Capitaine Harlock
Démocratie Participative
09 octobre 2017
Un petit tour dans le métro et soudain, tout s’éclaire.
Barbier a semble-t-il découvert que nous étions engagés dans une guerre raciale et religieuse implacable qui décidera du sort de l’Europe.
Il revient en effet sur la racialisation accélérée du syndicat universitaire UNEF où les opportunistes mélenchonistes, les islamistes et les racistes noirs sont en train de prendre le pouvoir.
Il est toujours cocasse de voir ces bourgeois parisiens découvrir la réalité qu’ils parviennent habituellement à éviter grâce aux enclaves qu’ils se sont réservées.
Un autre fait marquant, c’est ce type de phrases : « Il faut que le président prenne la parole ». C’est du même acabit que les « lois » votées en urgence quand une affaire démontre l’incompétence totale du gouvernement.
Ces gens croient que gouverner, c’est prêcher du haut d’une estrade. Un discours et soudainement les nègres et autres djihadistes seraient censés devenir de parfaits citoyens.
Si vous regardez l’agenda d’un président français, vous découvrirez qu’il passe 90% de son temps professionnel à faire des discours interminables au sujet de choses absolument insignifiantes. Il vous suffit de vous rendre sur le site de l’Élysée.
Et tous ces demi-intellectuels raisonnent ainsi. Ils croient qu’il suffit d’une remontrance pour calmer le PIR, Obono et toute la négraille, sans parler des djihadistes. La pensée magique républicaine en somme.