2022 : face à l’anarchie raciale, préparons l’avènement de l’Etat raciste grand-bourguignon

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 mars 2021

 

Il est difficile de savoir si les sondages donnant Marine Le Pen à 47% au second tour des élections présidentielles sont fiables. Je suis très circonspect, d’autant qu’en 2017 les instituts de sondage avaient exagéré les intentions de vote en sa faveur, la plaçant à plus de 40% au second tour.

Et puis, il y a clairement l’idée de monter dès à présent un « front républicain » en faveur de Macron, ce qui nécessite de créer de toutes pièces un sentiment d’état de siège chez les électeurs de gauche. L’objectif étant de contraindre ces gens à « voter utile » dès le premier tour en votant Macron.

Ceci dit, rien ne nous dit que des élections auront lieu. Si le risque est réel, le système supprimera les élections, purement et simplement. Ou, comme aux Etats-Unis, il aura recours au vote par correspondance pour truquer les résultats.

Toutefois, il faut envisager cette possibilité. Si Marine Le Pen l’emporte, la seule conséquence sera la désarticulation complète de l’Etat. Une véritable guerre civile commencera, non pas du fait des allogènes en tant que tels, mais par la rébellion de la haute fonction publique, des diplomates, de tout ce qui porte un tablier maçonnique dans l’armée et la police, sans parler du feu roulant des médias juifs qui appelleront quotidiennement les afro-maghrébins et les antifas à l’action violente. Et bien sûr, les syndicats, CGT en tête, et le CAC40. S’y ajouteraient le million de fonctionnaires de l’Education Nationale et les lycéens et étudiants.

Ce serait le foutoir intégral et permanent jusqu’en 2027.

Dans le même temps, toutes les organisations supranationales – Otan, ONU, FMI – et nationales (Etats-Unis) organiseraient un blocus invisible et soutiendraient les conspirateurs. La France étant en faillite virtuelle, l’arme financière serait utilisée pour accentuer le chaos.

Marine Le Pen essaierait d’apaiser les conjurés à coups de déclarations antifascistes, s’abstiendrait de toute mesure draconienne, garantirait le statu quo. Cela ne suffirait pas car du point de vue de cette rébellion, le problème n’est pas Marine Le Pen en tant que telle mais le bloc électoral qu’elle représente, c’est-à-dire les classes populaires blanches. La situation ressemblerait à celle qu’ont connu les USA sous Donald Trump. La polarisation ne ferait que croître tandis que le pays s’enfoncerait dans la paralysie et la violence.

Nous avons dépassé le stade où un accord est possible. Jamais on ne fera cohabiter des villes contrôlées par des écolo-marxistes pro-islam comme Lyon, Grenoble ou Marseille avec une présidence RN.

On parle de gens pour qui le Tour de France est une vitrine du fascisme, à tel point qu’ils l’interdisent de passage.

S’y ajoutent les séparatismes traditionnels mais subvertis par le marxisme depuis une cinquantaine d’années.

Un pouvoir central RN entraînerait quasi inévitablement un fort courant autonomiste/séparatiste en Bretagne. Jusqu’ici diffus mais réel, il deviendrait le plus petit dénominateur commun de tous les notables de gauche ou LREM qui refuseraient catégoriquement de prendre des ordres de Marine Le Pen.

En tête, les villes de Rennes et de Nantes contrôlées par la vaginocratie écolo-gauchiste. Entre les Johanna Rolland et les Nathalie Appéré d’un côté et les Marine Le Pen de l’autre, nous aurions une guerre de lavandières géante.

Les Corses, également hantés par le virus du socialisme insulaire, sauteraient sur l’occasion pour fomenter une agitation générale sous la direction du juif ashkénaze Simeoni.

Il y a aussi la Calédonie où un dernier référendum doit avoir lieu en 2022. Le dernier a récolté près de 47% des suffrages en faveur de l’indépendance. Avec une métropole ruinée et paralysée par les troubles politiques, la balance pourrait pencher. Marine Le Pen est tellement obsédée par ces cailloux marron hors de prix qu’elle serait capable d’y déployer l’armée, réussissant l’exploit de créer une micro guerre coloniale au 21ème siècle.

