sexuellement. Les femmes d’aujourd’hui tirent parti de ce pouvoir sur les hommes pour les amener à se comporter comme elles le souhaitent, en les récompensant par de faux compliments afin qu’ils continuent à être de bons garçons.
5. Les chiens défendent leurs maîtres
Outre la compagnie, le rôle principal des chiens est de défendre leurs maîtres. Malgré tous les appels à l’égalité, la réalité est que les femmes attendent toujours des hommes qu’ils les défendent et les sauvent. Les hommes qui souffrent du syndrome du chevalier blanc iront jusqu’à sacrifier leur propre vie pour sauver des femmes qu’ils ne connaissent même pas.
Les féministes ne s’inquiètent pas non plus du fait que de nombreux hommes servent dans la police et les forces armées pour servir leur mec alpha : l’Etat. Les femmes sont naturellement attirées par le pouvoir et l’Etat est le nouveau protecteur et fournisseur des femmes.
Il devient chaque jour plus gros et plus fort alors que les hommes ordinaires deviennent plus faibles et moins pertinents.
6. Les chiens sont stérilisés
Bien que les hommes ne soient pas castrés physiquement comme le sont les chiens, d’autres méthodes sont employées pour castrer psychologiquement les hommes.
Cela inclut l’utilisation de médicaments contre le TDAH (TDAH : Trouble de Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité) pour apprivoiser les garçons, des lois ridicules visant à contrôler les interactions sexuelles des hommes avec les femmes et l’ensemble des courants culturels pour faire honte à la masculinité tout en favorisant toutes sortes de dégénérescences qui la diluent.
Certaines femmes d’aujourd’hui ne veulent même pas avoir de relations sexuelles avec leurs maris.
7. Les chiens qui ne sont pas domestiqués sont des nuisibles
Lorsqu’un chien n’appartient pas à un être humain, il est considéré comme un parasite qui doit être contrôlé.
Les hommes d’aujourd’hui qui ne se soumettent pas à l’agenda féministe sont constamment attaqués comme étant des perdants, des sexistes, des misogynes, des violeurs et ainsi de suite. Dans la société féministe d’aujourd’hui, soit vous servez l’impératif féminin, soit vous êtes un homme de Néandertal qui est en décalage avec son époque. Des mesures sont déjà prises pour contrôler chaque aspect du comportement masculin en public.
Vous devez également vous rappeler que les chiens sont des animaux de meute naturels (pensez à leurs cousins, aux loups). En étant retirés de la meute, ils deviennent isolés et dépendants de leurs maîtres. Pouvez-vous voir comment il en est de même pour les hommes d’aujourd’hui ?
Les différences entre les hommes et les chiens
Malgré toutes les similitudes, il existe des différences qui doivent être prises en compte.
Premièrement, contrairement aux chiens dont les propriétaires les hébergent et les nourrissent, les hommes ne sont pas pris en charge par les femmes. Les femmes sont libres de jeter les hommes comme des tampons usagés ou de divorcer de leur mari pour en retirer de l’argent. En fait, ce sont les hommes qui doivent généralement subvenir aux besoins de leurs femmes.
Deuxièmement, alors que les chiens sont sous la responsabilité de leurs propriétaires, les hommes sont censés être pleinement responsables dans toutes leurs interactions avec les femmes.
Les hommes deviennent-ils collectivement des domestiques ?
Les vaches domestiquées que nous voyons dans les fermes n’ont pas fini comme elles le sont naturellement. C’est grâce à des milliers d’années d’élevage et de reproduction sélective qu’elles sont devenues plus petites, plus passives et qu’elles ont accepté leurs conditions. Mais le fait est qu’il ne faut pas des milliers d’années pour transformer des espèces entières. Dans cet article que je vous recommande de lire, un projet soviétique visant à domestiquer les renards a montré qu’il suffit de plusieurs générations d’élevage sélectif pour transformer les renards sauvages en versions efféminées et apprivoisées d’eux-mêmes.
Le taux de testostérone dans le monde entier a mystérieusement baissé au cours des dernières décennies. Bien que l’on ait donné comme explication possible la présence de toxines chimiques dans tous les produits que nous consommons et avec lesquels nous sommes en contact, je ne serais pas surpris de découvrir que nous, en tant qu’espèce, sommes progressivement émasculés au niveau génétique par le processus de reproduction sélective.
En d’autres termes, nous sommes en train de devenir socialement conçus pour être efféminés. Ce n’est pas quelque chose d’impossible si l’on considère que les mâles bêta facilement apprivoisables, les donneurs de sperme, sont généralement les mâles que les femmes sélectionnent comme compagnons après qu’elles ont elles-mêmes arrêté de monter le manège à queues. Je pense que c’est un facteur dont nous devrions tenir compte, en plus de l’émasculation par la dégénérescence culturelle que nous connaissons déjà.
Les hommes sont censés être des hommes qui libèrent leur énergie primaire par l’aventure brute au lieu de se laisser apprivoiser par la soumission. Je ne doute pas que les efforts systématiques de domestication d’aujourd’hui soient la cause du nihilisme masculin collectif, de la dépression et de l’énergie frustrée. Les hommes qui sont éveillés doivent se permettre d’être des hommes.