Capitaine Harlock
Démocratie Participative
09 avril 2018
Quelques jours après l’annonce du départ des troupes américaines de Syrie, une histoire de dictateur gazeur a fait surface dans la presse juive occidentale au moment précis où les Russes et les Syriens finissaient de nettoyer la poche djihadiste de la Ghouta, à Damas.
Il s’agit de la 156ème accusation du genre.
Et comme les choses ne vont pas assez vite aux yeux de (((certains))), des bombes sont tombées inexplicablement sur une base aérienne sous contrôle du gouvernement de Bachar al-Assad.
Des missiles ont frappé tôt ce 9 avril un aéroport militaire syrien, peu après l’engagement des présidents américain et français à apporter une «réponse forte et commune» à une attaque chimique supposée attribuée par les Occidentaux à Damas.
«Plusieurs missiles ont frappé l’aéroport de Tayfur», a rapporté l’agence officielle syrienne SANA tôt ce 9 avril, affirmant qu’«une attaque américaine [était] soupçonnée» avant de retirer toute référence aux Etats-Unis. «Des morts et des blessés dans la frappe de missiles sur l’aéroport de Tayfur», a ajouté SANA, citant une source militaire.
L’origine de l’attaque restait indéterminée ce 9 avril à l’aube.
Le Pentagone a aussitôt réagi en assurant que ses forces armées ne menaient «pas de frappes aériennes en Syrie».
Mais qui peut donc mener des attaques non-revendiquées visant à déclencher une guerre internationale dans la région ?
Mystère…
#Manipulation #Syrie
Comme d’habitude et comme prévu….la bataille de la#Ghouta est gagnée et comme par hasard une attaque au gaz, sans aucune ‘’utilité militaire’’ est dénoncée par les Casques Blancs, ONG issue des Djihadistes.
Rien de nouveau.. #Intox https://t.co/dUd7kdqg3E— Thierry MARIANI ن (@ThierryMARIANI) 9 avril 2018
Il est évident qu’il s’agit d’une opération pour empêcher Trump de mettre en place le retrait des USA de Syrie, ce qui a le don de particulièrement irriter la communauté des philanthropes internationaux.
Le ministre de la Défense Avigdor Liberman a déclaré dimanche que le président américain Donald Trump n’a pas demandé l’avis d’Israël avant d’annoncer son projet de retrait des troupes américaines de Syrie, ajoutant que l’Etat juif devra probablement opérer « seul » contre ses divers ennemis.
« Le président Trump ne m’a pas posé la question », a déclaré M. Liberman lors d’une interview accordée à la radio israélienne au sujet du projet américain de quitter la Syrie, malgré les craintes israéliennes de voir des groupes terroristes soutenus par l’Iran empiéter sur sa frontière nord. »Je ne prétendrai pas donner des conseils qui ne m’ont pas été demandés. »
L’intervieweur a ensuite fait référence à des rapports selon lesquels un appel téléphonique la semaine dernière entre le Premier ministre Benjamin Netanyahu et Trump « était tendu » et que le Premier ministre israélien a protesté contre l’intention de Washington de se retirer de Syrie en ce moment, alors que l’axe Iran, Russie et Turquie gagne du terrain dans le pays en proie aux combats.
« Je pars toujours de l’hypothèse qu’en fin de compte, Israël devra faire face seul à la fois à la menace du nord et à la menace du sud », a répondu M. Liberman, faisant également référence aux tensions qui couvent dans la bande de Gaza, dans le sud d’Israël.
« Eh goy, mourir pour nous n’est pas une option ! ».
Et donc, ces dernières provocations associées aux chambres à gaz de Damas sont censées relancer la machine de guerre et envoyer les Américains faire le sale boulot.
Trump sait pertinemment ce qui se passe et que les juifs cherchent à le piéger.
S’il se retire en ne disant rien sur les chambres à gaz de Bachar al-Assad, les juifs l’accuseront d’être un agent de Poutine et un traître. Il doit donc reprendre ces histoires de bébés gazés et dire que c’est très mal.
Mais concrètement, il a simplement exigé d’envoyer des gens « vérifier ».
….to pay. Open area immediately for medical help and verification. Another humanitarian disaster for no reason whatsoever. SICK!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 8 avril 2018
C’est une manoeuvre dilatoire.
Les fauteurs de guerre juifs ne veulent pas entendre parler de « vérifications », ils veulent du sang.
Attaque chimique du régime Assad hier contre Douma. Qui va manifester contre cette horreur ce crime contre l’humanité? https://t.co/aNGaqzopqK
— Charles Enderlin (@Charles1045) 8 avril 2018
Les Syriens ont démantelé leur arsenal chimique il y a des années, sous le contrôle de la Russie et des USA. Bachar sait pertinemment que c’est ce type d’accusations qui est utilisé contre lui pour provoquer une intervention depuis 2013. Et au moment où il finalise sa victoire, il ira gazer quelques dizaines de personnes.
Absurde.
Mais ces juifs veulent cette guerre et pour la mener, leurs esclaves sont mobilisés.
Attaque chimique présumée en Syrie: Paris demande une réunion en urgence du Conseil de sécurité https://t.co/66zA3Tnh7c pic.twitter.com/6O7C6LVzCN
— BFMTV (@BFMTV) 8 avril 2018