Captain Harlock
Démocratie participative
03 mai 2019
« C’est la société qui le fait souffrir »
Dans ce cas d’espèce, le maghrébin est un sale crouille comme nos prisons en hébergent des dizaines de milliers et nos rues, des millions.
Ce qui est vraiment intéressant, c’est le rôle des quatre ignobles traînées qui se démenaient pour l’aider à dévorer vives des grand-mères de souche française.
Cet homme, déjà condamné à dix ans de prison au tribunal de Meaux l’an dernier, arnaque ses victimes par téléphone en se faisant passer pour un policier.
C’est un escroc que même les barreaux les plus solides des prisons n’empêchent pas de soutirer de l’argent aux personnes âgées. Achref, 39 ans, a été extrait de la maison d’arrêt de Châteauroux (Indre) à la fin du mois de mars par les enquêteurs de la police judiciaire de Versailles avant d’être placé en garde à vue.
Dans les locaux de la police, ce curieux personnage est passé aux aveux complets avant d’être mis en examen à Melun (Seine-et-Marne) pour escroquerie en bande organisée. Une nouvelle fois. Car il a été mis en examen pour des faits similaires par plusieurs tribunaux.
L’affaire commence durant l’été dernier du côté de Lyon (Rhône) lorsque les enquêteurs de la PJ mènent une enquête sur une série d’escroqueries téléphoniques. Les forces de l’ordre se rendent compte que l’’homme téléphone à des personnes très âgées depuis sa cellulede la prison de Réau (Seine-et-Marne).
La méthode de ce suspect condamné à purger une peine de dix ans de prison à Meaux en avril 2018, est aussi simple qu’efficace. « Il utilisait un téléphone portable connecté à Internet et repérait ces victimes dans l’annuaire grâce à leurs prénoms anciens », précise une source proche de l’affaire.
Il leur téléphonait en se faisant passer pour un policier avant de leur demander de lui fournir leurs numéros de cartes bancaires. Fort de ces précieux sésames, le trentenaire faisait grâce au commerce en ligne, des achats de divers matériels, des lingots d’or et jouait aussi à des jeux d’argent grâce à des comptes ouverts à l’aide de fausses identités à la Française des jeux.
L’enquête permet de comprendre qu’il a déjà fait le même coup dans trois prisons différentes. « Une fouille de sa cellule a permis d’identifier une centaine de victimes qui se sont fait flouer de plusieurs dizaines de milliers d’euros dans toute la France », ajoute la même source. Après cette découverte l’escroc a été placé à l’isolement mais il continue ses activités illicites en utilisant la cabine téléphonique de la prison…
Avec ses quarante-quatre condamnations au compteur pour escroqueries et évasions, Achref est en prison depuis 1997. Dans cette dernière affaire, il bénéficiait de la complicité de son épouse, Laura, une Marseillaise de 28 ans, qu’il a rencontrée sur Internet. Elle a été condamnée à deux ans de prison pour des faits identiques.
Les enquêteurs ont également identifié trois autres femmes qui ont aidé le malfaiteur à mener ses activités. Leur rôle consistait à se rendre en Belgique pour aller réceptionner de l’or et des objets frauduleusement acquis par le prisonnier. Le couple a blanchi l’argent volé en achetant un restaurant à Marseille (Bouches-du-Rhône) avant de le revendre pour en acheter un autre.
Le 13 novembre dernier, les quatre femmes ont été interpellées et les forces de l’ordre ont mis la main sur 113 000 euros d’avoirs criminels. Les quatre femmes sont passées aux aveux en minimisant leur rôle avant d’être mise en examen.
Plutôt que d’élaborer moi-même sur ce énième cas de traînées se livrant corps et âme à un métèque du désert, regardez plutôt cette vidéo ci-dessous.
Cela parle des tueurs en série mais cela s’applique aux criminels en général.
Ne vous reste plus qu’à méditer sur le fait que 80% des magistrats sont des femelles en manque de maternage exotique et vous comprendrez pourquoi Youssouf et Fofana bénéficient d’une étonnante bienveillance.