Syrie : Poutine avertit solennellement les juifs

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
15 avril 2018

Poutine a finalement réagi, près de 48 heures après les faits, à l’offensive juive contre la Syrie de vendredi.

Je tiens à rappeler, en premier lieu, que le sujet n’est pas la Russie en tant que telle, ni Poutine ou quoique ce soit de ce genre.

Il s’agit de la Syrie que les juifs veulent désespérément transformer en chaudron djihadiste, avec tout le Moyen-Orient, avec si possible, la liquidation des Chrétiens au passage.

Pas besoin d’en dire beaucoup plus.

Les cas de juifs saignant à mort des enfants chrétiens est très largement documenté depuis des siècles, y compris par un historien juif qui a du le payer au prix fort.

N’oubliez jamais : les juifs sont toujours coupables, surtout lorsqu’ils clament leur innocence.

Le président russe en a donc soupé de la haine juive, des projets juifs de guerre mondiale.

Sputnik News :

Le 14 avril, les États-Unis soutenus par leurs alliés ont frappé des sites militaires ainsi que ceux de l’infrastructure civile de la République arabe syrienne. Sans l’aval du Conseil de sécurité de l’Onu, en violation de la Charte de l’Onu, des normes et des principes du droit international, un acte d’agression a été commis à l’encontre d’un État souverain qui se tient à l’avant-garde de la lutte antiterroriste.

À nouveau, tout comme il y a un an, lorsque les États-Unis ont attaqué la base aérienne de Shayrat, en tant que prétexte a été utilisée une mise en scène d’usage de substances toxiques contre les civils, cette fois à Douma, banlieue de Damas. Après avoir visité le lieu de l’incident fictif, les experts militaires russes n’ont pas découvert de trace d’utilisation de chlore ou de toute autre substance toxique. Pas un seul habitant n’a confirmé le fait de l’attaque chimique.

Notez bien : Poutine affirme que c’est un mensonge, un false flag.

N’allez pas croire que c’est une accusation coutumière. En diplomatie, surtout entre grandes puissances, ce genre d’affirmations est utilisé avec la plus grande parcimonie, peu importe la situation. Tout simplement parce qu’un président russe ne dit pas tous les jours à un président américain, « tu as monté une attaque bidon au profit de ces crevards de djihadistes, tu mens, tu sais que tu mens, tu es la pire raclure que j’ai jamais vu ». Le jeu deviendrait vite lassant car tout le monde sait que les coups montés sont une des ficelles à disposition.

En temps normal, les choses sont plutôt du genre, « nous pensons que nos partenaires américains ont commis une erreur d’appréciation malheureuse, nous appelons à la plus grande retenue ».

Là non.

Donc quand Poutine sort ce truc, c’est que le sujet est très, très chaud.

C’est comme si Faurisson était à la tête de la Fédération de Russie, ni plus ni moins. « Vos chambres à gaz homicides sont, d’après nos investigations, totalement bidon. Et vous utilisez ce truc bidon pour nous attaquer. »

Mesurez bien la chose : c’est du Faurisson en direct live du Kremlin.

L’Organisation sur l’interdiction des armes chimiques a dépêché ses spécialistes en Syrie afin d’élucider la situation. Or, un groupe de pays occidentaux l’a méprisé de façon cynique en entreprenant une action militaire sans attendre les résultats de l’enquête.

La Russie condamne avec une extrême fermeté l’attaque contre la Syrie où des militaires russes aident le gouvernement légitime à combattre le terrorisme.

Par leurs actions, les États-Unis aggravent davantage la catastrophe humanitaire en Syrie, apportent des souffrances aux civils, laissent faire les terroristes qui déchirent depuis sept ans le peuple syrien, provoquent une nouvelle vague de réfugiés en provenance de ce pays et de la région en général.

L’escalade en cours autour de la Syrie produit des effets destructeurs sur l’ensemble du système des relations internationales. L’histoire remettra tout à sa place et elle a déjà attribué à Washington une lourde responsabilité pour avoir mis en œuvre sa justice sanglante en Yougoslavie, en Irak et en Libye.

Poutine dit que « l’histoire va tout remettre à sa place » sur ces mensonges de guerre juifs.

Et vous savez comment s’écrit l’histoire ?

Par les vainqueurs.

Les vainqueurs d’une guerre.

Le message est absolument limpide.

Bien évidemment, ce processus touchera inévitablement la Seconde Guerre Mondiale et l’Allemagne.

C’est la suite logique, mécanique. Une fois les bobards démontés sur ces pays là, vous arrivez à terme, fatalement, à la réhabilitation d’Adolf Hitler.

Poutine ne le fera s’il peut l’éviter, en raison de l’histoire officielle soviétique et du capital moral accumulé sur les juifs qu’elle offre.

Mais si cela tourne vraiment pour le pire, il est tout à fait capable de lâcher cette bombe : « Oh, Schlomo, Angela, nous avons fouillé dans les archives soviétiques, en fait Auschwitz était un simple camp de prisonnier ! Surprenant hein ? On a regardé deux fois pour être sûrs. Vous venez vérifier quand ? ».

En une minute, le gouvernement allemand s’écroule, l’Otan s’écroule. La juiverie s’écroule. Tout. Intégralement.

Mais c’est la balle d’argent que vous gardez pour la dernière extrémité.

L’extrémité d’une guerre nucléaire.

Hitler n’a pas agi différemment de Poutine : il a expliqué, encore et encore, comment la juiverie, assise sur le dos des Anglo-américains, fomentait ses guerres. Il a désespérément tenté d’expliquer ce dont il s’agissait. Pour témoigner de sa bonne foi.

Ces sales juifs.

Pour en revenir à Poutine, il n’a pas dit, « vous aidez les djihadistes ». Il a dit, « vous laissez faire ». Bien sûr, c’est un euphémisme et Poutine n’en croit rien. Mais il se ménage une dernière carte.

Comme Hitler, il épuise toutes les chances de paix, dans une démarche authentiquement chrétienne. Non pas pour les juifs, mais par acquis de conscience. Quand vous vous apprêtez à rentrer dans une guerre cataclysmique contre les juifs avec, à la clef, des millions de morts parmi les vôtres, c’est ce que vous faites quand vous êtes chrétien : vous ne voulez avoir aucun doute sur le fait que vous avez tout fait pour écarter la bête. Pour vous dire, « vraiment, en vérité et en justice, j’ai fait tout ce que je pouvais pour éviter la guerre, le blâme est sur eux ».

C’est une nécessité morale absolument indispensable.

Aucun chef plébiscité par son peuple ne se lève le matin en se disant, « je vais plonger mon peuple dans le chaos et la destruction ». Ce genre de mensonge est de facture typiquement hébraïque.

Les juifs ont du reculer après l’avertissement de Poutine, mais c’est vraiment la dernière chance.

Et ces juifs reviendront à l’attaque.

Poutine le sait.

La confrontation entre les juifs et leurs hordes et l’Europe se rapproche.