Enfin, vous avez le cocktail détonnant du socialisme municipal islamique. Typiquement, Lille avec Martine Aubry et les Frères Musulmans. Ce séparatisme là aboutirait à faire naître des proto-émirats.

Il y aurait tant de fronts contre une présidence RN, que le pays craquerait de partout. Il n’y aurait aucune force sociale et culturelle suffisamment puissante pour imposer son hégémonie sur le territoire. L’éclatement progressif se préciserait.

Tout ce que j’ai énoncé finira par advenir, quoi qu’il arrive. Mais une présidence RN accélèrerait la décomposition. Ce que ne peut pas ignorer le renseignement intérieur français, ni même l’armée. Je doute que la DGSI ait de l’appétit pour une victoire de Marine Le Pen au vu des conséquences immédiates d’un tel choc politique.

Cette désagrégation aurait également des avantages. Notamment d’arracher de leur léthargie des millions de Blancs attentistes. Que ce soit dans la police, l’armée, dans les divers corps de l’Etat, des dizaines de milliers de cadres de l’Etat seraient obligés de regarder la situation telle qu’elle est. Les slogans lénifiants sur le « bien vivre ensemble républicain » ne leur seraient plus d’aucun secours face à l’anarchie politique et raciale – sans parler des dix millions de musulmans soutenus par 1,5 milliards de mahométans dans le monde.

En réalité, nous avons des millions de gens qui sympathisent avec nous, à différents degrés. Si certains trouvent que nous sommes outranciers ou que nous exagérons, c’est surtout par confort psychologique. Quand la situation deviendra intenable, il est probable que ces gens deviennent bien plus radicaux que nous ne le sommes. Car nous sommes bien la voix de la modération en France – c’est-à-dire celle du réalisme – contrairement à ce que proclament la presse juive ou les ministres de ce gouvernement de liquidation.

La Bourgogne Blanche à l’ordre du jour

Le séparatisme est inéluctable, il nous faut donc nous préparer à évoluer dans ce nouvel espace libanisé et affirmer nos propres prétentions territoriales.

La Bourgogne Blanche a fait rire certains. D’autres demandent quand cet état tombera du Ciel, entièrement organisé. D’autres encore pensent que nous sommes tout simplement bons pour être internés.

« Impossible », s’entend-on dire.

Si un timbre poste comme le Luxembourg peut passer pour un état, la Grande Bourgogne Blanche le peut aussi.

La force historique d’un état repose sur son idée.

On juge un état en évaluant l’Idée sur laquelle il est édifié. C’est ainsi que l’on peut juger de l’état mulâtre français et dire, avec une certitude absolue, qu’il est condamné. Avant qu’un état ne naisse, il lui faut une Idée. L’Idée précède l’Etat car l’Etat n’est que la forme organisée de la conscience du peuple agissant dans l’histoire. C’est la raison pour laquelle tout état nouveau sera toujours précédé par une Idée nouvelle. L’islam en France n’est pas autre chose qu’une idée de ce genre. Cette Idée doit pénétrer dans les masses au point de devenir l’expression de sa conscience. Pas d’Idée nouvelle, pas d’Etat nouveau.

Il ne peut pas y avoir d’état racial sans que l’idée raciale soit devenue majoritaire dans une portion suffisamment grande du peuple. En France, l’idée raciale est paradoxalement une nouveauté au point qu’elle est quasi unanimement rejetée, y compris par l’extrême-droite républicaine. Tout au plus existe un sentiment xénophobe mais la xénophobie n’est pas une idée, c’est un réflexe.

Le fait que cette idée soit nouvelle en France dans le domaine du politique n’est pas du tout un handicap. Au contraire, c’est ce qui fait sa force : elle se constitue de fait un monopole révolutionnaire grâce à des catégories nouvelles.

Il ne peut s’agir d’une contestation interne à l’Etat existant. Qui adhère aux principes de l’Etat existant, communie avec son Idée. Ici, en l’occurrence, l’idée juive de l’égalité raciale que porte la démocratie.

Notre but est de détruire cette république, pas de réduire à la marge sa toxicité.

