45% des Irlandais rééduqués par les médias veulent réduire la taille des troupeaux de vaches

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 novembre 2021

Les démocraties sont régies par les élections et les élections sont déterminées par ce que les médias disent au troupeau. Les médias appartenant à l’oligarchie, il leur suffit de répéter au troupeau qu’il faut arrêter de consommer de la viande pour que le troupeau le croit.

C’est autour de ce totem absurde qu’est la démocratie que tourne l’Occident.

Thejournal.ie :

La moitié des Irlandais – 45 % – pensent que le nombre de bovins devrait être limité ou réduit dans le cadre des mesures climatiques.

Selon un sondage réalisé par The Good Information Project/Ireland Thinks, 23 % des personnes interrogées pensent que le nombre de vaches en Irlande devrait être limité à son niveau actuel et 22 % estiment qu’il devrait être réduit.

Toutefois, les personnes vivant en dehors de Dublin sont beaucoup plus enclines à soutenir l’idée que les agriculteurs puissent décider eux-mêmes de leur troupeau.

Dans l’ensemble, 39% des personnes pensent qu’il ne devrait pas y avoir de limite et que les agriculteurs devraient être autorisés à déterminer leur troupeau.

Cette proportion s’élève à 41 % dans le Munster et à 51 % dans le Connacht et l’Ulster, contre 29 % à Dublin et 38 % dans le Leinster.

L’agriculture est le secteur qui produit le plus d’émissions de gaz à effet de serre en Irlande, représentant 35 % des émissions nationales, suivi par le transport à 20 %.

Le bétail est responsable de la quasi-totalité des émissions de l’agriculture, soit environ 85 %.

C’est la nouvelle théorie servie aux goyim : les pets de vache font augmenter la température.

Les pets de vache.

Quand les historiens étudieront l’effondrement de l’Occident, ils résumeront ça comme ça : les Blancs ont mis à leur tête des femmes et des juifs qui les ont remplacé par des noirs et des terroristes musulmans pour les aider à créer une société sans pets de vache parce qu’ils trouvaient qu’il faisait trop chaud.

C’est l’Occident à l’ère de la SSIENSSE.

Le Conseil consultatif sur le changement climatique, un groupe d’experts en la matière, a indiqué que la réduction du nombre de vaches en Irlande aurait un impact considérable sur la réduction des émissions.

Le budget carbone proposé par le conseil, publié cette semaine, décrit les mesures que les agriculteurs peuvent prendre pour atténuer les effets négatifs de l’agriculture sur les émissions, mais précise que « les changements dans les émissions agricoles, au-delà de ceux qui résultent des mesures d’atténuation, sont déterminés par les changements dans les niveaux d’activité agricole des bovins« , c’est-à-dire le bétail.

Si l’on examine les scénarios possibles pour réduire les émissions de l’Irlande, dans les cas où les émissions agricoles doivent diminuer de 30 % ou plus, le nombre de vaches allaitantes devrait passer d’un million en 2018 à environ 200 000 d’ici à 2030, selon le rapport technique du Conseil.

Pour une réduction de 33 %, le nombre de vaches laitières devrait passer de 1,4 million à 1,2 million, et pour atteindre une réduction de 51 % dans le secteur, le nombre de vaches laitières devrait passer de 1,4 million à 650 000.

Je répète ce que je dis : en démocratie, la population ne décide de rien, mais on lui dit qu’elle décide de tout.

Les Irlandais n’ont jamais spontanément songé à réduire les troupeaux de vaches. Ils se sont mis à le penser à partir du moment où les médias leur ont dit qu’il fallait le penser. Cette réduction de la consommation de viande, de lait, cette abolition de la maison individuelle et de la voiture particulière, la surveillance et le contrôle des déplacements par le Soviet Suprême de l’UE n’a jamais été un projet de la population.

C’est un projet austéritaire radical décidé par Davos et qui s’explique très simplement : les états-providence occidentaux sont ruinés.

Quand la dette de ces états implosera, le niveau de vie s’écroulera, faute de pouvoir financer les programmes de retraite, de santé publique, d’assistance sociale.

Il y a tout simplement trop de vieux.

Les gens n’achèteront plus de viande ou de lait parce qu’ils n’en auront plus les moyens. La ficelle consiste à les convaincre que ce sera le résultat d’un choix de leur part et non pas de la faillite du système.

Ce que nous vivons actuellement, c’est l’ajustement préventif décidé par les oligarques pour éviter une chute trop brutale qui dégénèrerait en révolution. L’hyperclasse prend des mesures actives pour convaincre la plèbe de choisir l’austérité moyennant un récit apocalyptique fait d’épidémies créées volontairement par le système et de prophéties climatiques dantesques.

Tout le dispositif « anti fake news » des médias n’a pour seule fonction que de faire taire ceux qui comprennent les véritables buts du système.

Le projet final, c’est une nouvelle URSS où la vie de la plèbe est collectivisée par une poignée de giga oligarques fédérés autour de la juiverie financière internationale. Par le terrorisme sanitaire et le terrorisme climatique, la population est menée là où elle doit l’être.

Davos nous le dit explicitement.

Vous vivrez dans un système communiste et vous devrez être heureux sinon vous serez jeté dans un goulag.

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