Captain Harlock
Démocratie Participative
02 mai 2021
Bonne nouvelle !
La guerre civile est gagnée. Il suffit de faire des super Français avec Mohammed et Mamadou et tout va rentrer dans l’ordre.
« Pour une stratégie globale contre l’islamisme et l’éclatement de la France » : ce document a été adressé le 14 avril à l’ensemble des groupes parlementaires. Un travail « responsable et impartial », souligne l’un des rédacteurs, sans rapport, selon lui, avec la lettre ouverte controversée des généraux à l’hebdomadaire Valeurs Actuelles mais qui fait pourtant le même constat : « Une guerre hybride nous a été déclarée, elle est multiforme et s’achèvera au mieux sur une guerre civile, ou au pire sur une cruelle défaite sans lendemain. »
Les seize signataires appartiennent au Cercle de Réflexion Interarmées (CRI), héritier d’un précédent groupe baptisé les Sentinelles de l’Agora, qui produit régulièrement des études sur les questions de défense peu ou pas médiatisées. Ils sont généraux pour la plupart et l’un d’entre eux, Henri Roure se targue sur son profil LinkedIn d’avoir été le 1er adjoint du maire de Prades, Jean Castex.
Seuls deux des contributeurs, des cadres de réserve de l’armée, figurent parmi les signataires de la tribune envoyée à Valeurs Actuelles. Pas d’appel subversif dans le document de 21 pages du CRI mais plutôt un plan de bataille à « stratégie multidimensionnelle » contre l’islamisme, l’immigration, la binationalité et la perte de repères dans la jeunesse. »
« Une guerre hybride a commencé contre l’Europe et la France, énonce le texte, il faut forger les armes psychologiques, sociologiques, morales, éducatives, juridiques et pénales pour la conduire et la gagner ». Sans préciser avec qui à la tête du pays.
Le document de 21 pages est disponible en intégralité ici.
Ces officiers proposent ici et là quelques mesures de simple bon sens mais la philosophie fondamentale de ce document est totalement obsolète. Il propose une timide modération des abstractions issues de 1789 et continue de patauger dans un républicanisme incantatoire.
Le signe le plus sûr de cet état d’esprit démocratique est que ces officiers ont adressé ce document aux parlementaires, le ramassis d’incompétents et de hyènes qui prospère sur le désastre et qui n’a par ailleurs aucun mot à dire en matière de défense, les décisions étant prises à l’Elysée.
Sur le fond, la plupart des paragraphes sont infectés de rousseauisme incapacitant. Le thème de l’assimilation des millions d’allogènes afro-musulmans qui submergent le pays revient encore et encore.
Il est par exemple question d’abolir « la double nationalité », c’est-à-dire de contraindre un allogène à abandonner la nationalité de son état d’origine. Quel intérêt pratique ? L’allogène l’abandonnera du bout des lèvres dans une préfecture tandis que son pays continuera de le considérer comme un ressortissant, tout comme lui-même. C’est poser le problème à l’envers : l’acquisition de la nationalité devrait être impossible, tout simplement. Cette question n’a de toute façon plus aucun intérêt. Elle pouvait encore en avoir dans les années 70. Aujourd’hui, avec 15 ou 16 millions d’allogènes à papiers français sur le territoire, le concept même de « nationalité française » a cessé d’exister dans les faits.
C’est tout le problème du texte : intellectuellement, il ne se libère pas du carcan de l’état-nation hérité de la Révolution. Or, pour disposer d’un état-nation, il faut encore avoir une nation. La France multiraciale de 2021 ne remplit pas ce critère d’homogénéité indispensable. Il y a bien un état en France, mais c’est un état post-national et multiracial dont le cœur historique, les Français de souche, s’effondre démographiquement à vitesse accélérée sous l’effet d’une série de lois et de mesures conçues à cet effet.
Comme le dit très justement Rokhaya Diallo quand on lui demande de s’assimiler, « s’assimiler à quoi ? ».
D’ici à 2030, il y aura plus de 20 millions de retraités et 20 millions de non-Blancs en France. Les 30 millions d’autochtones restants ne pourront pas « assimiler » des peuplades représentant l’équivalent de 70% de leur propre nombre qui ne voulaient déjà pas s’assimiler il y a un demi-siècle lorsque les extra-Européens étaient 3 millions.
Les allogènes ont atteint une masse telle que cette discussion de Boomers est devenue autistique.
Sans parler de la pollution du sang mortifère qu’un tel abâtardissement entraînerait.
