La justice juive menace Isabel, l’héroïne de l’Espagne libre !

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 mars 2021

 

La machine répressive juive se met en mouvement contre Isabel, la reine de l’Ibérie libre.

La Vanguardia :

La falangiste Isabel Peralta, principale intervenante lors de l’hommage néo-nazi à la Division Bleue à Madrid, a commis un crime haineux le 13 février dernier en lançant des proclamations antisémites, selon le rapport de police qui a avancé El Periódico et confirmé La Vanguardia. Son discours, avec des phrases telles que « l’ennemi sera toujours le même, (…) le Juif…. Le juif est le coupable », pourrait coûter sa liberté à cette fille d’un ancien conseiller du Parti Populaire.

Selon les conclusions que la police a envoyées au parquet, la jeune néo-nazie a infligé l’article 510 du code pénal, qui prévoit des peines allant jusqu’à quatre ans de prison.

Ce rapport fait suite à l’ouverture par le parquet de Madrid d’une enquête sur les « proclamations antisémites » faites lors de l’évènement au cours duquel quelque 300 personnes ont rendu hommage à la division militaire espagnole qui a combattu aux côtés des nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.

Le bureau du procureur a ouvert une procédure suite à une demande d’enquête de la Fédération des communautés juives en raison des « accusations graves » et des « insultes » proférées à l’encontre de la communauté juive pendant la marche.

Sur le plan virtuel, Twitter a pris les mesures nécessaires pour réprimander Peralta lorsqu’il a fermé son profil sur le réseau social quelques jours après que la jeune femme ait gagné en notoriété pour son discours. Le compte de la Falangiste, qu’elle a ouvert en mai 2019, était rempli de messages sexistes, homophobes et fascistes.

Le profil a donc « enfreint les règles de Twitter », qui comprennent l’interdiction de menacer des individus ou des collectifs et d’utiliser un profil pour « exprimer sa haine envers une personne, un groupe ou une catégorie protégée ».

L’hydre juive agit partout de la même façon.

La jeune héroïne fasciste a réagi avec flegme à la meute juive écumante qui se cache derrière la « justice » démocratique.

« Les idées ne peuvent pas être contenues efficacement, vous ne pouvez pas combattre la vérité et vous inventez des lois pour le faire depuis 1945… tous vos efforts seront vains. En outre, je pense que la prison est un bon endroit pour écrire un livre. »

« La prison, un « suicide soudain », l’exclusion… Je trouve même ça drôle. Mes idées sont plus fortes que tout cela, mes idées sont la lumière qui annonce la renaissance de l’Europe et je me sacrifierai pour cette renaissance dans autant de vies qu’il faudra. »

« N’avez-vous toujours pas appris après les procès de Nuremberg, après les camps d’Eisenhower, à l’instar d’Ursula, de Rudolf ou de Varela, que les idées ne peuvent être faites prisonnières, que vous ne pouvez prendre la liberté qu’à celui qui – lâchement de sa part – vous le permet ? »

La jeune lionne falangiste force l’admiration. Rien ne lui fait peur, à commencer par les menaces des hyènes hébraïques.

Les juifs se sont piégés eux-mêmes. Jeter en prison une jeune femme pour ce qu’elle a dit ne peut qu’allumer la flamme de l’antisémitisme un peu partout en Espagne et bien au delà.

C’est aussi la démonstration que le pouvoir juif, pour formidable qu’il essaie de se dire, repose uniquement sur le terrorisme et le mensonge.

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