Captain Harlock
Démocratie Participative
23 octobre 2018
« Ne t’inquiète pas sale Blanc, ça ne fait pas mal »
Alain Policar, « politologue », nous explique dans les colonnes du journal juif « Libération » pourquoi le racisme antiblanc est une invention nazie qui n’a aucune espèce de réalité.
Dans un ouvrage qui vient de paraître, Le racisme est un problème de Blancs (Autrement), Reni Eddo-Lodge évoque «les ravages imaginaires du racisme anti-Blancs». A-t-elle raison de considérer que, dans les démocraties libérales contemporaines, le concept de «racisme anti-Blancs» est mal fondé ? Que subissent réellement les Blancs en tant que «Blancs» ?
De nouvelles catégories, telles que «blanchité» ou «blanchitude», soulignent l’apparition d’un nouveau groupe, «les Blancs», qui auparavant n’était pas reconnu et d’ailleurs ne se reconnaissait pas comme tel. Cette reconnaissance implique la possibilité d’être sujet aux agressions des autres groupes ethniques ou ethnicisés. Or, même si ces nouvelles catégories ont trouvé, au carrefour des études de genre et des cultural studies, une certaine légitimité dans l’antiracisme militant, elles contribuent à décrire le monde en termes de «races» distinctes, et, corrélativement, à rompre avec l’humanisme universaliste, lequel serait celui, dévalorisé, de la gauche «blanche».
Ces différences, autorisent-elles à nier la réalité du racisme anti-Blancs ? La question décisive est de savoir si actes racistes et racisme se superposent. Répondre implique une définition scientifiquement consistante du racisme.
Mais peut-on faire entrer le supposé racisme anti-Blancs dans ce cadre conceptuel ? Le rejet et l’exclusion que peuvent subir les Blancs relèvent, pour l’essentiel, des émotions, de la colère, du ressentiment. Les insultes, voire les violences, dont ils peuvent être victimes sont-elles équivalentes aux discriminations à l’embauche ou au logement, lesquelles sont le reflet de pratiques structurelles concrètes ? Les insultes et les préjugés que des non-Blancs peuvent avoir envers des Blancs sont, certes, dommageables et peuvent considérablement blesser, mais ils ne sont pas historiquement chargés et, surtout, ne viennent pas en complément d’un traitement social défavorable envers les Blancs parce qu’ils sont blancs. Les actes «anti-Blancs» ne correspondent pas à une idéologie essentialisante qui pourrait la relier à un véritable racisme. Reni Eddo-Lodge a donc parfaitement raison d’insister sur la notion de racisme structurel, racisme dont la population majoritaire ne peut être victime.
Le concept de racisme anti-Blancs n’a donc guère de sens dans une société où les Blancs ne subissent pas un racisme institutionnalisé et une discrimination sociale à dimension historique.
Je suis heureux que Policar le rappelle : il n’y a pas d’idéologie qui désigne les Blancs comme un groupe ayant vocation a été être détruit en Europe ou en Amérique.
Il n’y a pas non plus de violences ciblant spécifiquement les Blancs.
Cela n’a aucune substance.
Personne ne parle jamais des « Blancs » comme groupe ni ne les ciblent pour cela.
Sûrement pas les immigrés que les juifs ont fait venir par millions en Europe.
En fait, personne ne cible jamais les Blancs.
Vous connaissez, vous, un pays où les Blancs sont ciblés ?
Alain Policar est un chercheur sérieux qui se focalise sur les sujets qui comptent.
Les vrais sujets.
Si on tolère que des Blancs parlent de racisme antiblanc, les Blancs en général finiront par croire que, peut-être, ils ne sont plus vraiment les propriétaires ni les donneurs d’ordre dans leurs propres pays, qu’une autre population en a pris le contrôle.
Evidemment, ces Blancs se mettraient à chercher qui.
Policar semble d’ailleurs avoir une idée assez arrêtée sur la question puisqu’il est un prêtre revendiqué de l’unification mondiale sous direction juive. Une fois la race blanche abattue.
Ce qu’il appelle « le sens du cosmopolitisme ».
Le sens du cosmopolitisme se situe dans la direction de Jérusalem.