Return of Kings
Démocratie participative
14 décembre 2019
1. Les mouches de bar
Nous savons très bien pourquoi certaines filles zonent souvent dans les bars et les boîtes. Utiliser des gars pleins d’espoir comme distributeurs de boissons gratuits n’est qu’une partie du truc. L’autre partie consiste à chevaucher le manège à bites.
Mes premières expériences m’ont détourné de cette chasse nocturne. Bien que j’y aie eu du succès, j’ai quand même tendance à laisser tomber les boîtes pour me concentrer plutôt sur la chasse de jour et la chasse dans le cercle social. La fumée de cigarette sans ventilation adéquate m’étant insupportable, ce qui est heureusement moins un problème de nos jours. La musique est encore si forte qu’il faut toujours crier pour se faire comprendre. Et puis je n’aime pas le coup du « paye-moi un verre ». Ceci dit je n’aime déjà pas payer un prix exorbitant pour mes propres consos.
Le pire dans les boîte, ce sont les attitudes hostiles. Il existe des contre-mesures pour le blocage de bite, les concurrents, et le bon vieux bouclier anti-salope. Pourtant, tout ça fait de n’importe quelle « teuf » une vraie galère.
Donc pourquoi payer pour une nuit d’emmerdes ? C’est irrationnel.
En ce qui concerne les rapports avec les autres mecs, il y a souvent beaucoup plus de garçons et il est logique que les femmes profitent de la situation. D’un autre côté, je n’ai pas envie de perdre mon temps et mon argent à essayer de jouer avec des nanas dans un lieu social où elles prétendent qu’elles ne sont pas dans un lieu de rencontre. Pour qui se prennent-elles ?
Mon message pour elles : les gonzesses de bar peuvent arrêter de jouer la comédie. On sait que tu veux qu’on vienne te chauffer. Sinon, félicitations, tu es une alcoolique.
2. Les gonzesses qui ont salement vieilli
C’est un fait cruel de la nature que le temps dévaste l’apparence d’une femme. Ceci peut être atténué en partie par un écran solaire, en restant en forme et en ne faisant pas trop la fête. Pourtant, c’est un fait qu’une femme d’âge moyen ne peut pas faire tourner les têtes comme elle pouvait le faire à l’époque nubile. Pendant ce temps, les gars qui ont déjà été des adolescents geek commencent à avoir l’air distingué et à augmenter leur accomplissement personnel.
De mon expérience douloureuse au lycée (trop de chiennes riches) et à l’université (trop de morveuses féministes), j’ai observé que la plupart des nanas avaient tendance à agir comme si elles étaient le don de Dieu aux hommes.
Celles qui ne le faisaient pas étaient vraiment merveilleuses, bien qu’elles ne soient jamais restés célibataires longtemps.
À l’âge de 25 ans, certaines commençaient à redescendre sur terre. Cependant, même à 35 ans, il y en avait encore quelques-uns qui n’avaient pas reçu la note de service au sujet de la diminution de leur Valeur Sexuelle sur le Marché.
Mon message pour elles : tu n’es plus une ado coincée. Tu es une adulte coincée et c’est pire. En fait, c’est plutôt triste.
3. Les pétasses revendiquées
Les femmes sont confrontées à des messages contradictoires sur la façon dont elles devraient exprimer leurs désirs naturels – être traditionnelles et agir avec retenue ou tout déballer ?
Leurs choix ont des conséquences profondes. Je ne les envie pas sur ce dilemme. Je sympathiserais même avec les femmes à ce sujet sauf que les hommes qui n’agissent pas avec une bienséance quasi victorienne risquent bien pire.
En dépit des faits réels, si quelqu’un pense simplement que vous avez dépassé les bornes d’un millimètre avec une femme, vous pourriez recevoir la visite du service des ressources humaines ou vous faire étaler sur #MeToo, etc.
Les femmes qui « déballent tout » montrent souvent leur classe et leur sophistication en commémorant de façon permanente leurs erreurs de jeunesse. Certaines se font recouvrir d’encre comme des routiers, des motards ou des hommes à tout faire de cirque. Pire, elles peuvent avoir le visage plein d’implants. Elles se font une image de marque et, espérons-le, elles demeurent satisfaites de leurs choix. Certaines se disent même ouvertement salopes, ce qui aurait été impensable dans le passé.
Mon message pour elles : si tu te prends pour une salope, c’est que tu as renoncé à ta carte « vierge vestale » pour toujours.
4. Les moins que belles
Certaines ressemblent à Henry Kissinger mais n’ont pas sa proéminence ou ressemblent à George Soros et n’ont pas ses milliards. De même, toutes les femmes ne gagnent pas à la loterie génétique. C’est comme ça.
Les nanas qui ne se distinguent pas dans la catégorie physique ajustent-elles raisonnablement leurs attentes et trouvent-elles quelqu’un qui pourrait regarder au-delà de leur apparence ordinaire et apprécier leur beauté intérieure ? D’après ce que j’ai vu, peu le font.
Cela conduit à de mauvaises attitudes chroniques. Être frustrée sexuellement en est la principale cause. Cependant, il ne sert à rien de rejeter les offres des gars qui leur donnent une chance. Pas plus qu’un comportement de morveuse avec des mecs qui pourraient voir quelque chose en elles.
Mon message pour elles : vous n’êtes pas vraiment des stars de cinéma donc jouer la comédie vous donne l’air con.
5. Les putes
J’ai rencontré une prostituée par le biais d’un cercle social intéressant et la connaître était la porte d’entrée vers un cercle encore plus intéressant. (Notez bien, je ne recommande pas l’underground criminel pour la chasse dans le cercle social.) Je n’ai jamais payé pour du sexe, mais j’ai essayé d’en raisonner certaines.
Parfois, je suis trop chrétien. Certes, j’avais un complexe de sauveur que j’ai abandonné. Étonnamment, j’ai découvert que les prostituées ont une morale. (Oui, ce sont des hypocrites de premier ordre.) Ça devient encore plus bizarre.
L’une d’entre elles m’a écrit de prison, à deux reprises, pour me dire qu’elle voulait une relation non sexuelle avec moi. En fait, je n’avais jamais essayé de monter dans la culotte de cette épave. Une liasse d’argent aurait sûrement charmé ce cadet de l’espace si j’avais vraiment voulu louer une droguée ayant des problèmes avec papa, mentalement atteinte et chargée d’un casier judiciaire.
Malgré tout, elle m’a préventivement collé dans sa friend zone en dépit de mon apparence décente, de ma carrière respectable et – sans doute mon pire « échec » – de l’avoir traitée comme un être humain.
Elle n’était même pas une « escorte » de luxe. Il est évident qu’elle avait eu des centaines de bites contre de l’argent et beaucoup de ses « clients » étaient trop laids pour s’envoyer en l’air sans payer et n’avaient certainement pas un comportement de gentleman. Je n’ai jamais répondu, bien sûr. J’ai montré la lettre à une ancienne pute, l’une des rares à avoir écouté mes conseils de bon sens. On en a bien ri. Selon elle, cette duchesse d’York avait certainement une haute opinion d’elle-même.
Mon message pour elles : Mesdames du soir, si vous avez déjà échangé du sexe contre de l’argent ou de la drogue, il est temps d’arrêter de vous faire passer pour Sainte Thérèse d’Avila.