L’autre point, c’est qu’il est principalement question d’islam et de musulmans dans le document. Les nègres animistes ou chrétiens sont absents de l’équation, y compris ceux qui incendient les cathédrales comme à Nantes.
C’est un angle mort récurrent que nous devons tant aux catholiques qu’aux laïcards. Les catholiques par peur de la concurrence religieuse, les laïcards par détestation de toute forme de religion. Dans les deux cas, le grigri religieux masque la véritable dimension du problème : la submersion raciale.
Inutile de dire que le mot à quatre lettres n’y figure pas davantage.
Il est ensuite question de mobiliser un machin bureaucratique aux mains de Bernard-Henri Lévy : le « SG-CIPDR ».
Faire un tour sur le compte Twitter de ce bidule antiraciste suffit à comprendre le sketch.
Croisade annulée
Il y a encore toute une série d’absurdités inopérantes du même acabit qui sont présentées comme des « solutions » à l’invasion. Notamment de « faire nation » avec le tiers-monde en donnant des cours de maintien aux afro-maghrébins qui nous assassinent.
Un exemple :
Ce contrat universel moral consiste aussi tout simplement pour chaque citoyen à assumer ses responsabilités dans l’éducation de ses enfants ; à s’impliquer, comme adulte et cadre de tout niveau, dans l’éducation au comportement civique quotidien des jeunes à l’école, sur les lieux de travail, de loisir, et dans chaque geste de la vie courante.
Ces types ne vivent visiblement pas dans une barre HLM avec le Sahel et le Maghreb.
Vive la Nation !
Il y a aussi des perles.
Celle-ci est exceptionnelle : « L’immigration est une respiration normale dans un état démocratique ».
Plutôt que de tirer les conclusions de cette formule prise littéralement, à savoir de foutre la démocratie en l’air, ils surenchérissent dans la quadrature du cercle : « La maîtrise de l’immigration doit comporter une évaluation des besoins et des capacités d’accueil, un dialogue sélectif avec les potentiels migrants, une politique d’assimilation au pays d’accueil ».
Ces gens pensent en termes de stock et non de flux. C’est la marque de la pensée réactionnaire : refaire, dans des conditions autrement plus défavorables, ce qui n’a pas marché pendant 50 ans.
Ces officiers ne sont même pas parvenus à comprendre le concept de race. Encore moins d’en parler.
La seule formule censée, est la suivante :
Une guerre hybride nous a été déclarée, elle est multiforme et s’achèvera au mieux sur une guerre civile au pire sur une cruelle défaite sans lendemain.
Mais aussitôt, l’infection républicaine reprend le dessus :
Car, face à l’islamisme, la France et son concept de laïcité est le dernier bastion d’un monde occidental égaré sur les voies incertaines de l’abandon et de la désintégration.
Ces gens n’ont visiblement pas remarqué que la moitié orientale de l’Europe, totalement étrangère au laïcardisme des loges maçonniques du Grand Orient, n’a aucun problème d’islamisme. Essentiellement parce qu’elle ne laisse pas les sous-hommes du tiers-monde poser le pied chez elle. Grâce au racisme culturel. Le nationalisme génétique est une arme autrement plus puissante que la phraséologie laïcarde ou le bavardage démocratique.
Si la France est le dernier bastion de quelque chose, c’est de l’Afrique en Europe. Cela devrait, au minimum, porter à l’humilité.
La seule chose censée qui transpire de ce papier est bien l’inévitable désintégration de la France sur le modèle yougoslave.
C’est quand même fascinant. Embourbés jusqu’au cou dans le merdier françafricain, ces généraux ne voient toujours pas l’essentiel.
L’impossibilité récurrente des Français à penser la réalité de peur d’abandonner le totem mensonger de l’égalité m’amène à dire que la société française ne peut plus enrayer la libanisation raciale complète du pays. Que ça plaise ou non, l’éclatement est inévitable. Et souhaitable. Il n’y a aucune raison légitime pour accepter une coexistence imposée par la clique dirigeante avec des hordes de sauvages venues d’Afrique ou d’Orient.
Personne n’est obligé de vivre avec des nègres ou des islamistes.
La minorité blanche encore lucide doit se prémunir en organisant sa propre sécession de cet ensemble mulâtre dont la haine de la race blanche est l’unique ciment. Ramer pour maintenir la Cinquième Putain debout est voué à l’échec. Le patriotisme couscous pinard est une impasse sanglante.