« 250,000 » : l’Etat annonce à l’avance le nombre de manifestants antivaxs qu’il y aura demain dans les rues

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 août 2021

Quand vous pensez avoir atteint le pic de cette dystopie, un nouveau pic est en vue.

Le gouvernement a déjà décidé du nombre d’opposants qu’il y aura demain dans les rues, à l’unité près.

Le Figaro :

Alors que le passe sanitaire est entré en vigueur lundi 9 août après l’aval du Conseil constitutionnel, la mobilisation anti-passe sanitaire continue à amasser les foules. D’après une note du Renseignement territorial, que BFMTV a pu consulter, «les autorités s’attendent à 200 cortèges pour l’ensemble du territoire, haussant la mobilisation à 250.000 manifestants environ». Une information que confirme également le Nombre Jaune au Figaro, compteur alternatif des manifestants, qui a pu recenser «220 événements du vendredi soir au dimanche midi».

Outre la capitale, des cortèges importants vont avoir lieu à Toulon avec plus de 15.000 manifestants, à Montpellier avec 10.000 marcheurs, puis à Nice, Marseille et Perpignan, révèle la note. La semaine dernière, le Rassemblement territorial attribuait «la couleur sudiste du mouvement au retour de nombreuses mesures sanitaires, dont l’imposition du port du masque», commente BFMTV.

Si l’essentiel des mobilisations – réunissant familles, enfants, soignants – devrait se dérouler dans le calme, les auteurs de la note alertent sur des risques de débordements à Lyon, Nantes et Rennes. Dans les villes de Nantes et Nice, «des violences pourraient toutefois éclater au sein même des mobilisations, entre militants d’ultra-droite et militants d’ultra-gauche».

Dans cette nouvelle société covidiste qui est devenue la synthèse de 1984, Soleil Vert, Brazil et Fahrenheit 451, il ne manquait plus que Minority Report.

Le nombre de manifestants est annoncé dans les médias la veille et confirmé le lendemain.

Le but n’est pas de convaincre. Le but est d’humilier la plèbe en lui signifiant son impuissance, peu importe ce qu’elle fait dans la réalité pour changer le statu quo.

La réalité n’a plus d’importance, seule la puissance de l’état covidiste dans l’esprit des masses compte. Une véritable réalité parallèle est progressivement créée de toutes pièces par le système dans les esprits. Le monde extérieur tel qu’il est perçu par les masses zombifiées par la vaccination et la terreur psychologique n’a plus rien de commun avec le monde extérieur que nous percevons objectivement.

D’ici quelque temps, nous ne nous parlerons plus la même langue.

Cette division génère progressivement une myriade de bulles sociales dont vous et moi sommes définitivement exclus.

Les anciens système religieux sémitiques reposaient sur la même notion de terreur.

Le christianisme commence par promettre aux masses païennes un séjour éternel dans les flammes de l’Enfer où elles seront tourmentées par des légions de démons. Son intermédiaire sur terre qu’est l’Eglise propose ensuite une porte de sortie aux masses  gagnées par la terreur : moyennant une soumission aveugle et des rites de purification prodigués par les fonctionnaires de cette église, les masses pourront échapper à la damnation.

Ce système s’est écroulé en Europe sous le poids des progrès de la science qui ont permis aux masses de comprendre fonctionnement de l’infiniment grand comme de l’infiniment petit en dehors du magique.

Pour qu’un nouveau système religieux ait une chance de s’imposer sans difficulté, il fallait qu’il utilise le vernis de foi en la science pour réarmorcer le mécanisme terroriste : le virus est le châtiment mortel par défaut, la piqure remplace l’hostie comme clef du salut, les vaccinés remplacent les élus de Dieu, l’Etat sanitaire et ses blouses blanches se substitue à l’Eglise et ses prêtres comme médiateur de la purification.

Prosternez-vous devant le grand prêtre Bourla

Les réfractaires non-vaccinés deviennent des êtres impurs, officiellement excommuniés par la puissance publique, comme des hérétiques.

Sous une maigre couche de scientisme, la société covidiste repose sur la dichotomie sémitique entre pur et impur avec une ségrégation active des êtres qui ne respectent pas les interdits religieux des prêtres du temple.

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