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Captain Harlock
Démocratie Participative
12 décembre 2021
La nouvelle Miss France est à l’image de la France nouvelle.
C’est-à-dire phénotypiquement indéfinissable.
Elle n’est manifestement pas blanche, mais pas davantage noire ni orientale. Elle pourrait être un quart de polynésienne ou un quart de pakistanaise.
En fait, elle est « réunionnaise », ce qui peut vouloir dire n’importe quoi au vu du foutoir racial qu’est cette île.
Quelque chose de tout à fait remarquable se produit avec ce genre de profils raciaux : c’est l’influence de la lumière.
Selon la lumière, le phénotype change. Comme les caméléons.
Je préfère que le jury choisisse une mulâtresse, comme ils le font d’ordinaire. Au moins, on sait à quoi s’en tenir.
Les différences s’estompent avec le temps entre les régions français et les DOM.
Et elles ont généralement des prénoms français. On se retrouve avec des Anaïs Rochefort qui ont des têtes de bangladaises avec des cheveux blonds.
Cette expérimentation raciale est très curieuse. Un peu comme le Brésil.
Toutefois, en pratique, c’est nettement moins glamour.
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