Captain Harlock
Démocratie Participative
17 mars 2019
Vous n’allez trouvé nulle part l’analyse que vous allez lire ici.
Tout d’abord parce que le gouvernement d’occupation juif a d’ores et déjà donné l’ordre d’enterrer l’affaire de la mosquée de Christchurch en Nouvelle-Zélande.
Cette mosquée qui n’était rien d’autre qu’une base de recrutement pour le djihadisme international en vue de la destruction de l’Occident.
Depuis des années et des années je suis le traitement médiatique des attentats commis par des musulmans, en France et à l’étranger.
Je suppose que vous vous souvenez des attentats de Toulouse quand, pour sauver la narration officielle, les agents du système maintenaient sous respiration artificielle la menace fictive de l’extrême-droite.
Si ce ne vous ne vous en souvenez pas, voici un rapide résumé.
OJIM :
Déjà, en 2012, lorsque Mohammed Merah abattait, à Montauban, des militaires en pleine rue et finissait par s’introduire dans une école juive de Toulouse pour y faire un carnage, les grands médias avaient fait leurs choux gras sur une pure spéculation : son origine. Alors qu’on ne connaissait rien du tireur et que les seules images disponibles montraient un homme casqué intégralement, l’extrême-droite était visée. Le Point avait dégainé le premier en évoquant « la piste néonazie ». Puis, les télévisions avaient décrit un homme « de type caucasien ou européen » (M6), aux « yeux bleus sur un visage blanc »(TF1 et France 2).
Le 20 mars, les Inrocks faisaient même appel à un sociologue pour assurer une légitimité à cette thèse. Laurent Mucchielli déclarait ainsi que, « selon les premiers éléments de l’enquête, le meurtrier n’est pas un islamiste ou un banlieusard – les cibles favorites du débat public – mais une personne qui est apparemment issue d’un groupuscule néo-nazi ». Bravo pour la lucidité. De même pour Le Canard Enchaîné, Charlie Hebdo et Le Monde qui, tous en cœur, évoquaient tantôt un néo-nazi, tantôt un dangereux nervi d’extrême-droite, forcément proche des idées du Front National. La menace fasciste planait sur la République en danger.
Mais dès les premières révélations sur l’identité du tueur, l’islamiste Mohammed Merah, le changement de ton sera total. On parlera désormais d’un jeune « toulousain de 23 ans » qui « aime le foot, les scooteurs et les sorties en boîte » (France 3). Pour les Inrocks, il s’agit d’« un enfant du mariage malheureux entre la France et l’Algérie ». Libération couronnera ce grand retournement par une description devenue célèbre : un jeune au« visage d’ange d’une beauté sans nom »… Mais le pompon survenait le 21 mars, lorsque sur son compte Twitter, le journaliste du Nouvel Obs Nicolas Chapuis rapportait des propos tenus au sein de sa rédaction : « Putain ! Je suis dégoûté que ce ne soit pas un nazi ! » Et son collègue, Tristan Dessert, de lui répondre, comme un aveu pour l’ensemble de la profession : « Ça aurait été effectivement plus simple. »
Voilà « l’ange à la beauté sans nom » :
Une sale gueule de rat de banlieue comme on en voit des millions dans les rues de France.
Nicolas Chapuis, aujourd’hui journaliste au Monde où il tente de gonfler désespérément la fausse affaire « Adama Traoré », se lamentait effectivement.
Une constante : la passion des métèques.
On en est donc là : entre un parquet et des juges d’instruction qui ont manifestement envie d’accélérer la clôture du dossier et la famille qui essaie de garder ouvert par tous les moyens l’instruction. FIN… jusqu’au prochain rebondissement. #AdamaTraore
— Nicolas Chapuis (@nicolaschapuis) 13 mars 2019
Comme vous le voyez, au moment de l’affaire Merah en 2012, Charlie Hebdo, une antenne juive, considérait encore « l’extrême-droite » comme la cible prioritaire et désinformait au même titre que les autres médias pour détourner l’attention du public français de ces pieux et innocents musulmans.
Et puis les bougnoules se sont intéressés à eux.
Au moment de l’attentat contre Charlie Hebdo, il y a eu un grand moment de dissonance cognitive.
