2,5% des Français vont encore à la messe

La rédaction
Démocratie Participative
31 mars 2023

 

Voici la dernière enquête de l’Insee sur l’état du paysage religieux en France. Elle se focalise sur les 18-59 ans, ce qui est pertinent pour comprendre les dynamiques actuelles.

Les personnes sans religion (athées ou agnostiques) sont majoritaires, à 51%.

Les personnes se déclarant catholiques ne représentent plus que 29% de la population de moins de 60 ans. Seulement 8% d’entre eux se rendent à l’église une fois par mois, soit 2,5% de la population française.

Il faut rappeler qu’il n’y a pas de catholicisme sans pratique religieuse. Ceux qui se « disent » Catholiques sans pratiquer ne le sont pas au sens religieux du mot. Ils n’ont d’ailleurs aucune connaissance des principes élémentaires de la doctrine catholique. Ni d’ailleurs la grande majorité de ceux qui pratiquent encore puisqu’ils participent à une hérésie démocratique moderne apparue après le Concile Vatican II en 1965.

En résumé, après 17 siècles, le Catholicisme a pratiquement disparu en France, limité à une toute petite frange de la population qui continue de se réduire rapidement.

Sa structure est encadrée par un clergé homosexuel voué au repeuplement du territoire français par la natalité africaine dont il espère qu’elle sera un petit vivier de substitution, à la façon de la gauche qui elle y voit une manne électorale alternative.

L’affaire est entendue pour la religion du migrant.

Les gens qui s’excitent sur les démolitions d’églises abandonnées n’y foutent jamais les pieds et ne croient ni à Dieu ni à Diable.

La nature a horreur du vide. Les Musulmans qui construisent leurs mosquées en France le font dans la suite logique de l’effondrement démographique des sociétés de consommation féministe que la plèbe de souche plébiscite.

La chute finale du christianisme en France est bien illustré par la destruction de Notre-Dame de Paris.

L’ennui, c’est que si la structure apparente du christianisme s’est désintégrée, les idées chrétiennes se portent très bien.

Les cervelles blanches restent structurées par l’idéalisme antiréaliste, en particulier l’universalisme et l’égalitarisme. L’utopisme chrétien des Blancs, même sans dieu et sans paradis, continue de souffler feu et flammes dans leurs boîtes crâniennes recâblées par des siècles de mantras.

Habilement repris par la juiverie, son marxisme et sa démocratie, ce fanatisme messianique cherche sans cesse un nouveau point d’appui que lui fournit l’hyperclasse qui s’en sert comme de gardes rouges.

L’écologisme est la dernière hérésie à la mode chez ces masses aliénées qui convulsent de rage et cherchent toujours à rationaliser a posteriori cette rage.

Ce qui nous amène à la véritable guerre civile actuelle, qui est une guerre religieuse, mais à l’intérieur du monde blanc, que surinfecte l’immigration non-blanche avec ses propres cultes barbares comme l’islam.

Il y a le post-monothéisme égalitaire d’un côté, avec son projet de grand tout amorphe, horizontal, féminin, démocratisé, et de l’autre, les partisans de l’ordre élitaire aryen.

Les adeptes du premier sont les Blancs dégénérés, avec leur atavisme bolchevique, qui menacent à tout instant de faire tomber le monde dans la nuit en aidant les juifs dans leur entreprise d’anéantissement planétaire qu’est le sémitisme.

Ce sont aussi les Blanches folles.

Ils donneront la main à n’importe quel incendiaire, ce qui explique l’essence de leur besoin de trahir.

La figure anthropologique achevée de ce processus d’aliénation est la chiure antifa.

Nos pires ennemis sont bien ces Blancs possédés par le démon grégaire de l’égalité, cette fin de race geignarde et vociférante qui veut imposer ses rêves enfantins de pacification universelle à coups d’émeutes, de crises ovariennes incontrôlables, de guerres démocratiques et d’élections.

Ils s’organisent au sein de la gauche, l’église des juifs, leurs seigneurs et maîtres.

Face à ces dégénérés se tiennent confusément les Blancs qui ne veulent pas crever. Ils ont la cervelle embuée de conceptions obsolètes, de mensonges colportés de génération en génération, de réflexes, de poncifs, mais ont encore une étincelle de vie en eux qui les fait s’écarter de cette masse hurlante de pénitents blancs qui veulent se suicider en rémission de leurs péchés, inventés par les juifs, contre l’hallucination égalitaire.

AMSTERDAM, 2020 : le culte de l’Éternègre

Nous entrons dans un nouveau cycle. La réaction droitiste s’accrochera jusqu’au bout à ses vieilles conceptions inopérantes, par habitude et manque d’imagination, tandis que les révolutionnaires créeront une voie spirituelle nouvelle pour la race blanche en Europe.

Ce n’est pas l’affaire de 15 jours.

En attendant, si vous voyez ça sur une bio Twitter, partez vite. Ce sont des gens qui pensent que les Noirs ont une âme et qu’ils sont vos compatriotes.

Pour approfondir : Le bolchevisme, de Moïse à Lénine – Dietrich Eckhart

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