18,50 euros la place : Pathé introduit le tarif sans métèques dans son cinéma du 6e arrondissement

La rédaction
Démocratie Participative
14 décembre 2022

Sympa, non ? C’est normal, c’est blanc.

Ce n’est pas parce que les bobos vous noient de migrants en faisant des dons à SOS Méditerranée, qu’ils sont obligés de vivre avec.

BFMTV :

Premier exploitant de salles obscures en France, Pathé a annoncé ce lundi la réouverture en mode « entièrement premium » de l’un de ses complexes parisiens, avec un plein tarif fixé au niveau record de 18,50 euros.

Totalement rénové, l’ancien Gaumont Parnasse, rebaptisé Pathé Parnasse et situé entre le Luxembourg et la gare Montparnasse, rouvrira ses 12 salles mercredi et « sera le premier cinéma parisien entièrement premium », a expliqué à l’AFP le président de la branche cinémas du groupe, Aurélien Bosc.

Il disposera « de fauteuils totalement inclinables, plus larges qu’à l’accoutumée et développés spécialement pour ce cinéma, avec deux mètres entre chaque rangée, une projection intégralement laser (soit) une expérience technique et un confort assez exceptionnels à Paris », a-t-il poursuivi.

La capacité du cinéma « est fortement réduite à environ 800 fauteuils (contre 2.000 auparavant), une rangée de fauteuils sur deux a été supprimée » pour améliorer le confort.

Les prix seront « adaptés à ce nouveau standard de confort, un peu plus cher que nos cinémas classiques », a-t-il ajouté. En pratique, le plein tarif culminera à 18,50 euros, 12,50 euros le matin, 13,50 euros pour les étudiants et 7,50 euros pour les moins de 14 ans.

Miser sur « l’expérience cinéma » et le haut de gamme, ou contenir les prix pour rester la sortie culturelle la plus accessible? Le débat est vif ces derniers mois dans l’industrie, qui cherche la solution pour renouer avec le public.

La réouverture du Parnasse traduit la stratégie choisie par Jérôme Seydoux, le patron du groupe Pathé, d’une « montée en gamme et d’une modernisation » de ses salles, pour « créer la différence » et inciter les spectateurs à sortir à nouveau au cinéma.

Le plein tarif ne traduit que partiellement le prix du cinéma. Selon le centre national de la cinématographie (CNC), le prix moyen d’une place (recette moyenne TTC par entrée des longs-métrages) s’est élevé à 7,09 euros en 2021. Deux tiers des spectateurs de cinéma payent un tarif réduit, selon la Fédération nationale des exploitants de salles (FNCF).

Il y a un malentendu ici.

Le confort, c’est d’avoir l’opportunité de payer 18,50 euros pour voir un film durant deux heures. Autrement dit, d’avoir le choix de ne pas subir les singes hurleurs d’Afrique pendant le temps d’un film.

C’est ça, le confort offert par Pathé.

Il y a aussi le fait d’éviter que sa nana se fasse peloter par un macaque agressif ou de ne pas prendre un demi verre de soda sur le pantalon parce qu’une bande d’hominidés a soudain décidé de se battre.

L’histoire des sièges, c’est simplement un nom de code.

Que voulez-vous, il faut bien filtrer et les bobos n’ont aucunement l’intention de partager la richesse culturelle importée de ce continent extraordinaire qu’est l’Afrique quand ils vont visionner le dernier drame social d’une garce juive sur le thème du racisme et de la xénophobie.

Les bobos sont des idéalistes.

Ils séparent bien les idées de la réalité.

Ce qui importe, pour un bobo, c’est de vivre dans une matrice mentale égalitaire avec plein de petits poneys multicolores dedans et écarter soigneusement toute rupture spatio-temporelle qui pourrait faire s’effondrer cette matrice sur elle-même. Le réel, en somme.

Donc, à Pathé Parnasse, ce sera 18,50 euros en mode full premium. La salle sera propre, il y aura de la place, une bonne ambiance, bien white, une vraie bulle progressiste libre de toute interférence extérieure.

Il y a un mode étudiant à 13,50, donc il y aura quand même des fils de dictateurs africains de la Sorbonne qui parviendront à se glisser dans les salles obscures pour toucher le cul des Blanches.

Que voulez-vous, le risque zéro n’existe pas.

C’est tout de même une belle montée en gamme séparatiste, à condition d’être suffisamment pourvu. J’imagine de toute façon qu’il faut vivre rive gauche ou pratiquement pour y aller, donc le problème se solde de lui-même.

Les perdants populistes, quant à eux, devront se contenter de leur duplex diversifié. C’est bien fait pour leurs gueules, à ces bas du front fascistes.

Dans l’absolu, personne ne va plus vraiment au cinéma. Précisément parce qu’on y trouve que des nanards juifs, que c’est affreusement cher et qu’il y a des Arabes partout.

Grosso modo, au nord de la Seine, même si la France entière ressemble de plus en plus au nord de la Seine.

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