Rappelez-vous de la lesbienne Fourest, obligée de Bernard-Henry Lévy et d’Israël, qui racontait partout que Kouachi était un Aryen de Suède.
Les fameux « très beaux yeux bleus » du bougnoule.
C’est à ce moment-là que tout s’est effondré.
Pendant plusieurs années, après janvier 2015, le système a désespérément attendu une réaction de jeunes Blancs contre des musulmans.
C’est si vrai que lorsque l’attentat du 14 juillet 2016 ont eu lieu à Nice, c’est la sécurité des mosquées qui était la priorité du gouvernement d’occupation. Comme ici le 18 juillet, quatre jours après l’attaque djihadiste :
Voici l’axe narratif : plus les musulmans attaquent l’Europe, la France et les Blancs, plus le système présente les musulmans comme des victimes et prend des mesures exceptionnelles pour les appuyer. En parallèle, à mesure que les musulmans sèment le chaos et multiplient leurs crimes, les populations blanches sont diabolisées.
L’objectif est de maintenir la pression sur la classe moyenne blanche qui, en raison du fait qu’elle est la source de revenus fiscale de l’Etat et de la finance, ne peut, à aucun moment, basculer dans l’émancipation et l’autodétermination nationaliste sans faire s’effondrer tout le système cosmopolite en place.
Le système n’est pas irrationnel, bien au contraire.
Parmi ses réponses post-Charlie Hebdo/Bataclan, il a fait augmenter à un niveau inédit l’implantation de clandestins musulmans sur tout le territoire français suite à l’effondrement de la Libye et de la Syrie sous l’action des guerres initiées par les juifs contre les régimes arabes laïques.
Par ce biais, le système judéo-globaliste d’occupation a importé des centaines de milliers de supplétifs raciaux supplémentaires pour étendre l’effort de guerre contre les populations autochtones.
C’est une stratégie militaire de type hybride.
Durant toutes ces années, j’ai entendu, encore et toujours ces mêmes journalistes puants geindre d’impatience, essayant de trouver des terroristes blancs pour contrebalancer la réalité de la sauvagerie arabo-djihadiste.
Parce que les rabbins du dogme cosmopolite veulent sauver leur utopie multiraciale qui repose sur la promotion du gentil métèque marron exploité contre le démon blanc exploiteur.
Et puis, vendredi 15 mars, les médias tenaient enfin le Blanc en question : Brenton Tarrant.
Après tant d’années d’attente angoissée, ils étaient récompensés.
Sauf qu’ils ont fermé leurs gueules.
Il n’y a eu qu’un service minimum d’une journée et le lendemain, samedi, ils passaient tous à autre chose.
Pas de bougies, pas de rassemblement.
Seuls les bougnoules ont pleuré.
Eux qui d’habitude, quand les Blancs se font assassiner par des djihadistes, hurlent de joie.
Bien sûr, vous vous en doutez, ce silence et cette modération ne s’expliquent pas parce que les journalistes ou les politiciens sont devenus soudainement sains d’esprit et soucieux de l’avenir des populations autochtones d’Europe.
Ces gens-là ne changent pas.
Leur dogme fondamental reste le culte de l’homme marron et la soumission à la sauvagerie islamique qu’ils euphémisent en permanence. Leur objectif reste de recouvrir l’Europe de centaines de millions de sous-hommes du tiers-monde, surtout s’ils sont musulmans.
C’est leur raison d’être, le projet millénariste finale de leur secte égalitariste.
Cela pose donc une seule question : pourquoi ces gens ont fermé leurs gueules ?
S’ils ont fermé leurs gueules, c’est parce qu’ils redoutent quelque chose qui peut nuire plus gravement encore à Mohammed et Mamadou.
Ce quelque chose dont ils ne veulent pas parler en public est la suivante : des dizaines de millions de gens, en Europe, ont exulté de JOIE à l’annonce de l’élimination de 50 fidèles de Mahomet.
Parce que les Européens sont simplement arrivés à bout de patience avec ces sauvages que la finance juive importe par millions dans nos pays.
