Les juifs préparent de nouveaux plans d’agression contre la Turquie et l’Iran

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 avril 2018

Le plan juif visant à soutenir les communistes kurdes n’est pas du goût du kebab suprême d’Ankara.

Sputnik News :

Les États-Unis qui soutiennent les Unités de protection du peuple kurdes (YPG) représentent l’une des principales menaces pour la Turquie, a déclaré le Président turc. Il a également rappelé le refus de Washington d’extrader Fethullah Gulen, accusé d’être à l’origine de coup d’État avorté de juillet 2016.

Les menaces pour la Turquie sont représentées en premier lieu par ses partenaires stratégiques, a déclaré le Président turc Recep Tayyip Erdogan dans une interview pour la chaîne de télévision turque NTV, en sous-entendant que les États-Unis accordaient leur soutien aux Unités de protection du peuple kurdes (YPG) qu’Ankara considère comme «terroristes».

«D’où vient la menace? En premier lieu, elle émane de nos partenaires stratégiques […] Malheureusement, les États-Unis et la coalition transmettent à titre gratuit des armes et des munitions aux organisations terroristes», a-t-il déploré.

Le Président turc a ajouté que les États-Unis avaient envoyé cinq mille camions avec des armes au nord de la Syrie, ce qui représente une menace directe pour la Turquie.

Erdogan déclare maintenant que les USA et l’Otan représentent « les menaces principales » pour son empire djihadiste.

Autant dire que ce ne sont pas des paroles en l’air.

Erdogan doit déjà avoir un nombre incalculable d’islamistes prêts à se faire exploser en Europe en représailles de ce soutien aux Kurdes. Sans parler du torrent de migrants qu’il peut lâcher à tout moment sur la Grèce.

Et si ce chiffre de 5,000 camions est authentique, cela représente des quantités absolument énormes d’armements et de munitions. Si les juifs fournissent effectivement des armes à ces Kurdes dans de telles proportions, vous pouvez être certains qu’une partie importante est directement envoyée en Turquie pour armer le PKK.

Le problème, c’est que ce plan est essentiellement un plan juif mais que ce sont bien sûr les civils européens qui vont en payer le prix.

La seule option raisonnable pour nous, c’est que nous en finissions avec les gouvernements occidentaux au service des juifs qui nous entraînent dans ces guerres perpétuelles au Moyen-Orient.

En dernière instance, pour les juifs, l’objectif est clair : détruire l’Iran en s’emparant de la Syrie et en abattant tous ceux qui, à un degré ou à un autre, s’opposent à cet objectif.

Parallèlement, le gouvernement d’occupation juif en France est de plus en plus fragilisé. Il en est désormais réduit à attaquer tous azimuts : musulmans manquant d’amour pour Israël, gauchistes antisionistes, nationalistes rétifs à la négrification de l’Europe.

Bref, tous ceux qui ne sont pas aux ordres des juifs sont désormais inscrits sur la liste noire. Les cris d’alarme des juifs saturent tous les médias en leur possession.

The Times of Israel :

Trois cents personnalités ont signé un manifeste « contre le nouvel antisémitisme » en France, rédigé par Philippe Val (ancien rédacteur en chef de Charlie Hebdo) marqué par la « radicalisation islamiste », en dénonçant un « silence médiatique » et une « épuration ethnique à bas bruit » dans certains quartiers, dans le quotidien Le Parisien Dimanche.

« Nous demandons que la lutte contre cette faillite démocratique qu’est l’antisémitisme devienne cause nationale avant qu’il ne soit trop tard. Avant que la France ne soit plus la France », lit-on dans ce texte signé par des personnalités politiques de droite comme de gauche (l’ancien président de droite Nicolas Sarkozy, le chef de la droite Laurent Wauquiez, l’ex-Premier ministre socialiste Manuel Valls, l’ancien maire socialiste de Paris Bertrand Delanoë…), des artistes (le chanteur Charles Aznavour, l’acteur Gérard Depardieu…), des intellectuels, des responsables religieux juifs, musulmans et catholiques.

« Dix pour cent des citoyens juifs d’Ile de France – c’est-à-dire environ 50.000 personnes – ont récemment été contraints de déménager parce qu’ils n’étaient plus en sécurité dans certaines cités et parce que leurs enfants ne pouvaient plus fréquenter l’école de la République. Il s’agit d’une épuration ethnique à bas bruit au pays d’Emile Zola et de Clémenceau », accusent les signataires.

La « terreur » d’un antisémitisme meurtrier « se répand provocant à la fois la condamnation populaire et un silence médiatique que la récente marche blanche a contribué à rompre », estiment-ils.

Le manifeste relève que « la radicalisation islamiste – et l’antisémitisme qu’elle véhicule – est considérée exclusivement par une partie des élites françaises comme l’expression d’une révolte sociale ».

« La bassesse électorale calcule que le vote musulman est dix fois supérieur au vote juif », accusent les signataires.

En outre, « au vieil antisémitisme de l’extrême droite s’ajoute l’antisémitisme d’une partie de la gauche radicale qui a trouvé dans l’antisionisme l’alibi pour transformer les bourreaux des juifs en victimes de la société », assène le texte.

Ciblant principalement ce « nouvel antisémitisme » qui sévit dans les quartiers populaires sous l’effet d’un islam identitaire voire radical, les signataires demandant « que les versets du Coran appelant au meurtre et au châtiment des juifs, des chrétiens et des incroyants soient frappés de caducité par les autorités théologiques, comme le furent les incohérences de la Bible et l’antisémitisme catholique aboli par (le concile) Vatican II, afin qu’aucun croyant ne puisse s’appuyer sur un texte sacré pour commettre un crime ».

Face à cette situation, le gouvernement a présenté en mars un deuxième plan (2018-2020) contre le racisme et l’antisémitisme, en promettant une lutte implacable contre les « torrents de boue » qui se déversent sur internet.

Notez qu’à aucun moment il n’est question de stopper l’immigration musulmane : il s’agit de s’assurer que l’islam soit judaïsé de telle sorte qu’il offre toutes les garanties au pouvoir juif.

Cette histoire de coran en témoigne : ils veulent à tout prix maintenir l’islam en France.

Fondamentalement, ces millions de musulmans et de nègres représentent l’assurance-vie de la juiverie. Mais cela suppose une stricte obéissance de leur part. Si ces musulmans commencent à avoir les yeux plus gros que le ventre et à s’émanciper du régime juif pour leur propre compte, les juifs sont prêts à réagir.

C’est ce qu’ils font.

La situation est si grave pour ces juifs qu’ils en arrivent à une unique conclusion : il faut détruire l’opposition pendant qu’il en est encore temps, partout où elle se trouve.

Le pire scénario pour ces juifs serait que les Blancs se révoltent face à l’invasion et à leur régime.

Le front juif est global, ce que peu de gens de nos milieux comprennent réellement. Les juifs ont ouvert un front contre l’Iran, en ouvre un second contre la Turquie et sont activement à l’offensive en France et, plus largement, au niveau de l’Union Européenne.

Pour eux, la Troisième Guerre Mondiale est déjà une réalité. Ils avancent leurs pions en conséquence.