59% des Français refusent de se faire inoculer le poison destructeur d’ADN « anti-Covid19 »

Captain Harlock
Démocratie Participative
30 novembre 2020

C’est confirmé : le vaccin pour lutter contre la pandémie imaginaire de Covid19 est à 100% un truc qui repose sur le conformisme des Boomers.

Rien qui ne soit une surprise pour nos lecteurs.

Le Journal Du Dimanche :

L’exécutif est confronté à un défi de taille : convaincre des bienfaits de la vaccination une opinion très majoritairement rétive. Selon notre sondage Ifop, 59% des Français n’ont pas l’intention de se « faire vacciner lorsque cela deviendra possible ». Les plus réticents : les catégories populaires (seulement 28% y sont disposés), les sympathisants du Rassemblement national et de La France insoumise (respectivement 27% et 26%) et les moins de 35 ans (29%, soit 30 points de moins que les plus de 65 ans). Précisément les catégories qui souhaitent le plus un vaccin français. Sur l’ensemble de la population, ils sont 59% à préférer un produit made in France plutôt qu’étranger.

Les Boomers – le 65+ donc – se sentent en danger de mort à cause du Rhume19. Tout comme ils achètent depuis 50 ans l’histoire des 6 trilliards de juifs transformés en savon par Adolf Hitler, ils achètent cette histoire d’Apocalypse virale. Principalement parce que les Boomers regardent BFMTV ou France 2 et que les Boomers ne distinguent pas la réalité de la télévision.

Il n’est pourtant pas difficile de comprendre que la télévision n’a rien à voir avec la réalité, ne serait-ce qu’en raison de la densité ahurissante de juifs sur les plateaux télés. Les plateaux télés sont les endroits de France où il y a le plus de juifs au mètre carré. Jamais vous ne croisez autant de juifs dans les rues françaises. C’est d’ailleurs à se demander si les juifs vivent en dehors des plateaux TV.

Les gens normaux lorsqu’ils constatent qu’il y a vraiment beaucoup de juifs autour d’un point d’eau ont pour premier réflexe de ne pas boire à ce point d’eau. Les Boomers font exactement l’inverse : dès qu’ils voient une concentration anormale de juifs quelque part, ils s’y précipitent. Cela mériterait une étude de cas mais, malheureusement, il est interdit d’étudier la question juive en France sous peine de détention aussi devrons-nous nous contenter d’observations empiriques sur le sujet.

Toujours est-il que les Boomers réagissent comme les médias juifs leur disent de réagir. En ce moment, les juifs veulent absolument injecter une substance mystérieuse dans les veines des goyim donc les Boomers veulent impérativement recevoir la plus large quantité possible de cette substance obscure dans le sang.

Les Boomers sont aussi des gens extrêmement paranoïaques qui ne peuvent pas se contenter d’obéir au doigt et à l’œil des autorités : ils deviennent très nerveux si vous ne mettez pas le même zèle à exécuter les ordres des juifs et de tout ce qui ressemble à un fonctionnaire.

Fort heureusement, il y a moins de Boomers que de non-Boomers, nous avons donc une chance de contrer la tyrannie vaccinale.

Dans ce contexte délicat, le gouvernement navigue entre deux écueils. Le premier : apparaître, après l’épisode désastreux des masques au printemps, puis celui des tests à la rentrée, comme en retard. Ce que dément avec force un proche du Président : « À partir du moment où le grand public entend qu’un vaccin marche, son premier réflexe est de demander : ‘Quand puis-je me faire vacciner?’ Mais il y a beaucoup d’étapes complexes, qui relèvent du temps scientifique, du temps de production, du temps commercial et du temps de distribution. » Et d’ajouter : « On n’est pas en retard. Tous les pays européens ont commencé en même temps et recevront leurs vaccins en même temps. »

À l’inverse, le deuxième risque serait de céder à la précipitation, alors que seules des données préliminaires sur les vaccins ont pour l’heure été publiées par les fabricants. « Je doute que les Français nous pardonnent si on balance des vaccins pour leur faire plaisir, sans avoir la certitude que ça marche », estime un membre de l’entourage présidentiel. C’est pourquoi Emmanuel Macron, qui a réuni vendredi à l’Élysée pour la deuxième fois la task force ministérielle consacrée au vaccin (composée de Jean Castex, d’Olivier Véran, de Bruno Le Maire, d’Agnès Pannier-Runacher et de Frédérique Vidal), avance sur ce terrain avec d’infinies précautions.

Si ça ne marchait pas, ce serait un moindre mal.

Ce que les gens n’accepteraient pas, c’est de se retrouver avec une altération massive de leur ADN ou d’autres fonctions vitales en raison de ce vaccin sorti de nulle part et qui n’a jamais été testé. Franchement, il y a pour ainsi dire 100% de chances de voir son ADN durablement endommagé par cette substance toxique.

Des médecins peu suspects d’anarchisme ne comprennent pas ce qui se passe ni comment ça peut se passer.

Il est devenu pratiquement impossible de s’opposer à ce projet sans être qualifié par les médias juifs de « complotiste ».

Il y a dix ans, le lien entre le vaccin de l’hépatite B et la sclérose en plaque était largement reconnu, aussi bien par la justice que par les grands médias.

Malgré la décision du Conseil d’Etat de 2007, les médias ont opéré un revirement total sur le sujet.

Le juif Axel Kahn s’en est par exemple pris à François Baroin pour avoir déclaré ne pas vouloir se faire injecter ce  liquide vraisemblablement mortel dans les veines.

Baroin n’est pas un « complotiste ». Il constate simplement que se faire injecter cette substance dans les veines aura des effets désastreux et il préfère rester en bonne santé pour continuer de séduire les dames.

Le chef de l’État, qui tenait là sa troisième réunion sur ce dossier en un mois, « veut garder tout le monde sous tension pour une exécution parfaite », selon un proche. Il s’est exprimé pour la première fois sur ce sujet mardi, lors de son intervention télévisée, donnant un calendrier, mais précisant dans le même mouvement que « la vaccination ne sera pas obligatoire ». Pour convaincre, sans pour autant sembler trop pressant, il a demandé la mise en place d’un d' »un collectif citoyen » destiné à se porter garant d’une « totale transparence du suivi de la vaccination », selon son entourage, qui précise : « Ça participe au rapport de confiance que le gouvernement souhaite établir avec les citoyens concernant l’appréhension face à ce vaccin.«  Quant à une campagne de communication autour du vaccin, il faudra attendre : une réflexion est en cours au Service d’information du gouvernement.

Un « collectif citoyen » composé de bots pré-sélectionnés par les exécutants du Great Reset n’a aucune valeur. Ses conclusions seront une simple photocopie des ordres émis par le Forum Economique Mondial, George Soros et Bill Gates.

Le gouvernement sait que les gens sentent une escroquerie d’une ampleur historique mais ne peut reculer car il est aux mains de l’hyperclasse et de son agenda 2030. Si plus de la moitié de la population refuse de se faire inoculer ce poison, il est probable qu’une nouvelle arme biologique virale soit lâchée dans la nature pour légitimer une vaccination obligatoire dans les pays qui refusent catégoriquement d’être empoisonnés.

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