Après des années de propagande juive sadique visant à faire culpabiliser les Blancs pour les attaques que subissent leurs femmes, leurs vieux et leurs gosses, ils ont soudainement senti un gigantesque sentiment de justice.
La plupart des gens ne comprennent rien parce qu’ils sont, comme des lapins, pris dans les feux d’une voiture qu’on appelle le présent.
Environ 99% des Blancs que vous croisez dans la rue ont une capacité de stockage mémoriel d’environ une journée, au grand maximum. La masse est un comme un gigantesque tas de viande parcourue de nerfs qui réagit à des stimulis électriques en se contractant. Sitôt le courant coupé, elle redevient inerte.
Ce courant, ce sont les médias juifs qui peuvent, par l’excitation des émotions, faire remuer cette viande.
Les gens, pris collectivement, ne sont pas rationnels. Ils ne comprennent pas qu’une action entraîne une réaction.
Ils croient que le passé comme le futur ne sont que l’extension du présent qu’ils vivent à l’instant T. Ils croient que ceux qui gouvernent aujourd’hui ont toujours gouverné et gouverneront toujours, que l’histoire n’est qu’un éternel statu quo. D’où l’illusion d’impuissance de la plèbe et l’illusion de toute puissance des gouvernants.
Cette réalité est mitigée par le fait que les Blancs ont, en moyenne, une capacité supérieure à dépasser cette réalité biologique limitative. Les nègres aucune.
C’est pour ça que les Blancs ont produit la civilisation occidentale : ils arrivent à engendrer quelques individualités qui parviennent à penser le passé et le futur, donc à prendre conscience de leur situation temporelle et spatiale et ainsi de se remettre en cause pour corriger ce qui peut l’être.
J’explique tout ça parce que ceux qui dirigent actuellement le système et ceux qui l’administrent pour eux, comme les flics par exemple, ne savent pas dans quoi ils sont embarqués. Même les gens qui chez eux sont censés anticiper ce qui va se produire ne comprennent rien de ce qui se passe.
Pour l’heure, nous les nationalistes blancs, sommes considérés comme des illuminés par l’appareil politico-médiatique de ce système. De la même façon que tous les esprits critiques du marxisme en URSS étaient considérés comme cliniquement dérangés puisque, selon les marxistes, le marxisme est une science.
Un simple coup d’oeil sur la situation objective de ce même système démontre que les illuminés ne sont pas ceux que la presse juive qualifient ainsi.
Nous sommes simplement capables de comprendre la situation objective de l’Europe, les forces en présence, qui veut quoi et comment.
D’abord, parce que nous avons aboli les verrous psychologiques qui sont implantés dès l’enfance dans nos cerveaux par le système. Ce qui nous permet d’appeler un nègre un nègre.
Mais c’est aussi parce que nous maîtrisons la science historique.
Pourquoi croyez-vous que le système judéo-égalitariste actuel purge massivement les livres scolaires des grandes figures historiques du passé et réécrit les faits pour coller aux besoins du système ?
Pour faire des Blancs une masse sans mémoire qui ne peut donc pas avoir de recul sur la situation et donc contester la politique du système, faute d’éléments de comparaison.
Et pour cause, si un Blanc se met à étudier l’histoire longue de l’Europe, il va découvrir que les mêmes causes entraînent les mêmes effets, peu importe les lieux ou les époques.
Qu’il s’agisse de la Reconquista en Espagne, de la lutte contre l’Empire Ottoman dans les Balkans ou de l’assaut islamique défait à Poitiers par Charles Martel.
Il vous suffit de regarder avec quel fanatisme le système essaie d’effacer la signification de cette bataille pour que vous deviniez qu’il y a quelque chose qui lui pose réellement problème.
Dans ce reportage de la chaîne d’état France 3, vous pouvez découvrir, entre des arabes au regard d’égorgeurs et des vieux communistes, que « Charles Martel qui écrase les arabes à Poitiers en 732 reste un mythe national construit au fil des siècles pour faire peur » (01:14′) :
Si les Blancs se voient interdire le droit d’interpréter cette bataille selon leur mémoire propre, les chiens d’allah, eux, sont vivement encouragés à faire l’inverse.
