Captain Harlock
Démocratie Participative
28 mars 2019

 

En dépit des efforts de Damien Rieu, les Identitaires sont mûrs pour la purge judéo-communiste.

Le Dauphiné Libéré :

Avant de tuer 50 personnes en Nouvelle-Zélande, Brendon Tarrant avait fait un don de 1 500 € à la branche autrichienne de Génération identitaire qui a participé à l’opération anti-migrants près de Briançon dans les Hautes-Alpes.

Le terroriste de Christchurch a-t-il directement ou indirectement contribué à financer l’opération anti-migrants de Génération identitaire en avril 2018 à la frontière franco-italienne, près de Briançon (Hautes-Alpes) ?

Martin Sellner, le leader de la branche autrichienne de Génération Identitaire, a reconnu lundi avoir reçu début 2018 un don de 1 500€ versé par Brendon Tarrant, le suprémaciste blanc qui a tué 50 musulmans dans deux mosquées de Nouvelle-Zélande le 15 mars.

Martin Sellner faisait partie des dizaines de militants identitaires venus de toute l’Europe qui avaient fait le « buzz » au printemps 2018 en mettant en scène des patrouilles anti-migrants au col de l’Echelle, à 1700 mètres d’altitude, sous la bannière « Defend Europe », avec un hélicoptère.

Pendant plusieurs jours, Génération identitaire avait nargué les autorités et s’était offert un gros coup de publicité en relançant la polémique sur la surveillance des frontières.

Martin Sellner avait publié plusieurs photos depuis les Hautes-Alpes sur son compte Twitter, suivi par plus de 30 000 abonnés.

Le chef de file des identitaires en Autriche avait aussi tweeté une vidéo de l’hélicoptère de « Defend Europe » survolant les Alpes.

A l’époque, les militants identitaires expliquaient que le financement de l’opération et de leur mouvement provenait essentiellement de dons de particuliers. Brendon Tarrant faisait donc partie de ces donateurs. Il était même l’un des plus généreux puisque Martin Sellner reconnaît avoir reçu une somme de 1500 euros.

Analysez bien la narration mise en place par la presse juive.

D’un côté, vous avez des réseaux d’extrême-gauche qui aident objectivement les djihadistes à pénétrer en Europe.

Comme Cédric Herrou à la frontière franco-italienne.

Ce n’est même pas une théorie complotiste, c’est ainsi que les djihadistes qui ont agi au Bataclan ont pu venir de Syrie jusqu’en en France.

Mais c’est comme si cela n’avait jamais existé. Et ces réseaux continuent d’opérer partout, sous la protection des gouvernements aux ordres de la finance juive.

D’un autre côté, vous avez donc quelques jeunes Blancs qui décident de restaurer légalement un contrôle à la frontière franco-italienne.

Subitement, la presse juive se met à parler de terrorisme.

Ils essaient à toute force de faire flotter cette idée selon laquelle Brenton Tarrant aurait financé lui-même ces hélicoptères et ces 4×4 et qu’en conséquence, ce serait du terrorisme. Du terrorisme rétroactif.

Quand je dis que la réalité n’a plus aucune espèce d’importance aux yeux du système, même pour essayer de justifier l’élimination des opposants, je n’exagère pas.

Virtuellement, grâce à ce procédé, les gouvernements juifs vont simplement dire que, puisque Tarrant a le pouvoir de remonter dans le temps pour commettre des actes terroristes par carte bancaire, tout ce qui ont reçu quelques shekels sont des terroristes.

Des terroristes VISA/MASTERCARD.

Le terroriste de Christchurch l’expliquait dans son manifeste de 74 pages mis en ligne peu avant son massacre : « Je ne suis pas membre direct de quelque organisation que ce soit, cependant j’ai donné financièrement à beaucoup de groupes nationalistes et j’ai interagi avec beaucoup d’autres ».

Brendon Tarrant a-t-il été contact avec des militants de Génération identitaire lors de son séjour en France en 2017 ? Les services de renseignement français mènent actuellement une enquête discrète sur son voyage dans l’Hexagone. La DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure) cherche à savoir s’il a rencontré des membres de l’ultra-droite française, comme l’a révélé Marianne.

Selon le quotidien britannique The Independent qui cite des sources sécuritaires, Brendon Tarrant a bien été en contact avec des groupes d’extrême-droite lors de son séjour en Europe.

Dites au revoir à votre liberté d’association.

Elle n’existe plus de toute façon.

C’est ainsi que l’Oeuvre Française a été dissoute par le laquais des juifs précédent du ministère de l’Intérieur, Manuel Valls.

C’est comme ça que des associations comme les organisations chiites de France ont été cataloguées « djihadistes » par les juifs tandis que toutes les organisations sunnites, véritable réserve du djihadisme, continuent d’opérer avec l’appui total du gouvernement juif.

Sans le Hezbollah libanais et l’Iran, l’Etat Islamique armé par les Saoudiens et encadrés par les Turcs auraient pris Damas sous le regard approbateur des juifs de Paris et de Tel Aviv. Mais Castaner, le larbin des juifs, nous assure que Yahia Gouasmi est plus ou moins al-Bagdadi.

« Désolé, mais je ne peux pas demander à chaque donateur s’il a l’intention de commettre une attaque terroriste dans l’année, et dans ce cas le rembourser », s’est défendu Martin Sellner, qui affirme n’avoir jamais rencontré Brendon Tarrant, même si ce dernier a séjourné en Autriche en 2017.

Le chancelier autrichien Sebastian Kurz a lui-même reconnu ce mercredi l’existence « d’un soutien financier et donc d’un lien » entre l’assaillant de Christchurch et le mouvement identitaire dirigé par Martin Sellner.

Le gouvernement autrichien envisage de dissoudre le groupuscule d’extrême-droite, une des nombreuses ramifications de l’organisation française Génération identitaire, si l’enquête confirme des liens avec le terroriste australien.

Cela fait un moment que, partout en Europe, la pression juive monte contre ce groupe en raison de ses opérations d’agit-prop contre l’invasion afro-islamique.