Capitaine Harlock
Démocratie Participative
15 avril 2018
Le Brésil, rongé par la vermine marxiste depuis des décennies, a retrouvé l’espoir grâce à un homme : le fasciste Bolsonaro.
Avec le porc communiste Lula en taule et la hyène rouge Dilma Roussef destituée, les marxistes ne savent plus comment faire pour conjurer leur effondrement complet.
Le parquet général du Brésil a annoncé samedi avoir inculpé, le veille, le député d’extrême droite et deuxième dans le sondages pour la présidentielle, Jair Bolsonaro, pour « racisme » à l’égard des communautés indigènes, des femmes et de la communauté LGBT.
Si le Tribunal suprême fédéral (STF) confirme cette inculpation et le condamne avant octobre, Jair Bolsonaro, 63 ans, deuxième dans les intentions de vote derrière l’ex-président Luiz Inacio Lula da Silva, incarcéré pour corruption, pourrait être empêché de se présenter.
La lenteur de la justice devrait jouer en sa faveur, estime le site internet JOTA spécialisé dans les questions judiciaires.
Bolsonaro risque « une peine de réclusion d’un à trois ans » et la procureure générale, Raquel Dodge, réclame « le paiement d’un minimum de 400.000 réais (117.500 dollars) pour dommages moraux collectifs », selon un communiqué du parquet.
Le candidat, grand nostalgique de la dictature militaire (1964-1985), s’est défendu en assurant qu’il s’agissait d' »attaques infondées ».
Le parquet appuie sa demande sur une conférence donnée au Club Hebraica de Rio de Janeiro, en avril 2017: face à un public de 300 personnes, il avait « utilisé des expressions de nature discriminatoire, incitant à la haine et affectant directement plusieurs groupes sociaux ».
Je suppose qu’il n’y avait pas que des amis au « club hebraica ».
La procureure reproduit plusieurs extraits de son discours, dans lequel il a parlé des descendants d’esclaves noirs « comme s’ils étaient des animaux », affirmant qu' »ils ne font rien et ne servent à rien, même pas à procréer ».
Le député aurait également déclaré : « Si je vois deux hommes en train de s’embrasser dans la rue, je vais les frapper ».
Les conseillers de M. Bolsonaro ont réagi dans un communiqué en jugeant « lamentable d’assister à des attaques infondées, dont l’objectif est de générer des informations sensationnalistes pour dénigrer l’image de celui qui, en fait, est le plus grand phénomène politique du Brésil ces dernières années ».
Le candidat « n’aura aucune difficulté à prouver dans la sphère judiciaire qu’il n’est pas raciste », affirment-ils.
Jair Bolsonaro avait été condamné en 2017 à indemniser la députée de gauche Maria do Rosario pour avoir dit trois ans plus tôt qu’elle ne méritait pas d’être violée car elle était « très laide ».Le scrutin présidentiel d’octobre s’annonce comme l’un des plus incertains de l’Histoire de Brésil, alors que le grand favori des sondages, Lula, est derrière les barreaux après avoir été condamné à 12 ans de prison pour corruption.
Il est probable que le héros fasciste n’ait rien dit de tel, non pas parce qu’il ne le pense pas, mais parce que ce serait utilisé contre lui pour l’empêcher de libérer le pays de la vermine négro-communiste.
Et ils le détestent à fond.
Nos lecteurs ne le savent peut-être pas, mais il y a un réel potentiel fasciste au Brésil. Y compris chez certains métis d’Amérindiens et de Portugais. Ceux-là sont vraiment vraiment assoiffés de sang communiste.
J’ai souvenir d’avoir discuté avec une fasciste brésilienne de ce genre, issue de la mouvance trotskiste radicale violente et qui avait finalement rejoint le camp fasciste.
Elle était stupéfaite de l’absence de résistance à l’invasion mahométane en Europe. Elle a passé une heure à me demander pourquoi les Européens baissaient les yeux devant tous ces nègres et ces arabes.
Elle voulait savoir pourquoi aucun génocide n’avait commencé sur le continent, lol.