Le coran étant en lui-même le récit des campagnes militaires de l’enculeur de chèvre Mahomet, ces mahométans, si soucieux de ne pas voir les Blancs glorifier leurs chefs militaires, s’enthousiasment à glorifier le leur chaque jour de l’année.
Le système consacre une énergie énorme pour détruire toute forme de conscience communautaire chez les Blancs, dans le temps et dans l’espace.
C’est la condition de leur démoralisation, préalable indispensable à leur neutralisation politique. Pourquoi défendriez votre groupe si, depuis l’enfance, on vous a convaincu qu’il n’existait pas ou, le cas échéant, que dire qu’il existe est démoniaque ?
Les Blancs ne doivent pas vouloir combattre pour résister. C’est l’axe cardinal de l’idéologie du système judéo-globaliste contrôlant l’Etat Français et l’UE au sens large : celle du désarmement psychologique des Blancs qui ne doivent rester que des serfs inoffensifs et soumis. Pas des hommes libres, rebelles à toute soumission.
Ce système consacre autant d’énergie à maintenir et développer cette conscience communautaire chez les hordes de sous-hommes qui nous envahissent. D’abord pour les youpins avec leur mythe de l’holocauste, ensuite chez les nègres avec leur histoire d’esclavage – traite arabe exceptée – et enfin les sectateurs d’allah en ouvrant autant de mosquées que possible.
La mémoire longue
Entre autres choses, qu’a fait Brenton Tarrant ?
Citer les noms des innombrables batailles menées par les Européens pour résister aux hordes islamiques se jetant sur l’Europe depuis 13 siècles, sans discontinuer.
Et citer la Bataille de Poitiers de 732, connue dans le monde anglo-saxon sous le nom de Bataille de Tours.
Ce qu’a fait le Saxon Brenton Tarrant a consisté à dire, tant au système globaliste juif mettant en oeuvre le remplacement de la population en Europe qu’aux masses islamiques, que les Blancs peuvent se souvenir de faits guerriers collectifs qui leur sont propres.
Que les Blancs ont une mémoire longue, en dépit des efforts pour détruire leur psychologie collective.
Ne vous y trompez pas : dans la mentalité islamique, c’est un langage parfaitement compréhensible. D’où son extrême efficacité et sa portée chez eux.
Les musulmans ne comprennent rien du discours démocratique, avec ses concepts mous de « droits de l’homme » qui autorisent les fiottes à s’habiller en femmes. Pour eux, c’est du mandarin qu’ils ne parviennent pas à articuler concrètement.
Mais parlez leur d’une bataille au 8ème siècle qui a taillé en pièces leurs troupes et vous serez stupéfaits de les voir réagir aussi vivement que si les faits s’étaient déroulés il y a deux semaines. Précisément pour la raison que j’ai dites : les masses orientales avec leur faible QI ne fonctionnent que de manière grégaire. Leur mémoire n’est pas une mémoire individuelle, faute de capacités mémorielles, mais collective, aisément transmissible.
De quoi résulte qu’un de ces kébabs ne se distingue pas, dans sa cervelle archaïque, d’un Ottoman de 15ème siècle ou d’un égorgeur chevauchant aux côtés de Mahomet.
Mahomet est l’archétype du bougnoule sur lequel tous les autres ont été construits.
Pour un crouille, c’est du pareil au même.
Seul le décor change vaguement.
Erdogan prépare le Djihad
Et c’est là où je voulais en venir en écrivant cet article.
Erdogan vient d’en faire la démonstration hier en diffusant, à ses masses de supporters islamistes surexcités, les images non-censurées de l’éradication de cette mosquée.
Vous pouvez voir les montages où des gros plans sont faits sur la date 1683, date du second siège de Vienne.
Aujourd’hui, Erdogan a diffusé la video du massacre dans un des ses meetings. Sans scrupules, pour gratter quelques voix en plus! pic.twitter.com/9cMwchMaB5
— Milli direniş™ (@Milli_direnis) 16 mars 2019
Erdogan est littéralement en train de se victimiser parce que des Blancs ont refusé de se laisser réduire en esclavage par les Ottomans devant les murs de Vienne.
Vous pouvez le voir enflammer ces cafards turcs.
