Captain Harlock
Démocratie Participative
01 avril 2020
Les féministes sont très nerveuses : beaucoup de bébés blancs échappent actuellement au meurtre rituel, les avortoirs étant fermés.
La vieille traînée psychopathe socialiste Laurence Rossignol écume de rage et exige que les foetus soient arrachés coûte que coûte des ventres de leurs mères.
Plus d’une centaine de professionnels de l’#IVG appellent, dans une tribune au « Monde » soutenue par des personnalités du monde politique et de la culture, à des mesures d’urgence et se disent prêts à défier la loi. J’ai signé. https://t.co/uexFjDlUoq
— Laurence Rossignol (@laurossignol) March 31, 2020
Le Monde :
L’épidémie due au coronavirus que nous traversons met à l’épreuve notre système de santé et en révèle cruellement les failles. Toutes les forces des personnels hospitaliers sont actuellement dédiées à la prise en charge des malades du Covid-19 et au maintien des interventions urgentes.
Nous, professionnelles de l’interruption volontaire de grossesse (IVG), avons dès le début de l’épidémie réorganisé la prise en charge des femmes afin de pouvoir répondre à toutes les demandes dans le délai le plus bref et en limitant au maximum tout déplacement. Il est essentiel de protéger les droits des femmes et de maintenir l’accès à l’avortement.
Ainsi, nous avons maintenu ouvertes les consultations et favorisé chaque fois que c’était possible les IVG médicamenteuses à domicile, même si on ne peut éviter le déplacement des patientes, car la télémédecine est malheureusement impossible légalement dans cette situation.
Nous avons également augmenté les capacités pour les avortements sous anesthésie locale, car les blocs opératoires de tous les établissements ont été transformés en salles de réanimation, et organisé des partenariats avec des structures privées pour la prise en charge des avortements sous anesthésie générale.
Malgré cette organisation ultra-précoce et malgré notre investissement collectif, nous sommes confrontés aujourd’hui à trois problèmes dont les femmes sont les premières victimes :
– Le premier est lié aux questions de ressources humaines avec des soignant(e)s également malades, ce qui met les équipes en tension. Pour limiter la sollicitation des équipes hospitalières, nous souhaitons que les avortements puissent être autorisés par voie médicamenteuse au domicile jusqu’à neuf semaines d’aménorrhée, soit sept semaines de grossesse. Cette option est validée par l’OMS et ne présente pas de danger particulier.
– Le deuxième est la limitation des déplacements des femmes lors de leur IVG. Pour la respecter au mieux, nous demandons que les mineures soient dispensées du délai de quarante-huit heures qui leur est actuellement imposé avant leur IVG et puissent bénéficier d’une IVG dans la foulée de leur première consultation.
Officiellement, nous sommes en pleine Apocalypse.
L’Etat s’est virtuellement effondré, la désorganisation est totale. Des produits aussi triviaux que des masques sont introuvables.
On commence à évoquer des risques de pénurie alimentaire.
Mais même dans ces circonstances extrêmes, vous avez encore un carré de névrosées radicales pour exiger que le sang des bébés blancs coule. Peu importe si l’univers s’écroule.
En fait, c’est même l’ambiance de fin du monde actuelle qui pousse ces folles à réclamer des meurtres d’enfants.
Nous avons besoin d’un cataclysme réel.
Nous ne purgerons pas cette pourriture accumulée sans que la roue du destin ne broie ces gens par centaines de milliers.
La faillite économique et la pénurie alimentaire pourraient nous être très utiles. Quand des hordes de créatures affamées sillonneront les villes et villages de France pour piller et tuer, ces traînées découvriront le retour brutal de la violence patriarcale.
Le retour de l’hyper-violence endémique, avec le retour des qualités viriles, se convertirait par l’évaporation du féminisme.
C’est ce dont nous avons besoin.