Captain Harlock
Démocratie Participative
02 juillet 2018
Apparemment, le gouvernement français a enfin décidé d’agir contre le torrent de boue du tiers-monde qui nous inonde.
La préfecture des Pyrénées-Orientales met en avant l’absence de rentabilité de l’exploitation de Rié et Hirofumi Shoji. A Banyuls-sur-Mer, le couple japonais produit pourtant un vin rouge « nature » d’exception.
Le 6 septembre prochain, les magistrats du tribunal administratif de Montpellier (Hérault) vont avoir à décider s’il convient d’expulser du territoire national Rié et Hirofumi Shoji, un couple de vignerons japonais trentenaires de Banyuls-sur-Mer (Pyrénées-Orientales), arrivé en France en 2011.
Dans un dossier ahurissant, c’est ce que réclame la préfecture des Pyrénées-Orientales depuis avril dernier. Et c’est ce qu’elle soutient encore aujourd’hui dans un mémoire remis ce jeudi à Me Jean Codognès, l’avocat des deux vignerons.
Depuis ces derniers jours, Rié et Hirofumi Shoji vivent apeurés, stressés dans la perspective d’avoir à quitter ce qu’ils ont construit sur les hauteurs de Collioure avec patience, détermination et talent : des parcelles sur 3,5 ha pour donner Pedres Blanques, un vin rouge « nature » d’exception, star du dernier salon Indigènes et désormais référencé chez El Celler de Can Roca, à Gérone, en Catalogne (Espagne), plus grand restaurant du monde en 2016.
« Pour demander à ces deux travailleurs de la terre de quitter la France, la préfecture met en avant l’absence de rentabilité de leur entreprise. Les experts de l’administration estiment que leur exploitation n’est pas viable, qu’ils n’auront pas les moyens de subsister alors que le prix de leurs bouteilles s’envole. Alors qu’ils sont à jour de toutes leurs cotisations et versements.
Alors qu’ils ont investi 100 000 € sur leurs deniers personnels et empruntés 50 000 € à la banque. Dans ce dossier on marche sur la tête ! » s’exclame Maître Jean Codognès qui a réclamé, en vain, une médiation. Et qui espère que le bon sens et la pertinence soient à nouveau invités à la relecture des documents.
S’ils sont à jour de cotisations, c’est précisément que c’est suspect.
Ces sales Japonais étaient venus investir en France et pensaient pouvoir s’en sortir sans que le gouvernement ne réagisse. Mal leur en a pris. La loi de la République est la même pour tous.
Ces histoires de vin dans des grands restaurants ou d’exportation internationale ne trompent pas l’oeil averti.
Ces 150,000 euros d’investissements devraient rapidement renflouer les caisses d’un Trésor Public particulièrement sollicité en ce moment pour venir en aide aux réfugiés.
Je regrette, hélas, que ces deux immigrés n’aient pas été internés pendant quelques mois pour leur insolence.
C’est quand même extraordinaire : ces Japonais pensaient pouvoir piquer le pain de la bouche de nos nègres, de nos djihadistes et de nos violeurs algériens en toute impunité.
Comme ça.
Heureusement que nos experts et préfets sont vigilants.
C’est dans ce genre de situation que l’on voit tout l’avantage qu’il y a d’avoir une bureaucratie communiste.
Les préfectures savent distinguer les parasites capitalistes qui s’infiltrent pour ruiner l’image de la France, notamment en essayant de développer une entreprise internationalement, des authentiques réfugiés, persécutés parce qu’ils sont musulmans.
Enfin un peu de rigueur, ce n’était pas tellement demander.
D’autant que nos nègres font d’excellents artisans et vignerons.