Ce n’est pas seulement un argument électoral.
La décision d’Erdogan de refaire de la Turquie la principale puissance islamique de la planète a misérablement échoué en Syrie.
Cette bête sauvage qui se répand en larmes pour les besoins des caméras n’a pas hésité le moins du monde à alimenter le feu de la guerre civile en Syrie en armant les pires animaux du monde islamique.
Ils continuent de protéger les salafistes d’Idleb. Ce n’est pas une théorie conspirationniste, même les médias français le disent à présent.
Pour limiter les conséquences de la déstabilisation de la région, notamment l’insurrection kurde, Erdogan a dû instaurer un système de surveillance et de répression généralisées. Les capitaux fuient le pays avec pour conséquence l’effondrement de la lire turque.
Erdogan, toujours animé par sa soif de pouvoir illimitée, a besoin d’un ennemi. Et vite.
Tout le monde sait qu’il a activement participé aux attentats du Bataclan. La seule façon pour lui d’éviter le renversement de son gouvernement, c’est de lancer toute la vermine islamique à l’assaut de l’Europe.
L’Europe est la meilleure cible, maintenant que la Syrie a été verrouillée par la Russie et l’Iran.
Erdogan n’a besoin d’aucun attentat pour appeler les djihadistes à frapper les Européens. Il le fait publiquement depuis des années.
Le problème, c’est qu’Erdogan est à la tête d’un pays membre de l’Otan et l’Otan est, par définition, l’aviation djihadiste.
C’est cette aviation US qui a créé le Kosovo mafio-djihadiste reconnu par l’UE et protégé par une base militaire américaine.
C’est encore l’Otan qui a armé les djihadistes syriens et libyens.
En outre, l’US Army, pilier de l’Otan, se finance en vendant des quantités gigantesques d’armement aux mahométans, notamment les saoudiens. Sans parler de la mainmise US sur les ressources d’énergie dans les pays sunnites.
Les Américains sont prêts à passer n’importe quoi à Erdogan pour éviter qu’ils ne rompent les ponts avec l’armée américaine. Quelques Blancs massacrés ici et là n’ont aucune importance.
Macron, lui, se pisse dessus.
Primo parce que c’est une fiotte, deuxio parce qu’il sait qu’Erdogan peut faire coller des flots de sang dans les rues de France sur un simple coup de téléphone.
C’est ce qui se passe quand vous laissez la vermine turque construire près de 200 centres de commandement djihadistes – encore appelés « mosquées » par la presse juive – sur votre territoire avec, à leur tête, des fonctionnaires turcs préposés au djihad.
Erdogan envoie son vice-président – vice-sultan en réalité – en Nouvelle-Zélande pour se proclamer grand protecteur de la oumma contre l’Occident.
On ne parle plus de combat entre « l’ultra-droite » et quelques crouilles salafistes.
On parle d’un conflit d’extermination inéluctable activement recherché par Erdogan et abondamment relayé par les Frères Musulmans, ses alliés.
La chasse aux pseudo « extrémistes » blancs
Il y a encore quelques années, le renseignement du gouvernement d’occupation juif était très demandeur d’un pendant blanc aux djihadistes.
Pour diaboliser à outrance les mouvements populistes.
Mais plus maintenant. Parce qu’ils savent que les Européens ne réagissent plus en hurlant au racisme et en plantant des bougies comme des zombies à chaque fois que leurs enfants se font assassiner dans l’indifférence des flics et des gouvernements d’occupation.
Ce temps-là est largement révolu.
N’importe quelle étude d’opinion réelle, sérieuse, démontrerait qu’après des décennies d’actes criminels de masse, tous plus horribles les uns que les autres, les Européens se réjouissent dans le fond de leur coeur à l’annonce des malheurs des crouilles.
Et plus particulièrement de ce qui s’est passé vendredi.
Le patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) Patrick Calvar craint « une confrontation entre l’ultra droite et le monde musulman« , selon la retranscription de son audition devant la commission d’enquête parlementaire sur les attentats de 2015, rendue publique mardi.
« Je pense que nous gagnerons contre le terrorisme. Je suis en revanche beaucoup plus inquiet de la radicalisation de la société et du mouvement de fond qui l’entraîne », a affirmé le 24 mai le patron du renseignement intérieur, auditionné à huis clos.