Il faut donner une forme à une idée, étape préalable à la naissance de l’Etat lui-même. La Grande Bourgogne Blanche est cette forme. Que l’idée soit moquée n’est pas important, toutes les idées qui prétendent renverser l’ordre établi sont toujours réduites à des lubies de marginaux. Ce qui compte, c’est de savoir si cette idée est alignée avec la constellation historique du moment.

Une idée cesse d’être ridiculisée quand elle est revendiquée avec audace.

Il semble justement que le temps soit mûr pour l’agitation raciste-séparatiste. Paris la juive, submergée par l’Afrique et en passe de devenir un grand lac islamique, ne pourra plus longtemps prétendre dicter sa conduite aux millions de Blancs férocement exploités par l’Etat qui y siège. La contestation générale et systématique de l’autorité de cette ville est à l’ordre du jour.

L’idée de la Bourgogne Blanche diffère des courants idéalistes habituels en ce sens qu’elle est solidement rivée dans le réalisme biologique. Elle n’est pas le fruit d’une utopie mais d’une nécessité vitale. Idée et réalité forment dans le racisme étatique un tout solide.

La Bourgogne Blanche est la réponse étatique à la dialectique antiblanche de l’Etat post-français sémitisé. Sa négation. Cette négation doit désormais être formulée concrètement : la guerre de libération raciale et spirituelle doit se matérialiser sur les murs – en plus des autres initiatives non-publiques en Grande Bourgogne même.

L’action est performative : à la minute où les slogans racistes de la Grande Bourgogne Blanche seront vus, ils donneront de facto vie à l’Idée. Nous devons placer l’Etat judéo-africain en position défensive par d’inlassables actions de harcèlement.

Comment ?

En désignant comme ennemi ce qu’il a de plus cher : ses juifs et ses nègres.

Chaque nègre dénoncé devient un nouveau front à défendre pour la République juive. Chaque slogan raciste devient une nouvelle déclaration de guerre à laquelle doit impérativement réagir l’état judéo-africain sous peine de discrédit. Il faut épuiser la truie juive à coups de centaines de nouvelles banderilles quotidiennes dans le dos. Chacune de ces banderilles doit être frappée de la marque bourguignonne.

Nous avons une bannière sacrée : la Croix de Bourgogne. Elle est disponible partout, procurez-vous là, faites-la flotter au vent.

Nous avons un hymne, entonnez-le.

Nous avons une grande Idée, servez-la. Comprenez bien qu’il faut d’abord croire à l’Idée avant que tout devienne possible.

Nous avons une mystique : plongez-y votre âme.

Féodalisme racial

Je veux aussi vous parler de l’ordre social nouveau qui sera celui d’un tel état. Cet ordre social sera construit sur un féodalisme racial méritocratique comme jadis étaient organisées les corporations médiévales. Pas de place pour la démocratie qui empuantit tout, s’y substituera l’esprit d’un nouvel ordre calqué sur la chevalerie.

La force est le droit et l’Idée doit guider cette force.

Une fois raffermis grâce à notre Etat, nous nous distribuerons souverainement tout ce que nous reconquerrons.

Nous livrerons les villes afro-musulmanes au pillage, leurs habitants capturés, leurs enfants vendus au plus offrant dans le monde entier. Faute de quoi, ce sera l’élimination pure et simple. La moindre opposition sera écrasée comme Carthage. Les biens que ces bêtes auront volés seront saisis et distribués aux fils de Bourgogne. S’érigeront ainsi des seigneurs de la guerre sur les décombres de la France arabo-négrifiée et chacun d’eux deviendra chevalier de cet ordre nouveau fondé sur le fer et le sang.

Ce sera l’un des moments les plus glorieux de l’histoire européenne.

J’ai déjà devant les yeux cette résurrection dans les flammes de la guerre raciale.

Mais avant que cette nouvelle ère des seigneurs n’advienne, la démocratie doit être détruite. La République juive, anéantie. Une gigantesque colère, venue des entrailles de la terre, noire, doit surgir. Ce sera la dernière procession. Un bûcher comme on n’en a jamais vu sera dressé et l’impitoyable châtiment tombera. Tout sera purifié.

Ceux qui doivent entendre l’appel du fascisme noir de Bourgogne entendront.

Vous devez maintenant répondre à cette question : allez-vous servir l’Etat de Grande Bourgogne ?

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