Capitaine Harlock
Démocratie Participative
09 avril 2018
Voilà un type de réactions qui démontre que tout est possible : il suffit de le vouloir.
Pour ceux qui ne connaissent pas la situation, à Crest, dans la Drôme, une bande de camés anarchistes s’était emparée d’une maison dont elle avait fait sa « résidence principale ».
La propriétaire d’une villa située rue des frères Gamon à Crest (Drôme) a eu la mauvaise surprise de retrouver sa maison occupée par plusieurs individus de la mouvance libertaire.
Les squatteurs connaissaient très bien cette règle des deux jours puisqu’ils ont fait établir leur domicile sur place en se faisant envoyer du courrier à cette nouvelle adresse. Les squatteurs connaissaient très bien cette règle des deux jours puisqu’ils ont fait établir leur domicile sur place en se faisant envoyer du courrier à cette nouvelle adresse.
Sur le portillon de l’habitation qui venait de trouver acquéreur, ces derniers qui ont renommé les lieux « centre social culturel autogéré » mettent en garde qui voudrait entrer et ont placardé l’article ronflant du code civil (art 102) à l’appui : « Ce lieu est dorénavant notre domicile et notre résidence principale. »
Dans ce quartier cossu de la cité crestoise, les riverains très remontés ont rédigé une pétition pour exiger que les forces de l’ordre interviennent le plus rapidement possible pour déloger les squatteurs. En vain… […]
«On est manifestement face à des squatteurs qui occupent des locaux qui n’étaient pas occupés, précise le procureur de la république de Valence contacté par nos soins. Et dans ce cas précis, c’est la propriétaire de la maison qui doit prendre l’initiative d’une procédure d’urgence en référé pour demander leur expulsion».
«Mais cela peut durer des mois voire des années» lâche une source proche du dossier.
Parallèlement, la vermine anarchiste organisait un « carnaval » sans la moindre autorisation, faisant rameuter l’habituelle faune de déchets grouillant au sein de ces groupements antisociaux.
Mais des habitants étaient déjà sur le qui-vive.
Des individus ont affiché cette nuit des banderoles aux abords du quai de Verdun à Crest sur lesquelles on pouvait lire: « Anarchiste, not welcome » ou encore « anarchiste, soit tu sors, soit j’te sors ».
Un affichage qui fait sans aucun doute allusion à l’occupation d’une maison par des individus de la mouvance libertaire depuis le 29 mars dans le centre-ville et qui intervient quelques heures avant un carnaval non déclaré en mairie dans les rues de la cité crestoise cet après-midi. Un défilé relayé largement sur des réseaux anarchistes et qui inquiète les autorités.
Classe.
Finalement, le peuple est allé vider la maison où se trouvait le chancre anarcho-communiste.
Plus de 100 personnes se sont rassemblées en fin d’après-midi devant la maison occupée depuis le 29 mars par des squatteurs, rue des frères Gamon à Crest.
Dans une ambiance contestataire et déterminée et sous étroite surveillance des gendarmes, ils sont rentrés dans la maison, vide de tout occupant, pour procéder au déménagement de l’habitation avant l’arrivée de la propriétaire des lieux.
Vraiment classe.
C’est la première fois, de mémoire, que je vois un village entier se révolter contre la crasse anarcho-marxiste. Et avec succès.
Cette défaite devrait chauffer à blanc cette sous-humanité qui pourrait se livrer à des représailles contre la pauvre femme qui s’était faite dérober son domicile. Cette crasse antisociale est vraiment prête à tout.
La solidarité organique, communautaire, est la seule réponse efficace face aux attaques permanentes des terroristes métèques et rouges. Et plus encore du gouvernement d’occupation juif.
Car bien sûr, les juges communistes n’auraient jamais bougé sur ce dossier, laissant cette habitante à son triste sort.
La mobilisation en groupement de solidarité populaire, à l’échelle locale, doit devenir la norme à mesure que nous avançons dans le chaos racial, l’agitation marxiste et la prédation judéo-républicaine.