« C’est ce qui m’inquiète quand je discute avec tous les confrères européens: nous devrons, à un moment ou un autre, dégager des ressources pour nous occuper d’autres groupes extrémistes parce que la confrontation est inéluctable« , a-t-il estimé. Et de préciser: « Vous aurez une confrontation entre l’ultra droite et le monde musulman – pas les islamistes mais bien le monde musulman« .
Le patron de la DGSI avait tenu des propos similaires le 10 mai devant la commission de la Défense nationale de l’Assemblée nationale.
« L’Europe est en grand danger: les extrémismes montent partout et nous sommes, nous, services intérieurs, en train de déplacer des ressources pour nous intéresser à l’ultra droite qui n’attend que la confrontation », avait-il alors affirmé. « Encore un ou deux attentats et elle adviendra. Il nous appartient donc d’anticiper et de bloquer tous ces groupes qui voudraient, à un moment ou à un autre, déclencher des affrontements intercommunautaires », avait estimé M. Calvar.
Cette phraséologie est complètement surréaliste. Ces gens affirment que les conséquences de la catastrophe raciale sont ses causes.
Ce type, alors à la tête du renseignement, parlait de « radicalisation de la société » avant de maudire les empêcheurs de tourner en rond autochtones, labélisés, dans la meilleure tradition bolchevique, en tant que « groupe extrémistes d’ultra-droite ».
Peu étonnant que cette ordure participait aux réunions d’un des outils du gouvernement d’occupation global qu’est le Bilderberg.
Ces agents de renseignement n’ont à aucun moment songé que le bouleversement du socle anthropologique européen, vieux de plusieurs dizaines de millénaires, par l’implantation de dizaines de millions de créatures féroces venues d’Afrique et d’Orient, gangrenées par le fanatisme islamique, aboutirait à une déstabilisation colossale des sociétés européennes.
Ils ne voient pas le pachyderme fluo en plein milieu du magasin de porcelaine. Ils observent la porcelaine trembler et la maudissent pour ça.
Ces encravatés du renseignement se rassemblent autour de tables et disent tout le mal qu’ils pensent de ces sales Blancs qui ne remercient pas leurs maîtres de la finance pour avoir fait assassiner et violer leurs filles par Mohamed et Fofana.
Je peux vous dire que ces haut-gradés du renseignement n’ont plus qu’un objectif : sauver leurs têtes.
Ce qui suppose de sauver le système.
Ils savent parfaitement que si l’Europe se libère en portant au pouvoir les populistes, tout ce qui a été fait depuis 75 ans se terminera comme dans le Bloc de l’Est.
C’est tout simplement au tour de l’Europe de l’Ouest d’assister à l’effondrement du socialisme cosmopolite aux mains de la finance juive.
Instrumentaliser quelques poignées de « fascistes » pour les besoins de la propagande d’Etat était une chose. Comme avec Chirac et Brunerie en 2002.
Mais ce n’est pas de ça dont il s’agit.
Ce qu’ont compris ces flics, c’est qu’un nombre toujours plus massif d’Européens pensent que les extrémistes sont ceux qui contrôlent actuellement le système.
Ceux qui supervisent l’invasion.
Vous pouvez prendre n’importe quelle génération d’Européens de ces deux derniers millénaires et les placer dans la France de 2019, leur conclusion serait la même : seuls des fous furieux surgis de l’Enfer peuvent avoir sciemment mis en oeuvre l’implantation de 15 millions de sauvages d’Afrique et du Moyen-Orient islamique en plein coeur de la France.
Même De Gaulle, mort en 1970, n’en reviendrait pas.
Et De Gaulle n’était pas un « extrémiste d’ultra-droite » ou un « néon-nazi » ou je ne sais quoi. Même ces cervelles séniles doivent en convenir.
Ces flics peuvent retourner l’équation dans tous les sens, couper les cheveux en quatre, parler de « droits de l’homme », le fait est que les gens ne voient en quoi se faire submerger de nègres ou de barbus armés de couteaux représente un progrès.
