Captain Harlock
Démocratie Participative
16 août 2018
L’évangélisme antiraciste a fait deux nouveaux martyrs.
Un jeune couple progressiste américain a été tué dans une attaque revendiquée par l’Etat Islamique le mois dernier alors qu’il faisait un voyage autour du monde à moto.
Jay Austin et Lauren Geoghegan, qui étaient tous les deux dans leur vingtaine, avaient quitté leur travail en 2017 pour faire un voyage autour du monde. Jay Austin, un végan, et Lauren Geoghegan, une végétarienne, estimaient qu’ils gâchaient leurs vies en travaillant.
« J’étais fatigué de dépenser mes meilleures heures de la journée en face d’un rectangle lumineux » écrivait Austin sur son blog avant de démissionner. « J’ai manqué trop de couchers de soleil car j’avais le dos tourné… Trop d’orages n’ont pas été vus, trop de gentilles petites brises pas remarquées ».
Le couple narrait sur les réseaux sociaux leur voyage devant durer une année quand il s’est terminé par une fin tragique et horrible au Tadjikistan, un pays connu pour abriter une présence terroriste.
Austin et Geoghegan étaient en train de rouler en moto dans le pays le 29 juillet quand ils ont été renversés par une voiture, selon CBS News. Cinq hommes sont sortis de la voiture et les ont poignardé à mort ainsi que deux autres cyclistes, un de Suisse et un autre des Pays-Bas.
Deux jours plus tard, l’EI a diffusé une vidéo montrant les mêmes hommes assis avec en fond un drapeau de l’Etat Islamique. Ils faisaient face à la caméra et ont juré de « tuer les mécréants » selon le New York Times.
Durant le voyage, le couple cherchait à démontrer que les gens sont intrinsèquement bons.
« Vous lisez les journaux et vous en venez à croire que le monde est un grand endroit très dangereux. Les gens, dit ce discours, ne doivent pas être crus. Les gens sont mauvais. Les gens sont maléfiques. Je n’y crois pas. Le mal est un concept imaginaire que nous avons inventé pour faire face à la complexité de nos compagnons les hommes qui ont des valeurs, croyances et perspectives différentes des notres. De très loin, les humains sont gentils. Parfois égoïstes, myopes, mais gentils. Généreux, merveilleux et gentils. »
Voilà ce qui se passe quand on adhère au pacifisme millénariste des gauchistes occidentaux : on se fait anéantir par la nature.
La vision du monde des gauchistes est très simple à articuler : c’est un impérialisme blanc en négatif. Vous avez des Blancs se croyant au centre du monde qui pensent détenir, par leur expiation éternelle, la solution aux problèmes des peuples de couleur dont ils recherchent désespérément l’attention et, pire encore, l’admiration.
A défaut de les dominer par la force, ils tentent désormais de les subjuguer par la séduction en excitant la tendance sadique de ces peuplades barbares.
Psychologiquement zombifiés par la culpabilisation juive, les Blancs sous domination judéo-démocratique tentent de séduire les sauvages non plus par la coercition mais en s’offrant en exutoire à leur haine.
C’est cette perversion psychologique qui explique pourquoi la haine antiblanche est un pilier du judéo-démocratisme occidental.
La démocratie : pépinière de psychopathes sémitisés
Ce jeu pervers attire naturellement son lot de suicidaires, d’éléments antisociaux et de pervers narcissiques.
Ces deux ahuris américains en étaient venus à croire que la bulle iréniste dans laquelle ils évoluaient aux USA était la norme mondiale. Leur unique problème dans la vie consistait à trouver un moyen de tromper l’ennui et de combler leur vide existentiel en se coupant de leur groupe d’appartenance pour mieux le snober en se faisant les avocats des masses de couleur.
Si ces sociopathes avaient voulu agir différemment, ils n’auraient pas passer leur temps à encourager leurs connaissances en Amérique à se haïr en répandant leur apologie des basanés sur les réseaux sociaux durant leur voyage.
Musulmans victimes d’islamophobie
A chaque fois que vous trouvez un de ces activistes cosmopolites, vous pouvez être sûr qu’il s’agit d’un malade mental qui n’a jamais su se rendre utile à son peuple. Il préfère alors détruire sa société d’appartenance plutôt que d’admettre qu’il est le seul responsable de ses échecs.
Cette église marxiste sous commandement juif fonctionne selon un principe immuable : ces parasites ne pouvant rien bâtir par eux-mêmes, ils sont contraints de se nourrir du travail des forts. Pour édifier leur pouvoir, ils dominent les éléments puissants et productifs par la subversion mentale avant de se constituer en caste cléricale omnipotente et tyrannique.
C’est là que ces fous trouvent dans la haine des basanés l’instrument de leur domination vengeresse. Cette volonté de revanche aveugle sur fond de sociopathie aggravée est typiquement de facture sémitique. La trame même du marxisme.
L’organisme social est alors entraîné dans une spirale de déchéance morale, sociale puis raciale que seul un mouvement d’ordre peut enrayer.
Le monde est régi par la loi des plus forts
Ce que ces gauchistes n’ont pas compris, c’est que le monde, en dehors des remparts des démocraties occidentales, repose sur des fondements en radicale opposition avec leur existence.
La victoire du plus fort.
Sur cette terre, la guerre est une réalité totale et permanente. Elle n’implique pas uniquement des états ou des armées : la confrontation pour la survie et l’expansion est l’unique paradigme.
Ceux qui deviennent trop faibles pour continuer de lutter sont éliminés.
Le problème que représente le marxisme démocratique d’essence juive est qu’il nourrit les pulsions destructrices au sein des peuples qu’il infecte tandis qu’il persécute toutes les manifestations de bonne santé et de conservation. Mais un tel système, dysgénique par essence, ne dispose d’aucune stabilité interne : il repose sur la guerre civile, la haine et l’exploitation des éléments de valeur.
C’est l’idée juive fanatique et apocalyptique de « la lutte des classes ».