Captain Harlock
Démocratie Participative
31 décembre 2018
Gossuin était assez belle il y a deux décennies. Mais maintenant elle a vraiment l’air d’une pré-retraité surmaquillée.
Apparemment, elle le vit mal.
Elodie Gossuin déteste Donald Trump et elle ne s’en cache pas. Dans une interview accordée à nos confrères de PureMédias, celle qui anime chaque jeudi Familles Extraordinaires sur 6ter dézingue le président américain.
En effet. Elle s’expose en dépit des risques.
Interrogée sur ce qui aura été à son sens « le mensonge médiatique de l’année », Elodie Gossuin flingue Donald Trump, « le roi des fake news qui ose décerner des trophées fake news aux journalistes ». Elle lui reproche ses « tweets toutes touches emmêlées », comme quand il avait partagé « la publication d’un conservateur affirmant que nos Gilets jaunes avaient scandé ‘Nous voulons Trump’ dans les rues de Paris ». Mais aussi « sa confusion entre l’Irak et la Syrie sans savoir sur quel pays il a envoyé des missiles ».
Je ne sais pas pourquoi on donne le micro à des poufs décolorées qui étaient connues il y a 20 ans pour faire de l’analyse géopolitique.
En revanche, je sais pourquoi sa haine pour Trump est intacte depuis deux décennies.
L’ancienne conseillère régionale de Picardie n’en revient pas non plus de voir « un président qui s’inquiète pour sa mèche de cheveux alors qu’une fusillade vient d’avoir lieu dans une synagogue à Pittsburgh« . Mais Elodie Gossuin a une autre raison de ne pas saquer Donald Trump. Une raison qui remonte à son règne de Miss France.
En 2001, Elodie Gossuin, Miss France en titre, représentait l’Hexagone au concours de Miss Univers, qui était alors organisé par Donald Trump. Elle avait fini dans le Top 10, un exploit au vu des rumeurs dont elle avait fait l’objet : son appartenance à la gent féminine avait en effet été mise en doute dans des tabloïds et sur Internet !
Cette rumeur, Elodie Gossuin l’attribue à Donald Trump. Lors du dîner de gala, il s’était réjoui auprès d’elle de ce « très bon buzz » autour du concours Miss Univers, avait-elle confié il y a deux ans au Buzz TV. Et elle n’est pas prête à lui pardonner, comme elle le précise dans l’interview postée ce samedi sur le site de PureMédias : « Il me disait transsexuelle, donc de base je le hais ! »
HO HO !
Visiblement, la travelophobie n’est pas encore assez criminalisée pour que Gossuin trouve cela offensant.
En tout cas, le niveau d’analyse d’une femme est assez bien illustré.
En gros, elles aiment quelque chose ou quelqu’un si cela leur permet d’attirer l’attention des mâles et d’exciter la jalousie des autres femmes.
Ce qui est bien évidemment encore plus vrai pour celles qui bâtissent leur carrière sur leur physique.