Si, en France, des gens en doutent, je peux vous dire que les trois quarts de l’Europe ne veulent voir, sous aucun prétexte, ce qui se passe sur le territoire français arriver chez eux.
En France, ils ne sont arrivés à ce résultat qu’en lavant le cerveau de la population au point de la convaincre de la nécessité de retourner à l’âge de pierre.
Nous sommes arrivés à cette situation où ne pas accepter que la France devienne irréversiblement un cloaque afro-djihadiste fait de vous « un extrémiste d’ultra-droite ».
Le problème, c’est qu’avec ce type de définitions conçues par les extrémistes juifs du CRIF et l’appareil d’état socialo-communiste, vous classez en ennemis des dizaines de millions de gens.
C’est insensé.
Les flics savent que c’est insensé.
Mais ce n’est plus le sujet. Le sujet c’est d’éviter, à tout prix, l’effondrement du Bloc socialiste de l’Ouest.
Dans les années 80, dans la Hongrie communiste du système de l’URSS, pendant de l’Union Européenne, Orban était un « extrémiste ».
Il était fiché par les flics, considéré comme une menace pour « la sûreté de l’Etat ».
Bref, un « fou » et un élément « radicalisé ».
Sauf qu’il était un nationaliste, un homme libre et un patriote qui avait compris ce qu’il fallait comprendre : le communisme était voué à s’effondrer sur lui-même.
Maintenant, cet homme est devenu le plus grand chef de gouvernement hongrois du 21ème siècle. Ce n’est plus la police hongroise qui veut le neutraliser mais la France, le juif Soros et l’Union Européenne.
Orban parle comme nous.
Il pense comme nous.
Jusqu’à faire interdire, dans la constitution, la modification du socle biologique de la nation hongroise.
Les sémites ont une nouvelle succombé à leur soif sadique
Les musulmans, comme leurs cousins sémites juifs, ont commis la même erreur que ces 13 derniers siècles : pousser les Blancs dans leurs derniers retranchements.
Non seulement en pratique, en créant cyniquement les conditions d’une guerre interethnique totale en Europe Occidentale, mais en plus en recherchant l’humiliation des populations blanches.
Sauf que ces créatures stupides ont oublié une seule chose : ne jamais appeler ouvertement à l’éradication d’un groupe, sur son territoire, qui est plus nombreux que le sien.
Mais c’est plus fort qu’eux, ils ne peuvent pas s’empêcher de violer vos filles et ensuite de vous narguer avec un sourire narquois.
Et puis, soudain, l’homme blanc entre en colère.
Rien n’explique pourquoi il s’est mis en colère maintenant et pas un an auparavant ou dix ans plus tard.
Et là, les mahométans sont frappés de stupeur, plongés la terreur la plus totale.
Aussi surprenant que cela paraisse, ils ne comprennent pas ce qu’il se passe.
A aucun moment cette vermine n’aura eu le sentiment d’avoir commis quoique ce soit de problématique.
Les sémites sont tout simplement incapables de comprendre pourquoi leurs victimes se rebellent contre leur tyrannie. Qu’ils violent ou qu’ils assassinent, qu’ils pillent ou qu’ils envahissent, leurs crimes sont toujours à leurs yeux légitimes puisqu’ils signifient que leurs victimes sont faibles.
Pour les sémites, l’oppression est la justice.
Nous n’avons pas, nous, à chercher à comprendre cette psychologie, seulement à la connaître.
C’est pourquoi ces races, malgré les innombrables désastres qu’ils ont connu à travers l’histoire en décidant d’attaquer les peuples blancs, ne retiennent jamais cette leçon : ne jamais, sous aucun prétexte, plonger les Blancs dans un état de colère collective.
Parce qu’ils n’ont tout simplement pas souvenir d’avoir commis une erreur et encore moins de fautes morales. Ils sont donc condamnés à souffrir encore et toujours du fait de leur nature de vermine parasitaire dénuée de toute forme de scrupules.
Tel est leur karma racial à travers les âges.
La malédiction sémitique.
Ces gens, vendredi dernier, le jour des Ides de Mars, ont réveillé un géant. Il n’y aura pas de retour en arrière et le système l’a parfaitement compris.